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Œillades et Soupirs




Ah ! non, non, loin de moi ! Ces lignes vous font rire.
J’en suis charmé ; j’y tiens : c’est un dernier sourire,
Un gage qui me reste encor de vos bontés.
Au revoir ! Espérons ! Après l’été, l’automne ;
Après juin qui fleurit, septembre qui moissonne.

Et mon retour alors — si vous le permettez.