Page:Éluard - Capitale de la douleur, 1926.djvu/121

Cette page n’a pas encore été corrigée

Qu’un bel espion n’envoya pas.
Il glissa une hache de pierre
Dans la chemise de ses filles,
De ses filles tristes et paresseuses.

À terre, à terre tout ce qui nage !
À terre, à terre tout ce qui vole !  ;
J’ai besoin des poissons pour porter ma couronne
Autour de mon front,

J’ai besoin des oiseaux pour parler à la foule.