Livre:Blanc de Saint-Bonnet - De la légitimité.djvu
Titre | La Légitimité |
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Auteur | Antoine Blanc de Saint-Bonnet |
Maison d’édition | Casterman ; Librairie Internationale Catholique ; L.-A. Kittler ; Frédéric Chiapperini |
Lieu d’édition | Tournai ; Paris ; Leipzig ; Rome |
Année d’édition | 1873 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
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Introduction
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TABLE DES MATIÈRES.
PRÉLIMINAIRES.
I.
CAUSES RÉELLES DE NOS REVERS.
Avant-propos
i
I.
Mécomptes de la Révolution
1
II.
Où se tient notre espoir
4
III.
Causes morales de nos revers
9
IV.
Notre horreur de l’autorité
11
V.
Causes intellectuelles de notre abaissement
15
VI.
Notre aversion de Dieu
20
VII.
Peuple et Aristocratie de la Révolution
23
VIII.
Gouvernements de la Révolution
26
IX.
Finances de la Révolution
28
X.
Situation providentielle de la France
32
XI.
Persistance de notre mission providentielle
36
XII.
Où s’est réfugiée la vie nationale
40
XIII.
Sens de la Révolution française
44
XIV.
Voies de la Providence à notre égard
48
XV.
Temps qui suivront la Révolution
52
XVI.
Urgence de nos tribulations
57
XVII.
Répartition des châtiments
60
XVIII.
Sens et moralité de la guerre
64
XIX.
Sens et moralité de la victoire
67
II.
SIÉGE DE NOS ERREURS.
I.
Premier obstacle au salut de la France : nos présomptions
74
II.
Second obstacle au salut de la France : son athéisme en politique
79
III.
Troisième obstacle au salut de la France : ses classes libérales
82
IV.
Obstacle persistant au salut de la France : son aristocratie
86
V.
Nature et effets du Libéralisme
91
VI.
Catholicisme libéral
95
VII.
Erreur première d’où provient le Libéralisme
100
VIII.
La thèse du libéralisme s’évanouit devant le fait du mal
104
IX.
La thèse du libéralisme s’évanouit devant le fait de la Société
106
X.
Philosophes et hommes d’État du Libéralisme
108
XI.
Ils ont formé les démagogues
111
XII.
Profits du Libéralisme
114
XIII.
Coutumes du Libéralisme
119
XIV.
Crime du Libéralisme
122
XV.
Race née du Libéralisme
125
XVI.
Abîme ouvert par le Libéralisme
129
XVII.
Le Libéralisme conduit à la Commune
134
XVIII.
Les honnêtes gens peuvent-ils nous sauver ?
137
XIX.
Nullité définitive du Libéralisme
141
XX.
Les temps présents
146
XXI.
Fin de la Révolution. Nécessité de recourir à la conception même de la Société
151
PREMIÈRE PARTIE.
LOIS D’OR DE LA SOCIÉTÉ.
I.
Source de la politique
159
II.
Source des théories et valeur de l’histoire
161
III.
De la pratique en politique
164
IV.
La sagesse est la voie de la politique
167
V.
La politique, progressive et non immuable
169
VI.
Objet de la Société constituer la liberté et la nature humaine
172
VII.
Nature de l’erreur politique
176
VIII.
Essence de la Société humaine
180
IX.
Essence du pouvoir politique
183
X.
Lois d’or de la Société
186
XI.
Partout ces lois d’or se font jour
189
XII.
Lois d’or de la politique
193
XIII.
Lois d’or des nations
196
XIV.
Tiges fécondes et tiges mortes de la civilisation
199
XV.
Par qui nous sommes constitués en civilisation
203
XVI.
Par qui nous sommes maintenus dans le droit
206
XVII.
Lois d’or de la nature humaine
209
XVIII.
La liberté est le pouvoir d’accomplir de soi-même sa loi
212
XIX.
Le fait de la Société
217
XX.
