Les Grotesques de la musique/ch56
Librairie nouvelle, (p. 210).
Autre mot de M. Auber.
Dernièrement un habitué de l’orchestre de l’Opéra,
ne reconnaissant pas la jeune danseuse qui entrait en
scène, demanda à un de ses voisins comment elle s’appelait :
« C’est Mlle zina, répondit celui-ci, dont le
maillot, vous le savez, s’est décousu le soir de son
premier début. — Accident remarquable, ajouta doucement
M. Auber qui se trouvait là, car ce fut une des
rares occasions où le décousu a du succès. »