CHAPITRE IX

Un jour, ma mère décida que toutes les servantes coucheraient au dernier étage du Château, sous les toits. Elles se mirent à s’installer, là-haut, pour le soir même.

Je les regardai faire.

Au moment où l’une d’elles, avec son matelas dans les bras, montait doucement les dernières marches, j’allai derrière elle et lui soulevai les cottes.

J’empoignai d’abord une paire de fesses très dures, je les pressai contre moi et enfonçai mon pouce dans son con qui était humide. Elle ne poussa aucun cri et se retourna en souriant comme flattée de ma galanterie, maintenant qu’elle me reconnaissait. C’était la brune Ursule, je l’emmenai au dernier étage où je l’embrassai.

Au premier baiser, elle sembla prendre fort bien la chose et elle me rendit le second. Alors je l’empoignai aux tétons et j’eus bientôt dans la main les dures demi-boules avec la pointe brune. Un geste rapide de la main gauche, sous la légère et courte robe, et j’eus sa motte, fortement poilue, en plein dans la main.

Elle serra les cuisses et se pencha un peu en avant. Je pris un tétin dans la bouche et je le suçai, tandis que mon doigt jouait avec son clitoris, que je découvris dans un état aussi excitable que possible. Bientôt ma main se glissa entre les cuisses et un, deux, trois doigts pénétrèrent dans le con.

Elle voulait s’en aller, mais je la poussai contre la muraille. Je sentais tout son corps frémir sous son léger vêtement. Vite je sortis mon vit et le poussai dans le con. La position était incommode, et comme la jeune fille était grande et forte, je n’aurais pas pu la baiser si elle n’y avait mis du sien.

Je la baisai ainsi debout. Elle devait être très chaude, car ça lui vint très vite. Pour moi aussi, j’étais sur le point de décharger à cause de la position qui était très fatigante, mais nous entendîmes du bruit dans les chambres et Ursule se dégagea. Mais le bruit cessa bientôt. Alors je lui montrai mon vit d’un rouge sombre et tout humide de sa décharge. Elle le regarda avec attention, car c’était la première fois qu’elle voyait le vit d’un monsieur de la ville, disait-elle.

« Allons, laisse-moi voir », lui dis-je.

Elle le fit pudiquement. Je levai sa jupe et pus voir ses jambes nues très bien faites et entre les cuisses dures, une sérieuse toison noire. Grâce à Dieu, elle ne portait pas de pantalon comme les dames de la ville qui font les mijaurées quand on leur tripote le con, ce que, d’ailleurs, elles aiment autant, sinon plus que les paysannes. Je me reculai en tenant sa jupe et sa chemise, puis je me rapprochai et promenai mes mains sur son ventre et ses cuisses.

Ensuite, je mis mon nez dans son con qui sentait l’œuf — à cause de sa récente décharge — et la pisse. Comme je portais ma langue sur son clitoris, elle se mit à rire et laissa retomber sa jupe. Mais je la tins fort et continuai à léchotter tout son corps sous ses jupes et cela me faisait bander davantage. Mais comme le bruit recommença, Ursule se dégagea pour de bon.

Je dus m’en aller, mais comme elle se retournait, je soulevai encore une fois ses jupes par-derrière et je mis à nu son vraiment superbe cul, d’une fermeté admirable.

« Encore un peu, Ursule », dis-je en la tenant ferme par la chemise.

Je baisai ses fesses, les maniai, les ouvris et sentis son trou du cul qui n’exhalait aucune odeur de merde, mais seulement celle de la sueur. Mais elle se dégagea définitivement en observant qu’elle ne comprenait pas comment un monsieur comme moi pouvait avoir plaisir à sentir les endroits puants d’un corps de paysanne.

Le soir, à dîner, je demandais bas à Berthe si je ne pourrais pas la baiser. Elle me dit que non. Je montai pour voir si je ne pourrais pas trouver une occasion de faire ce dont j’avais une grosse envie. Mais je ne trouvai rien.

Mon lit était déjà découvert, je me déshabillai et me couchai tout nu sur le ventre, étendis un mouchoir dessous, embrassai mon oreiller et me polluai ainsi en pensant à ma tante, à ma sœur, à tous les culs et cons de ma connaissance. Ensuite, je me reposai un peu, puis je recommençai ce branlage. Au moment où je sentais venir le sperme, j’entendis une voix derrière la porte qui disait : « Monsieur Roger, dormez-vous déjà, je vous apporte de l’eau. »

Je me levai, passai ma robe de chambre et ouvris. C’était une fille de cuisine nommée Hélène. Dès qu’elle fut entrée, je verrouillai la porte. Mon désir était si grand, que mon membre s’agitait comme un pendule.

J’empoignai aussitôt la belle paysanne joliment vêtue, au cul qu’elle avait très dur, et à ses gros tétons, en lui donnant une paire de baisers savoureux.

Elle prit tout de la bonne façon, mais lorsque j’en vins au con, elle me dit en rougissant : « J’ai mes affaires. » C’était malheureux. Je bandais comme un carme et elle me regardait le vit avec complaisance. Elle le maniait aussi très gentiment. Au moins je pouvais m’amuser avec ses tétons. J’ouvris sa camisole et les deux tétons me vinrent dans les mains. Ils étaient comme la fille, entièrement couverts de taches de rousseur, mais on ne pouvait leur adresser d’autre reproche.

