Mais voilà un ressort !
Mon Dieu !
Comme la citoyenne est émue…
C’est cela !… Ah ! maintenant, ça ne sera pas long.
Elle blanchit… elle est comme une statue !… Ah ! qu’ai-je fait ?
Tiens ! voilà la malice… (L’armoire s’ouvre tout à fait. Julie se précipite comme pour aller au secours de son mari.) Mais il n’y a personne !
Personne !…
Tu connais cette cache ?
Non… mais j’ai eu peur, vrai ; j’ai cru un moment qu’il y avait quelqu’un.. ; et l’indignation… Mais je ne suis pas rassurée… il y a une autre cache… oui, au grenier… (À Finot.) N’est-ce pas ?
Oui.
Peut-être bien qu’il s’est sauvé là-haut… venez, venez… Oh ! maintenant je me défie de tout le monde… Chez moi… un suspect… chez moi !… ce serait révoltant !… Finot, tu connais tous les coins du grenier… viens !…