Notice historique sur l’enseignement primaire à Saint-Étienne avant la Révolution/Notes particulières d’inspection

Texte établi par Johannès Merlat, Société de l'Imprimerie de La Loire républicaine (p. 33-41).


ÉCOLES PUBLIQUES. — PETITES ÉCOLES

École de garçons de la Grand.

1.

Avril 1684). L’école des pauvres de Saint-Étienne. 80 écoliers. M. Carrier prestre néglige et ne sait pas la méthode qui se pratique à Lyon. Les enfans ne demeurent que deux heures dans l’école ; ils sortent à 3 heures après midy, il y a du danger de se desbaucher après l’école. Il manque presque tous les livres des écoles. Il n’y a qu’un seul petit tableau, sans images, ny chapelets, ny autres menus meubles des écoles.

Août 1684). 85 écoliers. Voy. ce qui est marqué cy-devant au mois d’avril dernier.

Juin 1687). M. Carrier. À 90 écoliers dont quelques-uns ne sont pas pauvres. — L’on garde le silence. — L’office d’intendant est confondu avec celui de sous-maître. Il manque des décurions du catéchisme qu’il a faits du depuis. Il manque des décuries, deux baguettes, des manuscrits, des chapelets. L’école n’étoit point en ordre par la négligence du Me  qui n’est pas assidu à son école, qui ne conduit point les enfants, les dimanches et festes, à la messe. Ils châtient les enfants indiscrètement, les frappant avec un baston à tout moment sans leur faire connoître leur faute.

Il a fallu passer deux ou trois jours dans son école pour la régler.

École de garçons de Notre-Dame (à peine inaugurée
en août 1684).

2.

Août 1684). M. Pomerol, prestre de N. Dame, nouvelle école des pauvres. Capable. On a fait deffences de poursuivre à bâtir ladite école.

Juin 1687). M. Pomerol. A d’esprit mais un peu pointilleux et est d’une humeur à ne pouvoir pas souffrir qu’on luy trouve à redire.

Il a 105 enfans qui gardent le silence et qui sçavent le catéchisme et profittent en la lecture. On a nommé tous les officiers, réglé les commandemens et sons de cloche. Il manque dans l’école des baguettes, une clochette, une chaire pour le Me , des grandes cartes[1]. Il faut ranger le catalogue[2], faire des décuries, baisser les bancs, etc.

Personne ne contribue aux menus frais de l’école.

Le maître parle trop d’action, tutoye ses écoliers, les frappe indiscrettement. On ne conduit point les enfans à la messe les dimanches. On ne faisoit pas répéter les prières latines mot à mot.

École de filles.

3.

Août 1684). Les Ursulines qui négligent.

Juin 1687). Ursulines. 140 écolières qui ne payent point. L’école est très confuse parce que l’on n’y garde point le silence et que les filles sortent à tout moment de leurs places. Il y a des décurionnes et une sous-maîtresse.

M. le curé m’ayant donné un billet pour entrer dans l’école externe, on fit une partie des exercices devant les religieuses. On les pria de vouloir faire répéter la prière mot par mot parce qu’il n’y avait qu’une écolière qui la disoit tout de suite et trop vite. On leur montra l’industrie de faire lire par bande et avec des grandes cartes pour pouvoir expédier un si grand nombre d’enfans. Les filles sçavent assez bien le catéchisme, mais elles sont extraordinairement dissipées.

La Révérende Mère et la maîtresse prirent en bonne part ce qu’on leur dit et nous prièrent d’obtenir de Monseigneur une exemption des tailles ou imposts dont elles sont surchargées, veu qu’elles sont pauvres et qu’elles servent le publicq.

Je crois devoir compléter ici les notes sur les écoles publiques par le récit d’un concours entre les deux écoles de garçons et, ensuite, entre l’élite des élèves de ces deux écoles et l’élite des élèves de Saint-Chamond.

13 juillet 1687. La dispute des deux écoles des pauvres s’estant commencée la veille, elle s’est achevée ce jourd’huy. L’école de M. Pomerol a gagné d’un point celle de M. Carrier.

