Tirez-nous, au nom de Dieu, de cet état ; que votre crédit » et votre justice éclatent en même temps. »
« J’espère cette grâce comme celle de croire qu’on ne peut rien ajouter aux sentiments de respect avec lesquels j’ai » l’honneur d’être,
« Je prie M. le curé de Marchai de vous écrire cela. Ma tante a l’honneur, Monseigneur, de vous présenter son respect.
« Pardonnez-moi, Monseigneur, tous ces barbouillages de ma lettre et d’avoir emprunté des mains étrangères pour la copier, à cause d’un mal d’yeux occasionné par le chagrin » et mes larmes[1]. »
Voici la lettre que le curé de Marchai adressait en même temps à Mgr de Bonal :
........................
« Ces dames sont dans la plus grande inquiétude et dans un trouble qu’il me serait impossible de vous exprimer et qui a augmenté de beaucoup depuis votre visite.
« Presque toutes demandent la sortie du directeur comme celle de l’homme d’affaires.
- ↑ Archives du Puy-de-Dôme. — Fds de l’Évêché, papiers de Bonal, I. no 3.