Livre:Guérin - L’Homme intérieur, 1905.djvu
Titre | L’Homme intérieur : 1901-1905 |
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Auteur | Charles Guérin |
Maison d’édition | Société du Mercure de France |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1905 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
I
AVANT QUE MON DÉSIR DOULOUREUX SOIT COMBLÉ 5
II
J’AI CROISÉ SUR LA ROUTE OU JE VAIS DANS LA VIE 13
III
JE SUIS ASSIS DEVANT LA PORTE DE LA FERME 15
IV
MA FENÊTRE ÉTAIT LARGE OUVERTE SUR LA NUIT 17
V
TEL QUE L’ACIER QU’ON FORGE AU SORTIR DE LA FLAMME 19
VI
CRÉPUSCULE. UNE ÉTOILE AU SUD. GRILLONS. SOUPIR 21
VII
IL N’EST RIEN DE VIVANT QUI NE VIEILLISSE POINT 23
VIII
IL EST DES SOIRS OU L’ON SE SENT 27
IX
LE POÈTE VEILLE AUJOURD’HUI 30
X
O DÉCLIN D’UN BEAU JOUR DE MAI 32
XI
ON TROUVE DANS MES ANCIENS VERS 34
XII
QUAND AOUT S’APPESANTIT SUR LES VILLAGES BLANCS 37
XIII
SEPTEMBRE. JE RESPIRE AUTOUR DE LA MAISON 41
XIV
EN OCTOBRE, QUAND TU VERRAS 42
XV
ENIVRÉ DE VOIR QUE TON FLANC 44
XVI
LE FORGERON LEVÉ DÈS L’ÉTOILE DU JOUR 49
XVII
LE TEMPS N’A POINT PALI TA SOUVERAINE IMAGE 51
XVIII
SI TU VEUX VOIR UN VASE AUX BELLES FORMES NAITRE 53
XIX
SUIS JUSQU’A LA FONTAINE OU FINIT SON CHEMIN 55
XX
J’ÉTAIS COUCHÉ DANS L’OMBRE AU SEUIL DE LA FORÈT 57
XXI
VOICI L’HEURE OU LE JOUR NAISSANT CHASSE LA NUIT 60
XXII
LES CERISIERS, QU’ON VOIT EN LONGUES AVENUES 62
XXIII
LA LUNE RONDE S’ÉLÈVE 64
XXIV
SAISON FIDÈLE AUX COEURS QU’IMPORTUNE LA JOIE 67
XXV
QUE M’IMPORTE AUJOURD’HUI QU’ON ME HAÏSSE OU M’AIME. 70
XXVI
LA DOULEUR EST UN VIN D’UNE ACRETÉ SAUVAGE 73
XXVII
JE DÉFENDS L’ACCÈS DE MES YEUX 74
XXVIII
LE SILENCE ET L’OMBRE ENVAHISSENT 77
XXIX
J’ÉPROUVE A ME HAÏR UNE FAROUCHE JOIE 80
XXX
AH ! CE BRUIT AFFREUX DE LA VIE ! 82
XXXI
TA JEUNESSE, A TORT OBSTINÉE 84
XXXII
QUOIQUE TON AME AIT LE DROIT 86
XXXIII
TIRÉSIAS. PROPHÈTE ANCIEN, PERDIT LA VUE 88
XXXIV
HERCULE, AVANT QU’IL ABOUTISSE 89
XXXV
SI JAMAIS A MON SEUIL S’ARRÈTE LE BONHEUR 91
XXXV
JE RETROUVE, EN RENTRANT CE SOIR A MON FOYER 93
XXXVII
DE LOIN L’ARBRE ISOLÉ SUR LE COTEAU NE VOILE 99
XXXVIII
JE PASSE TRISTEMENT CES SEMAINES D’HIVER 101
XXXIX
NOUS MONTONS DANS LA VIE EN PEINANT CÔTE A CÔTE 109
XL
C’EST L’HEURE APRÈS LA PLUIE OU, REDEVENANT PUR 113
XLI
DEMEURONS JUSQU’AU BOUT DEUX AMES INSOUMISES 116
XLII
QUE M’IMPORTE LA VILLE OU JE ME TROUVE ICI ? 118
XLIII
ELLE M’ÉCRIT : ENCORE UN JOUR VÉCU POUR RIEN 120
XLIV
TON IMAGE EN TOUS LIEUX PEUPLE MA SOLITUDE 123
XLV
QUAND MON ESPRIT S’APPRÈTE A FAIRE UN LONG VOYAGE. 125
XLVI
COMME JE M’ACCUSAIS D’AVOIR A QUELQUE ÉCRIT 127
XLVII
L’AMBRE, LE SEIGLE MUR, LE MIEL PLEIN DE LUMIÈRE 130
XLVIII
DANS CE CLOÎTRE IGNORÉ DES GUIDES 132
XLIX
SI CONTRAINT PAR L’AMOUR A SOUFFRIR EN SECRET 134
L
MON AMOUR INÉGAL EST PLEIN D’EMPORTEMENTS 136
LI
L’AMOUR LE PLUS LIMPIDE A SA SECRÈTE MOUE 138
LII
DÈS LE PREMIER MOMENT, CE JOUR-LA, TU COMPRIS 140
LIII
UN AUTRE JOUR C’ÉTAIT SOUS UN PORCHE D’ÉGLISE 143
LIV
DANS LE VERGER QUE JUIN PAVOISE DE CERISES 145
LV
COUPLE NEUF, ON VOYAGE EN WAGON JUSQU’AU SOIR 149
LVI
PARFOIS, CRAINTIVEMENT, DANS MES BRAS TU TE SERRES 152
LVII
LES OMBRES D’UNE NUIT D’AUTOMNE SONT VENUES 159
LVIII
BIEN QUE MORT A LA FOI QUI M’ASSURAIT DE DIEU 166
LIX
J’ALLAIS VOIR SE LEVER LE JOUR SUR LA MONTAGNE 168
LX
DONC TU VAS HORS DES LIEUX OU T’ENCHAINAIT LE DOUTE. 174
LXI
MAIS RESTREINTE AU DÉSIR D’UNE GLOIRE INHUMAINE 176