Les StancesSociété du Mercure de France (p. 127-128).

VI


En dépit de mes maux, de la nuit de mon âme,
Je me sens plus vivant
Que ne le fut jamais sur le brasier la flamme
Quand l’exalte un bon vent.


Misérable démon, qui t’attaches à nuire,
Pauvre facétieux,
Tu vois bien qu’à la fin nous pouvons te réduire,
Et moi-même et les dieux.