CXLIV

Vendredi soir, 1er mai 1852.

Ma bonne mère est morte ; j’espère qu’elle n’a pas trop souffert. Elle avait les traits calmes et l’air doux qui lui était ordinaire. Je vous remercie de tout l’intérêt que vous lui avez témoigné.

Adieu ; pensez à moi et donnez-moi vite de vos nouvelles.