Les carrosses à cinq sols/06
Imprimerie de Firmin Didot, (p. 38-39).
APOSTILLE DE LA MAIN DE PASCAL.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/00/Monmerqu%C3%A9_-_Les_carrosses_%C3%A0_cinq_sols_%28page_45_crop%29.jpg/500px-Monmerqu%C3%A9_-_Les_carrosses_%C3%A0_cinq_sols_%28page_45_crop%29.jpg)
J’ajouterai à ce que dessus, qu’avant-hier, au petit coucher du Roi, une batterie dangereuse fut entreprise contre nous par deux personnes de la cour, les plus élevées en qualité et esprit, et qui allait à la ruiner en la tournant en ridicule, et qui eût donné lieu d’entreprendre tout ; mais le Roi y répondit si obligeamment et si sèchement pour la beauté de l’affaire et pour nous, qu’on rengaîna et promptement. Je n’ai plus de papier. Adieu ; je suis tout à vous[1].
- ↑ L’original autographe de cette lettre fait partie des manuscrits de Pomponne, à la Bibliothèque royale de l’Arsenal.