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OBSÈQUES



CLOCHES, tintez dans le ciel terne,
Et pleurez sur mon triste sort.
Les pavillons sont mis en berne :
Mon cœur est mort ! mon cœur est mort !


Dix fois tué par toi, cruelle,
Adieu, mon pauvre cœur s’en va.
En noir les murs de la chapelle !
Dies irae, dies illa.