Livre:Mérat - Les Joies de l’heure, 1902.djvu
Titre | Les Joies de l’heure |
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Auteur | Albert Mérat |
Maison d’édition | Alphonse Lemerre, éditeur |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1902 |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
Ami des choses dédaignées 7
Chambres anciennes. I. Louis XVI 9
— II. Constituante 11
— III. Directoire 13
— IV. Empire 15
— V. La chambre de Talma 17
— VI. Restauration 19
— VII. Louis-Philippe 21
— VIII. Second Empire 23
Au théâtre égyptien 25
Danse d’Orient 27
Baigneuse 28
Vieux jouets 30
A Sully Prudhomme 35
Sur la statue d’Alphonse Daudet 37
A Théodore Maurer 39
Je porte le signe hautain 41
La Chanson 43
Les Aèdes 47
A un jeune homme 50
J’aime mieux la bonne tête 52
La Fontaine, vieux maître à qui je dis merci ! 54
Des hommes, des élus qui n’ont écrit qu’un livre 55
Tes vers sont de bons vers, et leur forme est la nôtre 56
Allons, bon ! le voici qui va faire des vers 57
Au poète ennuyeux 58
A Raoul Ponchon 59
Aux femmes 61
Le vers libéré 63
Au poète Kami 65
A Théophile Gautier 66
A la mémoire des bons poètes 67
J’ai trouvé l’hiver charmant 71
Assez regardé l’homme et connu son visage 73
J’ai conservé dans mon esprit 74
Mai 76
Printemps. I. Nos hivers sont des grelotteux 77
— II. Dans le printemps qui va venir 79
— III. Si vous n’êtes pas avisés 81
— IV. Après les jours affreux et noirs 83
Voici le mois délicieux 85
Trois chansons. I. Notre vieux ciel n’est plus vermeil 86
— II. Notre âme selon les saisons 88
— III. Lequel vaut le mieux, être aimé 90
La réforme de l’orthographe 92
Tiens haute ta pensée 94
Musique du vers 95
A Mademoiselle Mauricette Prévost 96
Au Sagittaire 98
Statuettes 100
A un portrait de bourgeoise 102
Le dessin 104
Le pastel 105
Louise 107
La petite classe de l’Opéra 109
La pensée 111
Ton livre est fait, c’est bien ! C’est déjà le passé 112
Comme l’écho, le soir, te parle dans les bois 113
A Millet 117
A Corot 119
I. Faire de nobles vers demeure en ton pouvoir 125
II. Prends garde ! ne va pas ainsi que des trophées 126
III. Poète sans désirs, dans la ville endormie 127
IV. Maîtres qui me parlez ! ô livres, mes amis 128
V. Si, malgré moi, souvent je pense à l’Italie 129
VI. Penser, avoir cela pour tout rêve, c’est vivre 130
VII. Ce qui fait la beauté plus belle, c’est la grâce 131
VIII. Tu fais des vers ! Tu dois comprendre la musique 132
IX. Tu dois peindre. O magie ardente des couleurs ! 133
X. La strophe est comme un marbre immuable et divin, 134
XI. Comme un fruit qui déjà décèle son odeur 135
XII. Te voici vis-à-vis de ta pensée ! Écoute 136