Le fait de la Révolution
219
XXI.
L’erreur de fait sur la Société
222
XXII.
Le fait de l’Autorité
225
XXIII.
Le fait de l’Aristocratie
228
XXIV.
Fait de la démocratie et fait de la hiérarchie
231
XXV.
La liberté et le libéralisme
234
XXVI.
Le fait de la Chute renverse le libéralisme
236
XXVII.
Libéralisme, ruine des libertés
238
XXVIII.
Les droits publics abolissent le libéralisme
241
XXIX.
Bases des libertés réelles
244
XXX.
Identité du despotisme et du libéralisme
246
XXXI.
Démocratie chrétienne
250
XXXII.
Éducation publique
252
XXXIII.
Moyen de relever les idées et les mœurs
257
XXXIV.
Notre littérature achève d’établir le règne du médiocre
XXXV.
Les grands sentiments se placent avant les sciences
264
XXXVI.
Devoirs des gouvernements pour réédifier l’homme et la Société
267
XXXVII.
L’ancien régime et le nouveau
270
XXXVIII.
Le danger peut renaître d’une alliance de l’erreur avec la vérité
275
XXXIX.
L’État doit condamner les points condamnés par l’Église
278
XL.
Perfidie de notre langue politique
281
DEUXIÈME PARTIE.
BASES RÉELLES DES LIBERTÉS.
I.
Remplacer les droits faux par les droits véritables
289
II.
Ne point confondre la France et l’Angleterre
292
III.
Constitution française
297
IV.
Rendre la France à sa nature et à ses lois
299
V.
Rétablir nos droits publics et privés
302
VI.
Le despotisme vient de l’absence d’aristocratie
306
VII.
L’aristocratie anglaise est la nôtre
309
VIII.
Aristocratie agricole et aristocratie industrielle
313
IX.
Le paupérisme provient de l’industrie
315
X.
Aristocratie de la France
318
XI.
Hérédité du mérite
321
XII.
Véritable Aristocratie
326
XIII.
De l’excès d’industrie
328
XIV.
Classes moyennes, problème de l’avenir
333
XV.
Ou l’aristocratie, ou la bureaucratie
336
XVI.
Bureaucratie et gallicanisme, ou suppression de la nation
338
XVII.
Les droits des hommes
341
XVIII.
Véritables libertés des hommes
443
XIX.
Cercle vicieux de la démocratie et du despotisme. Remède
345
XX.
Pluralité d’ordres et non pluralité de Pouvoirs
348
XXI.
Centralisation et Parlementarisme
351
XXII.
Parlementarisme. — Centralisation. — Césarisme
354
XXIII.
Le grand problème en politique (unité-variété)
358
XXIV.
Solution du Problème
360
XXV.
La Révolution détruit notre droit dans son germe
364
XXVI.
La Révolution abolit l’homme tout entier
366
XXVII.
Ou les provinces, ou le despotisme
369
XXVIII.
Enseignements que nous donne l’histoire
373
XXIX.
Droits publics et droits politiques
375
XXX.
La décentralisation suppose une aristocratie
379
XXXI.
La centralisation tue l’aristocratie et la nation
383
XXXII.
Fonctions supérieures des aristocraties
386
XXXIII.
Cachet de la vraie noblesse, Société de Saint-Vincent-de-Paul
389
XXXIV.
Anoblissements de la bourgeoisie. (Premier point de fait)
392
XXXV.
Des anoblissements sortira l’avenir de la France
396
XXXVI.
Constitution de la propriété. (Deuxième point de fait)
399
XXXVII.
De la constitution de la propriété sortira la paix de la France
402
XXXVIII.
Pratique actuelle : représentation de la France
405
XXXIX.
Le parlementarisme est l’abolition du pays
409
XL.
Récapitulation, retour au principe générateur de la politique
413
TROISIÈME PARTIE.
MOYENS DE GOUVERNER.
I.
Droit de la Société
424
II.
