Les veillées d’un fouteur, 1832, Bandeau de début de chapitre
Les veillées d’un fouteur, 1832, Bandeau de début de chapitre


CHARADE


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L’église me proscrit, et le mortel m’adore,
Tous mes liens de fleurs se brisent quand je veux.
On retrouve chez moi tout ce qu’un homme honore
Et ce qu’aiment surtout, un bon nombre d’entr’eux ;
Ces deux sujets divins qui charment l’existence
Ne font pas tout mon nom, j’y joins un mot latin ;
Bref, pour arriver à la fin,
Ce qu’à l’agriculteur, ordonne la science
Qu’il doit observer de si près,
Et puis ce que surtout en France,
Une femme ne dit jamais.


Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre
Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre