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Œillades et Soupirs




Fais tes adieux à notre chambre,
Et fermons notre livre ouvert.
Ma strophe a froid : voici décembre,
Ne chantons plus, car c’est l’hiver.


À quoi nous servirait, ma reine,
De pleurnicher sur notre amour ?

Le torrent passe et nous entraîne ;
L’heure est sonnée.
L’heure est sonnéeAllons, bonjour !