Élément que nous apporte la Royauté
426
III.
Hérédité des familles royales
429
IV.
Dieu choisit les rois
433
V.
L’amour des peuples pour leurs rois
437
VI.
Légitimité des rois
441
VII.
Avantage pratique de cette Légitimité
445
VIII.
Divine investiture des rois
448
IX.
Opération nationale des rois
451
X.
La Liberté, en politique, vient de la Légitimité
455
XI.
Garanties royales
459
XII.
Vraie notion du gouvernement
464
XIII.
Distinction et situation des deux Pouvoirs
468
XIV.
Situation politique : Premier moyen d’en sortir
472
XV.
Le grand moyen de gouverner. (Premier point de fait)
475
XVI.
La Société libre
478
XVII.
Libéralisme, ou retour au Césarisme
481
XVIII.
Césarisme, ou abolition de la Société libre
484
XIX.
L’Etat doit-il protection à l’Eglise ? (Deuxième point de fait)
488
XX.
L’Eglise libre et les sociétés libres
492
XXI.
L’Eglise fonde les sociétés libres
496
XXII.
Gouvernement parlementaire ; l’Autorité ne se partage pas en trois
500
XXIII.
Choisir entre un orateur et un roi
504
XXIV.
L’Autorité s’étend du Roi à tous les hommes
507
XXV.
Insuffisance des gouvernements, nécessité des aristocraties. (Troisième point de fait)
510
XXVI.
Résistance et solidité nationale des aristocraties
514
XXVII.
Retour au véritable enseignement. (Quatrième point de fait)
521
XXVIII.
Elément religieux et élément laïque au sein de l’enseignement
525
XXIX.
Formation du conseil royal de l’instruction publique
529
XXX.
Enseignement supérieur
533
XXXI.
Philosophie et exercice de la raison
534
XXXII.
Hautes études : Entretien des principes
541
XXXIII.
Soutenir les hautes études
545
XXXIV.
Premier principe de l’élection
549
XXXV.
Pourquoi il existe deux chambres
552
XXXVI.
Chambre des pairs (Cinquième point de fait)
556
XXXVII.
Chambre élective : ses éléments
561
XXXVIII.
Chambre élective : Ses attributions (Sixième point de fait)
563
XXXIX.
Tout doit être représenté par l’élection
567
XL.
Véritable élément électoral
571
XLI.
Suffrage rationnel
575
XLII.
Question des classes ouvrières
580
XLIII.
Nullité des solutions. Légitimité du travail
583
XLIV.
Effets de l’augmentation des salaires et de la diminution du travail
587
XLV.
Solution du problème (Septième point de fait)
590
XLVI.
Moyen de salut : Constitution de la propriété (Huitième point de fait)
594
XLVII.
Cause du paupérisme
599
XLVIII.
Remède au paupérisme. Où se construit, où se détruit le capital
603
XLIX.
Solution politique du problème (Neuvième point de fait)
606
L.
Liberté de la presse et des cabarets (Dixième point de fait)
611
LI.
Dernier danger ; recours à la constitution de la propriété
615
LII.
Péril que couvrait la fusion
620
LIII.
Véritable fusion, obtenue par les anoblissements légitimes
625
LIV.
Ne pas écrire de constitution (Onzième point de fait)
630
LV.
Dernières réflexions sur la Pairie
636
LVI.
Tenir compte de la situation
638
LVII.
Question de vie ou de mort pour l’aristocratie française. (Douzième point de fait)
643
REVUE RAPIDE, points principaux, besoins urgents
649
Structure de la Société. — Hiérarchie et égalité. — Hiérarchie et démocratie. — Liberté véritable. — Situation des deux pouvoirs. — Royauté, son origine. — Droit divin. — Droit divin. — Droit national. — Légitimité. — Aristocratie. — Pairie. — Limites de l’autorité. — La France et les Bourbons, etc., etc. — Post-scriptum : l’avenir.
Tournai, typ. Casterman.