Livre:Kant-Logique (trad. Tissot), 1862.djvu

TitreLogique
AuteurEmmanuel Kant Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurJoseph Tissot Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionLibrairie philosophique de Ladrange
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1862
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger

Pages






TABLE DES MATIÈRES.


________________


Avertissement du traducteur 
 v


INTRODUCTION.


I. Idée de la logique 
 1
II. Division principale de la Logique. — Exposition. — Utilité de cette science. — Esquisse de son histoire 
 10
III. Idée de la philosophie en général. — Philosophie considérée suivant l’idée de l’école et suivant l’idée qu’on s’en fait dans le monde. — Condition essentielle pour philosopher, et fin qu’on doit se proposer en philosophant. — Problèmes les plus généraux et les plus élevés de cette science 
 20
IV. Esquisse rapide d’une Histoire de la Philosophie 
 29
V. De la connaissance en général. — Connaissance intuitive, connaissance discursive ; intuition et notion, leur différence en particulier. — Perfection logique et perfection esthétique de la connaissance 
 40
VI. Perfections logiques particulières de la connaissance. A. Perfection logique de la connaissance quant à la quantité. — Quantité. Quantité extensive, intensive. — Etendue et fondamentalité ou importance et fécondité de la connaissance. — Détermination de l’horizon de nos connaissances 
 52
VII. B. Perfection logique de la connaissance quant à la relation. — Vérité. — De l’erreur et de la vérité en général. Vérité matérielle et vérité formelle ou logique. — Critérium de la vérité. — Fausseté et erreur. — Moyen de remédier à l’erreur 
 68
VIII. C. Perfection logique de la connaissance quant à la qualité. — Clarté. — Notion d’un signe (nota) logique en général. — Différentes espèces de signes élémentaires. — Détermination de l’essence logique d’une chose. — Différence entre cette essence et l’essence réelle. — Lucidité, second degré de clarté. — Lucidité esthétique, lucidité logique. — Différence entre la lucidité analytique et la lucidité synthétique 
 82
IX. D. Perfection logique de la connaissance quant à la modalité. — Certitude. — Notion de la croyance en général. Mode de la croyance en général : opinion, foi, savoir. — Conviction et persuasion. — Retenue et suspension du jugement. — Jugement provisoire. — Préjugés, leurs sources et leurs principales espèces 
 95
X. E. De la probabilité. — Différence entre la probabilité et la vraisemblance. — Définition du probable. — Probable mathématique et probable philosophique. — Doute subjectif et objectif. — Méthode de philosopher : méthode sceptique, méthode dogmatique, méthode critique 
 121
Appendice. Distinction entre la connaissance théorique et la connaissance pratique 
 129
PREMIÈRE PARTIE
THÉORIE GÉNÉRALE ÉLÉMENTAIRE.
CHAP. I. Des notions 
 132
§ 1. De la notion en général, différence entre la notion et l’intuition 
 ib.
§ 2. Matière et forme des notions 
 133
§ 3. Notion empirique et notion pure 
 ib.
§ 4. Notions données et notions formées 
 136
§ 5. Origine logique des notions 
 137
§ 6. Acte logique de la comparaison, de la réflexion et de l’abstraction 
 138
§ 7. Matière et circonscription des notions 
 140
§ 8. Etendue de la circonscription des notions 
 141
§ 9. Notions supérieures et notions inférieures 
 142
§ 10. Genre et espèces 
 143
§ 11. Genre suprême. — Espèce dernière 
 ib.
§ 12. Notions plus larges et Notions plus étroites. — Notions réciproques 
 145
§ 13. Rapport de la notion supérieure à l’inférieure, de la plus large à la plus étroite 
 ib.
§ 14. Règles générales concernant la subordination des notions 
 ib.
§ 15. Condition de la formation des notions supérieures et des inférieures : abstraction logique et détermination logique 
 146
§ 16. Usage des notions in abstracto et in concreto 
 ib.
CHAP. II. Des jugements 
 148
§ 17. Définition du jugement en général 
 ib.
§ 18. Matière et forme des jugements 
 ib.
§ 19. Objet de la réflexion logique, — la simple forme des jugements 
 149
§ 20. Formes logiques des jugements : quantité, qualité, relation et modalité 
 ib.