Ensuite 12 écoliers de Saint-Chamond ont disputé contre ceux de Saint-Estienne. Le premier prix a esté pour Saint-Etienne, mais à cause de la jalousie qui estoit entre les deux parties on a point voulu dire qui avoit eu l’avantage. Ceux de Saint-Chamond ont paru les plus hardys et aguerris, mais ils se troublent à quelques demandes et ceux de Saint-Estienne ont passablement répondu. L’un donnera 8 casaques, 8 livres de piété et 7 liv. 10 sols d’argent outre environ 6 à 7 livres pour la dépense des disputans. On les reconduisit en procession à Notre-Dame où ils s’embrassèrent mutuellement.

ÉCOLES DE LA CHARITÉ ET DE L’HOTEL-DIEU

La Charité. — Garçons

 4.

Août 1684). Beacle, de l’Isle en Flandre. Enseigne les garçons de la Charité.

Juin 1687), M. Beacle , de Lille. Ebrius aliquando. 27 écoliers dans la Charité fort bien instruits pour le catéchisme, lecture, écriture, travail, etc.

La Charité. — Filles.

Août 1684). Estiennette Sayon de Saint-Estienne, bien posée, enseigne les filles[3], ce qui se fait avec bénédiction. Est morte.

 5.

Juin 1687). Ladret fille, de Saint-Estienne, demeurant à la Charité. Lit assez bien. 35 filles fort bien instruites pour la lecture, le travail et le catéchisme. On luy a donné des livres pour faire lire par bandes.

L’inspecteur semble attribuer les bons résultats de ces écoles — il est question d’écriture chez les garçons — à l’action de l’aumônier, il ajoute :

Nota que M. Tendron prestre de lad. Charité s’acquitte fort bien de son devoir.

Hôtel-Dieu. — Garçons et filles.

 6.

Août 1684). Catherine, vefve Valet. 60 ans. Mauvais accent. 11 filles, 5 garçons.

Juin 1687). Catherine, vefve Valet. Hostel-Dieu. De bonnes mœurs. Ne sçait lire. Elle n’a que 7 ou 8 filles à l’alphabet et quelques garçons qu’elle a mis dehors. Elle ne faisoit ny prières, ny demandes de catéchisme. Il manque des feuilles de prière. On luy a dit de se faire instruire vers madame Galis pour la lecture.

ÉCOLES PRIVÉES. — POUR LES « LATINISTES »


 7.

Août 1684). M. Dallier de lad. église[4]. Très capable pour le latin. Assidu, bizarre, 39 écoliers. Il ne sait pas bien écrire. Il manque le catéchisme des écoles.

Juin 1687). M. Dallier prestre . A 25 humanistes et néglige de leur faire faire la prière.

 8.

Juin 1687). M. Dallier diacre. Fréquente quelque jeunesse et paroit bien onneste. Il a 24 latinistes et 42 petits enfans qui ne font pas la prière et ne la sçauroient pas prononcer : ils ne sçavent le catéchisme que par mémoire. On luy a recommandé d’envoyer ses écoliers à la messe, de leur faire prendre des livres des écoles, de les faire lire par bandes et de leur faire faire la prière.

 9.

Août 1684). M. Colomb de lad. église[5]. Très capable. Infirme. 16 écoliers. Il veut quitter l’employ.

Juin 1684). M. Colomb prestre. A 4 ou 5 latinistes, ses neveux.

 10.

Août 1684). Ferriol dud. lieu. 19 ans, Capable. 9 latinistes.

Juin 1687). Ferriol. Agé de 22 ans. Du diocèze de… Digne subjet, très sçavant, qui a fait soutenir thèses à quelques philosophes. Il s’offre à venir enseigner la théologie et la philosophie à Saint-Charles et prétendant d’entrer dans l’estat ecclésiastique et s’advancer dans les ordres.

 11

Juin 1687). M. Chenevier prestre. A 12 latinistes et quelques enfans à la lecture qu’il a fait sortir de chez luy.

