C’est très-bien. « Le roi règne et ne gouverne pas. »
Que vois-je ? Chocolat… Chocolat de vanille.
Les bourreaux ! au lieu de consulat de Manille.
C’est charmant.
Ils ont mis l’empirique au lieu de l’empereur.
Ah ! ce n’est rien ; moi, j’ai l’autruche pour l’Autriche.
Voulez-vous voir, monsieur, l’épreuve de l’affiche ?
Sans doute, donne-la.
Griffaut ; mais tu veux donc tuer ce malheureux ?
Il appelle Morin barbouilleur de murailles !
N’est-ce pas le vrai nom d’un peintre de batailles ?
Quoi ! c’est toujours Morin ? Tu le poursuis longtemps.
Aujourd’hui je l’achève.
Alors, moi, je l’attends.
Ah ! messieurs, respectez ses quarante ans de gloire ;
Les tableaux de Morin sont toute notre histoire.
Pour parler d’un vieillard quittez ce ton railleur.
Je me laisse attendrir.
(À Martel.)
Efface… barbouilleur.
Monsieur est quelque auteur maltraité, je parie.
Moi, monsieur ? non, je suis dans la cavalerie,
Officier de spahis.