Calmann Lévy (p. 302).
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LIV


Nous sortons avec lenteur de la grande baie verte. Les groupes de femmes s’effacent. Le pays des ombrelles rondes à mille plissures se referme peu à peu derrière nous.

Voici la mer qui s’ouvre, immense, incolore et vide, reposant des choses trop ingénieuses et trop petites.

Les montagnes boisées, les caps charmants s’éloignent. — Et tout ce Japon finit en rochers pittoresques, en îlots bizarres sur lesquels des arbres s’arrangent en bouquets, — d’une manière un peu précieuse peut-être, mais tout à fait jolie…