TABLE DES MATIÈRES. 245 § 21. Quantité des jugements : généraux, particuliers, singuliers. .140 § 22. Qualité des jugements : affirmatifs, négatifs, indéfinis. . . 153 § 23. Relation des jugements : catégoriques, hypothétiques, disjonctifs 154 § 24. Jugements catégoriques 155 § 25. Jugements hypothétiques 156 § 26. Modes de liaison dans les jugements hypothétiques 157 § 27. Jugements disjonctifs ib. § 28. Matière et forme des jugements disjonctifs ib. § 29. Caractère propre des jugements disjonctifs 158 § 30. Modalité des jugements : problématiques,assertoriques, apodictiques 161 § 31. Des jugements exponibles. . 163 § 32. Des propositions théorétiques et des propositions pratiques. 164 § 33. Propositions indémontrables et propositions démontrables, ib. § 34. Des principes ib. § 35. Principes intuitifs et principes discursifs, axiomes et acroames. 165 § 36. Propositions analytiques et propositions synthétiques. . . . ib. § 37. Propositions tautologiques ib. § 38. Postulats et problèmes 166 § 39. Théorèmes, corollaires, lemmes, et scholies . . 167 § 40. Des jugements de perception et des jugements d’expérience. . 168 CHAP. III. DU RAISONNEMENT 169 § 41. Du raisonnement en général ib. § 42. Raisonnementsimmédiats et raisonnements médiats. . . . . ib. § 43. Raisonnement de l’entendement, raisonnement de la raison et raisonnement du jugement ib. SECT. I. DES RAISONNEMENTS INTELLECTUELS OU DE L’ENTENDEMENT. 170 § 44. Nature des raisonnementsintellectuels ib. § 45. Modes des raisonnementsintellectuels 171 § 46. I. Raisonnements immédiats par rapport à la quantité des jugements (per judicia subalternata). ib. § 47. II Raisonnementsimmédiats par rapport à la qualité des jugements (per judicia opposita) 172 § 48. a) Raisonnements immédiats (per judicia contradictorie opposita ) ib. § 49. b) Raisonnementsimmédiats (per judicia contrarie opposita). 183 § 50. c) Raisonnements immédiats (per judicia subcontrarie opposita) ib. § 51. III. Raisonnements immédiats quant à la relation des jugements ( per judicia conversa, seu per conversionem) 174 § 52. Conversion simple et conversion par accident ib. 53. Règles générales de la conversion 175 § 54. IV. Raisonnementsimmédiats par rapport à la modalité des jugements (per judicia contraposita) 176 § 55. Règles générales de la contraposition ib.

Sect. II. Des raisonnements de la raison 
 177
§ 56. Du raisonnement rationnel en général 
 ib.
§ 57. Principe général du raisonnement rationnel 
 ib.
§ 58. Eléments essentiels du raisonnement rationnel 
 178
§ 59. Matière et forme du raisonnement rationnel 
 179
§ 60. Division des raisonnements rationnels quant à la relation, en catégoriques, hypothétiques et disjonctifs 
 ib.
§ 61. Différence propre entre les raisonnements rationnels catégoriques, les hypothétiques et les disjonctifs 
 180
§ 62. I. Raisonnements catégoriques 
 181
§ 63. Principes des raisonnements rationnels catégoriques 
 ib.
§ 64. Règles pour les raisonnements rationnels catégoriques 
 182
§ 65. Raisonnements rationnels catégoriques purs et raisonnements catégoriques mixtes 
 184
§ 66. Des raisonnements mixtes par la conversion des propositions. — Figures 
 ib.
§ 67. Des quatre figures du syllogisme 
 185
§ 68. Principe de la détermination de la différence des figures par la position différente du moyen terme 
 ib.
§ 69. Règle de la première figure comme seule régulière 
 ib.
§ 70. Condition de la réduction des trois dernières figures à la première 
 186
§ 71. Règle de la deuxième figure 
 187
§ 72. Règle de la troisième figure 
 188
§ 73. Règle de la quatrième figure 
 ib.
§ 74. Résultats généraux sur les trois dernières figures 
 189
§ 75. II. Raisonnements rationnels hypothétiques 
 190
§ 76. Principe des raisonnements hypothétiques 
 191
§ 77. III. Raisonnements rationnels disjonctifs 
 ib.
§ 78. Principe des raisonnements rationnels disjonctifs 
 192
§ 79. Dilemmes 
 ib.
§ 80. Raisonnements formels et raisonnements cryptiques 
 193