On se plaint de ce que les latinistes de Saint-Estienne ne sont pas suffisamment portez à la piété.

 12.

Août 1684) M. Charrin aumosnier de Sainte-Ursule. 8 latinistes et 5 petits garçons.

 13.

Juin 1687). Gingos[6] de Saint-Estienne, laïque, âgé de seize ans. Théologien, de bonnes mœurs et qui prétend de s’engager en l’estat ecclésiastique et témoigne de vouloir passer quelque temps dans Saint-Charles. Il ne prétend d’enseigner que des latinistes.

 14.

Août 1684). Richard de Bourg-Argental. 38 ans. Écrit bien.

Catherine Jacob, sa femme. Ne sçait lire.

30 garçons et 8 filles. Ils attirent les écoliers des autres écoles. Il manque tous les livres d’école. Les enfants ne sont pas assez posez.

Juin 1687). M. Richard. A 35 écoliers. Quelques latinistes. Faut faire répéter les prières. Il faut faire la demande du catéchisme. Faut faire entrer les garçons par une porte différente et ne pas les faire sortir à la même heure que les filles. On fera dire le Benedicite et les Grâces au déjeuner et gouster des enfans. On fait lire par bandes. On fait dire la prière de l’heure.

La femme dudit Richard. A 18 filles. Elle ne sçait pas bien lire, mais elle a disposition à cela et son mary a esté chargé de la perfectionner à la lecture. On ne doit point répéter le mot en épelant. L’on ne prononce pas bien les prières latines.

Ladite maîtresse fera dire les prières mot à mot aux filles.

ÉCOLES PRIVÉES. — PRIMAIRES


 15.

Avril 1684). Terrasse, Me  écrivain de Paris. Ecrit très bien. Les enfans gardent un grand silence. Il y a environ 50 garçons et 12 filles ensemble quoyque on pourroit facilement les séparer. Les enfans sont fort ignorans du catéchisme ; ils ne font qu’une légère prière en entrant tout bas et il ne se fait aucune prière ensemble.

Août 1684). Terrasse, dud. lieu. 40 ans. Lettre de maître écrivain de Paris. Il est fort honneste. 50 garçons bien élevez.

Sa mère et sa femme. 12 filles. Mauvais accent.

Juin 1687). M. Terrasse . 44 écoliers qui sçavent le catéchisme. On ne faisoit point la prière ensemble et ceux qui l’ont faite ne prononçoient pas bien le latin. Il faut coller la feuille des prières. On ne fait point la demande de catéchisme après la prière. Les enfans profitent pour la lecture et écriture et orthographe. L’école est sale. Il y a quelques pensionnaires fort grands.

La femme dudit Terrasse. Elle est parente de M. Valoux. A 14 filles qui passent par l’école de garçons en entrant quoiqu’il y aye une autre montée : elles ne sont pas assez modestes, lisent bien, écrivent très bien. La dite maîtresse témoigne vouloir se perfectionner dans la lecture des contracts[7] et du latin.

 16.

Avril 1684). Griotier. 58 garçons et 16 filles. Il écrit bien.

Mais il n’y a aucune marque d’école chrestienne, ny aucun règlement, ny livre, ny catéchisme, ny images, ny bénitier. Les filles de 15 à 18 ans sont avec les garçons du même âge, fort dissipées et l’école est dans un grand désordre.

Août 1684). Antoine-Joseph Griotier. 35 ans, de Saint-Estienne et Toussainte Bascon sa femme. Bonne écriture. Mauvais accent. 58 garçons brouillons et 19 filles séparez depuis la dernière visite. Et les images, bénitier et autres meubles de piété dans l’école. (?)

 17.

Avril 1684). Bony. Tient garçons et filles. Les écoliers estoient déjà sortys. Il n’y a aucune marque d’école chrestienne. Il ne vouloit au commencement entendre parler d’aucun règlement. On prit un livre de romant comme par force, etc.

