Calmann-Lévy (p. 204-205).
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LIII

Quelquefois Yves tombait tout à coup comme un mort et dormait plusieurs heures, puis c’était fini. Cela dépendait de l’espèce d’alcool qu’il avait pris.

D’autres fois, il tenait bon, on ne sait comment, et s’en retournait sur son navire, dans le port, « à la Réserve », faire son service.

Ce matin-là, quand il fut sept heures, Yves, un peu dégrisé, ayant eu l’idée de lui-même de tremper sa tête dans de l’eau glacée, sortit et prit le chemin de l’arsenal.