{{table|titre= Sect. III. Raisonnements du jugement 194 {{table|titre= § 81. Jugement déterminatif et jugement réflexif ib. {{table|titre= § 82. Raisonnements du jugement réflexif ib. {{table|titre= § 83. Principe de ces sortes de raisonnements 195 {{table|titre= § 84. De l’induction et de l’analogie ; les deux espèces do raisonnements du jugement ib. {{table|titre= § 85. Raisonnements rationnels simples et raisonnements rationnels composés 197 {{table|titre= § 86. Ratiocinatio polysyllogistica ib. {{table|titre= § 87. Prosyllogismes et épisyllogismes ib. {{table|titre= § 88. Sorite ou chaîne syllogislique 198 {{table|titre= § 89. Sorites catégoriques et sorites hypothétiques ib. {{table|titre= § 90. Raisonnements délusoires, — Paralogismes. — Sophismes.. ib. {{table|titre= § 91. Saut dans le raisonnement 199

§ 92. Petitio principii. — Circulus in probando 
 ib.
§ 93. Probatio plus et minus probans 
 200
SECONDE PARTIE.
méthodologie générale
§ 94. Manière et méthode 
 201
§ 95. Forme de la science. — Méthode 
 ib.
§ 96. Méthodologie, son objet et sa fin 
 ib.
§ 97. Moyen d’obtenir la perfection logique de la connaissance 
 202
§ 98. Conditions de la clarté de la connaissance 
 ib.
I. Perfection logique de la connaissance par la définition, l’exposition et la description des notions 
 ib.
§ 99. Définition 
 203
§ 100. Définition analytique et définition synthétique 
 ib.
§ 101. Notions données et notions formées a priori et a posteriori 
 ib.
§ 102. Définitions synthétiques par exposition ou par construction 
 ib.
§ 103. Impossibilité des définitions empiriquement synthétiques 
 204
§ 104. Définitions analytiques des notions par la décomposition des notions données a priori ou a posteriori 
 205
§ 105. Expositions et descriptions 
 206
§ 106. Définitions nominales et définitions réelles 
 207
§ 107. Conditions principales de la définition 
 208
§ 108. Règles pour l’examen des définitions 
 209
§ 109. Règles des définitions 
 ib.
II. Condition de la perfection de la connaissance par la division logique des notions 
 210
§ 110. Idée de la division 
 ib.
§ 111. Règle générale de la division logique 
 211
§ 112. Codivisions et subdivisions 
 212
§ 113. Dichotomie et polytomie 
 ib.
§ 114. Différentes divisions de la méthode 
 213
§ 115. a Méthode scientifique et méthode populaire 
 ib.
§ 116. b Méthode systématique et méthode fragmentaire 
 214
§ 117. c Méthode analytique et méthode synthétique 
 215
§ 118. d Méthode syllogistique et méthode tabulaire 
 ib.
§ 119. e Méthode acroamatique et méthode érotématique 
 ib.
§ 120. Méditer 
 216
APPENDICE A LA THÉORIE DU RAISONNEMENT CATÉGORIQUE.
La fausse subtilité des quatre figures du syllogisme démontrée 
 217
§ 1. Notion générale de la nature des raisonnements rationnels 
 ib.
§ 2. Règle suprême de tout raisonnement rationnel 
 220
§ 3. Des raisonnements rationnels purs et des raisonnements rationnels mixtes 
 222
§ 4. Ce qu’on appelle la première figure du syllogisme ne contient que des raisonnements rationnels purs, et les trois autres que des raisonnements rationnels mixtes 
 224
Il ne peut y avoir dans la deuxième figure que des raisonnements mixtes (hybrides) 
 225
La troisième figure ne peut contenir que des raisonnements rationnels mixtes 
 227
La quatrième figure ne peut contenir que des raisonnements rationnels mixtes 
 228
§ 5. La division logique des quatre figures du syllogisme est une fausse subtilité 
 231
§ 6. Observations finales 
 235




FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.





LOGIQUE


DE


KANT


PAR J. TISSOT
DOYEN DE LA FACULTÉ DES LETTRES DE DIJON


_____________


SECONDE EDITION FRANCAISE


____________


PARIS
LIBRAIRIE PHILOSOPHIQUE DE LADRANGE
RUE SAINT-ANDRÉ-DES-ARTS, 41
__
1862