Août 1684). Rony, de Languedoc. 68 ans. Ecrit bien. 3 garçons 2 filles ignorans le catéchisme. Ecole tout à fait nue, sans image, ny prières, etc.

Juin 1687). M. Bony. Frequentat cauponas. Il est âgé et peu réglé pour son école qui n’est que de 4 écoliers et sa femme 3 filles. Il demande de s’établir autre part. On ne fait pas les prières comme il faut. Les enfans ne sçavent pas bien le catéchisme, ny bien les prières.

 18.

Avril 1684). Georgeon qui seul dans la ville a approbation pour les riches. Suit les règlemens. Les filles sont enseignez dans une chambre à part par sa femme. Il n’écrit pas tout à fait si bien que les autres, mais il a beaucoup plus de piété.

Août 1684). Georgeon, dud. lieu. 30 ans. Ecrit passablement. Sage et bien réglé. Claudine Ougeat sa femme.

22 garçons, 6 filles séparez. L’on suit les règlemens.

Juin 1687). M. Jourjon [8]. A 11 garçons et 1 ou 2 filles qu’il a congédiées. Il sçait les règlemens et ne les suit pas. Il n’avoit point de feuilles de prières. Il avait négligé son école à cause du petit nombre d’écoliers.

19.

Avril 1684). Benigne Charroin. 15 filles, 8 garçons assez modestes, peu instruits pour le catéchisme. Elle meine ses enfans à la messe. Elle ne suit aucun règlement.

Août 1684). Benigne Charroin, Saint-Estienne. 40 ans. Lit bien. Posée et pieuse. 16 filles et 9 garçons. Conduit les enfans à la messe. Les enfans sçavent mieux le catéchisme que la première fois.

Juin 1687). Benigne Charroin. Lit bien. A 11 filles et 2 garçons qu’on a dit de mettre dehors. On fait bien la prière, mais on ne faisoit pas la demande du catéchisme. Les filles sçavent bien le catéchisme et sont assez posées.

La maîtresse se plaint que les Ursulines ont beaucoup plus que la moitié de leur école de riches qui pourroient payer et que le mary de la Gabriel[9] est un yvrogne.

 20.

Août 1684). Gabrielle Duprez, dudit lieu. 60 ans. Fille. Mauvais accent. Dévote. 11 filles, 4 garçons. Bien grossière.

Juin 1687). Gabrielle Dupré. A quitté.

 21-24.

Août 1684). Ladret, Métare, Couturier, Cheinet, ne sont propres pour enseigner.

Juin 1687). Ladret. A quelques écoliers en ville. A luy deffendu de tenir école.

Métare a quitté l’employ.

Claudine Couturier. Fille proba. Lit bien. A 11 filles sages et 4 garçons qu’on a mis dehors. On ne faisoit pas les prières des écoles ny la demande du catéchisme. On parle le patois. Les enfans ne sçavent pas prononcer les prières latines. On sçait le catéchisme. Il manque des petits livres d’école. On a dit de faire lire par bandes.

M. Cheinet . Homme fort pauvre. Ne sçait lire et se mesle d’enseigner en ville. A luy ordonné de se faire instruire à la lecture par M. Pomerol.

 25.

Août 1684). Foncheironne, mère et fille. Mauvais accent. Zélées. 11 filles. 14 garçons.

Juin 1687). Foncheironne, mère et fille, vefve, grande rue[10] De bonnes mœurs. Ne sçavent pas bien prononcer. Ont 21 filles et quelques garçons qu’on a mis dehors. La prière se fait, mais non pas la demande du catéchisme. On leur a fait faire tous les exercices. On leur a dit de se faire instruire pour la lecture vers la d. Galis.

 26.

Août 1684). Anthoinette Galis dudit lieu. Fille. 53 ans. Prude. 14 filles, 10 garçons qui ne sçavent le catéchisme.

Juin 1687). Anthoinette Gulis, rue Froide. Lit bien. A 12 filles sages, instruites, quelques unes estoient découvertes. Il faut faire la demande en la faisant répéter par toutes les filles après la prière qui se dit en entrant. On suivra la méthode pour apprendre à épeler. On se fournira des livres des écoles.

