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Le monde se détache de mon univers
Et, tout au sommet des batailles,
Quand la saison du sang se fane dans mon cerveau,
Je distingue le jour de cette clarté d’homme
Qui est la mienne,
Je distingue le vertige de la liberté,
La mort de l’ivresse,
Le sommeil du rêve,

O reflets sur moi-même ! ô mes reflets sanglants !