qu’une idée, ce serait de l’enfermer dans son vieux château, pour l’adorer là tout à son aise, sous de frais ombrages, dans les prés fleuris, et cela serait désolant !
Hé ! hé ! je ne détesterais point cette existence-là. Mais, rassurez-vous, on n’y pense pas.
Ah ! (À part.) Diable ! et ma préfecture !
Voilà ce que vous pourrez répondre.
Il suffit, monsieur le maréchal.
Je ne veux pas même savoir de qui vous avez voulu parler. Quant à moi, le seul mariage qui m’occupe est celui de ma chère petite-nièce. Ah ! la voici avec son prétendu. Croyez-moi, monsieur des Tourbières, l’âge des romans, c’est celui-là.
Pudeur de vieillard ! Il est amoureux, voilà toujours de quoi le faire rêver.
Mais, des Tourbières, je vous dois l’histoire du baron…
Je viendrai moi-même la réclamer. (À part.) Je ne l’échapperai pas !
Il n’est pas fort, ce pauvre des Tourbières ; mais il écoute bien.
Scène IX.
Bonsoir, mon cher Hector. Seul ! Et votre père ? et Renneville ?
Je croyais le trouver ici.