 27.

Août 1684). Made Joly, ursuline. 50 ans. Sœur du juge. Fort capable. Bon accent. Peu soumise. 8 filles et 2 garçons bien élevez.

Juin 1687). Madeleine Joly. — Est malade.

 28.

Juin 1687). M. Gachet, A, au plus, 28 écoliers qui ne prononcent pas bien les prières, L’école n’est pas bien rangée : les décurions ne font point leur office ; les écoliers lisent par bandes, mais ils ne prononcent pas bien ; ils ne comprennent pas le catéchisme, etc.

Ledit Gachet à perdu pour la seconde fois l’esprit et son école a cessé.

 29.

Août 1684). Segle. Très retiré. Estoit malade et est mort pendant la visite.

Sa femme a fort mauvais accent.

 30.

Juin 1687). Thoinette Gabriel. A d’esprit. Prononce bien. Elle est femme de Pierre Guérin ebriosus. Elle a 5 filles et 4 garçons qu’on a mis dehors. La prière se fait bien. Il ne faut répéter les syllabes en épelant. On doit les faire reprendre à eux mesmes. On ne comprend pas le catéchisme, On n’a pas les livres des écoles.

31.

Juin 1687). La Bérardier. Bonnes mœurs. Lit bien. Instruit ses filles à l’honnesteté. Elle a 18 filles de maison qui sçavent le catéchisme et prononcent assez bien, mais elles estoient en partie découvertes : on leur a mis des colets de papier. On a fait faire tous les exercices de l’école. On a osté quelques livres et un tableau deshonneste.

 32.

Juin 1687). Claude Cizeron, de Saint-Etienne. À 8 écoliers. Lit bien mal le latin. Ecrit médiocrement bien. A esté approuvé par M. le Directeur.

{{La femme dudit Gizeron. A 9 filles. Elle ne lit pas bien ; elle ne fait point les fonctions de maitresse. On ne fait point la de catéchisme. Il y a des livres d’école. On lit par bandes, mais sans suivre la méthode. Les enfans ne sçavent pas prononcer les prières. On conduira les enfans à la messe.|90}}

 33.

Juin 1687). M. Deville prestre et Claude Deville son frère, âgé de 27 ans. Bonnes mœurs. Ont 48 écoliers petits à la lecture, dont quelques-uns ne payent pas. La prière se fait bien. On ne fait pas la demande du catéchisme, car elle fait dans l’école des pauvres. On ne déjeune point à l’école. Le maitre les frappe trop rudement. Les écoliers étudient trop haut ; ils ne prononcent pas toutes les lettres du latin.

 34.

Juin 1687). Du Soleil, âgé de 33 ans, acolyte. Capable de troisiesme, lasche et s’amuse à causer sur le pas de l’église. Après lui avoir deffendu d’enseigner, on a trouvé chez luy, 19 garçons et deux filles qui s’enfuyoient. Les écoliers sont ignorans de catéchisme et dissipez. Il n’y a ni livres, ni règlement d’école. On ne fait point la demande du catéchisme, etc. Luy ayant demandé pourquoy ses écoliers étoient si ignorans, il a répondu qu’ils étoient tous nouveaux et qu’au reste, il se disposoit à venir au mois d’aoust à Saint-Charles pour y poursuivre ses estudes, et on lui a dit de ne rien faire sans y avoir bien pensé.

 35.

Juin 1687). Deville, Sœur des susdits, avoit 5 filles. A elle deffendu d’enseigner.

 36.

Juin 1687). Deville. Religieuse. 2 filles.

 37.

Juin 1687). Sarron.

  1. Pour la lecture.
  2. La liste des élèves inscrits.
  3. Il s’agit bien des filles de la Charité.
  4. De Notre-Dame.
  5. De Notre-Dame.
  6. Gingaud, probablement
  7. Pour lire des écritures.
  8. C’est bien certainement le même.
  9. Voir plus loin Thoinette Gabriel n°30.
  10. Rue Saint-Jacques.