XXIV

Vendredi matin, octobre 1842.

Je vous remercie bien d’être venue hier, vous m’avez fait grand plaisir. J’espère que votre frère n’a rien trouvé d’extraordinaire à la rencontre. J’ai un cachet étrusque pour vous ; je ne puis souffrir celui dont vous vous servez. Je vous donnerai l’autre la première fois que je vous verrai. Voici la page de grec que je vous avais préparée ; quand vous retomberez dans l’érudition, elle pourra vous servir.