Les StancesSociété du Mercure de France (p. 135-136).

X


Ô monts justement fiers de vos pentes arides,
Ô bords où j’égarais mes pas,
Ô vagues de la mer, berceau des Néréides,
Que je fendais d’un jeune bras,


J’ai peur de vous revoir, mais c’est une folie :
Sied-il qu’un cœur comme le mien
Soit assouvi jamais de la mélancolie
De votre charme aérien ?