George E. Desbarats, éditeur (p. 80).


ACROSTICHE.


E Ile était jeune et j’étais solitaire,
U n jour le ciel me la fit rencontrer,
P auvre exilé, sur la terre étrangère
H eureux alors, je jurai de l’aimer.
É tonnez-vous, s’il vous plaît, de ma chance,
M ais le Bon Dieu bénira nos amours ;
I ci je crois, par moments, être en France,
E n me disant : « Je l’aimerai toujours. »