Je ne lui laissai pas de paix qu’elle ne m’eût laissé voir, bien que mal volontiers, son cul et son con dont les poils roux et frisés étaient maintenant collés par le sang. Je la poussai sur une chaise et la laissai placer mon vit entre ses tétons. Ce fut très pratique, il disparaissait entre les seins dont la chair grasse était très agréable. C’eût été mieux si la voie avait été plus humide. Je le lui dis. Elle cracha sur mon vit entre ses tétons, ensuite elle y mit mon vit et pressa fortement sur ses seins. On apercevait en haut le gland et les couilles lui pendaient sous la poitrine.

Alors je commençai à me remuer en lui disant des mots tendres et en lui tapotant le visage ou bien encore en jouant avec les frisons de sa nuque. Il s’ensuivit une puissante décharge, qu’elle regarda attentivement, car le fait était aussi nouveau pour elle que pour moi.

Après m’être satisfait, je lui fis cadeau d’un foulard de soie qu’elle prit avec une grande joie en s’excusant de son état. Elle ajouta que les filles qui travaillaient avec elle à la cuisine allaient se coucher tard, mais que le matin, elle dormait beaucoup plus que les autres qui, de très bonne heure, allaient à la vacherie. Si je montais là-haut, je trouverais mieux à me satisfaire.

Son renseignement me plut infiniment. Le lendemain je prétextai l’installation d’un colombier sous le toit pour avoir l’occasion de monter dans les soupentes des bonnes. Mais je n’en vins pas encore à mes fins, car j’étais toujours dérangé.

Je pus attraper une fois Berthe et une fois Kate au cabinet, et leur regarder le con. Mais, comme à cause du mauvais temps, ma mère et ma tante causaient assidûment, ni Berthe ni Kate n’osaient aller plus loin que de me tâter le vit en passant.

Pour passer plus agréablement le temps, j’avais fait un trou à la cloison du cabinet qui consistait en un trou dans le sol. Et je pouvais passer l’après-midi à regarder toutes les filles et les dames chier, pisser et péter. Je pouvais voir leurs culs, trous du cul et cons dans toute leur splendeur et je vis qu’il n’y avait entre leurs aspects que la différence de couleur des poils et de la corpulence. Je me convainquis de la véracité du mot attribué à un garçon de ferme. Une comtesse l’avait admis à la baiser et, comme on lui en parlait, il répondit : « La chemise était plus fine, mais, sauf cela, tout était comme chez les autres femmes. »

Je pus voir tous les culs et cons du Château et le spectacle que m’offraient même les femmes que j’avais déjà baisées, me faisait toujours plaisir.

Pendant ce temps j’avais fait cadeau à Ursule d’un joli fichu, car ce n’était pas de sa faute si je n’avais encore pu la baiser complètement. Les autres filles l’avaient remarqué et toutes devenaient très gentilles pour moi, car elles n’étaient pas sottes et comprenaient qu’il était très agréable d’être baisées et de recevoir encore un cadeau par-dessus le marché.

C’est ainsi que me le dit l’une d’elles, un matin où tout était dans un profond repos, troublé seul par le bruit lointain des allées et venues dans l’étable.

J’étais monté et avais trouvé une porte non verrouillée qui donnait dans deux chambres à coucher.

Dans la chambre régnait une atmosphère pleine d’odeurs mêlées, exhalées par les corps des servantes, dont les vêtements pendaient à la muraille ou sur le pied du lit. Ces odeurs étaient d’abord très désagréables, mais dès qu’on s’y était habitué on les trouvait plutôt excitantes que suffocantes, c’était la véritable odor di femina :

Le parfum qui fait bander.

Les lits, faits à l’ancienne mode, étaient à deux places. Ils étaient tous vides sauf un, où une fille ronflait très fort.

Elle gisait sur le côté, tournée vers la muraille. Un pied était sur le bois du lit et son cul était d’autant plus exposé à mes regards qu’elle était toute nue.

Sa chemise grossière était posée près d’elle sur une chaise de bois avec ses autres vêtements. La dormeuse s’appelait Babette et ne pouvait supposer qu’on la voyait ainsi des pieds jusqu’à la tête. Sa peau aurait pu être plus fine, sa charpente était grossière, mais pas maigre.

J’approchai mon visage de son cul et sentis sa sueur pénétrante. Son trou du cul gardait encore quelques traces de sa dernière selle. Au-dessous on voyait très bien sa fente fermée, couronnée par des poils châtains.

Je la chatouillai doucement aux fesses et au con. Dès que j’eus mis le doigt dedans, elle fit un mouvement et se retourna. Je pus la contempler par-devant. Sa toison était frisée et sentait fortement la pisse, ce que je remarquai en mettant le nez dedans.

Il faut dire que ces servantes ne se lavaient le con que le dimanche. Il y a d’ailleurs beaucoup de dames très bien qui n’ont pas le temps de le faire plus souvent. Mais cette odeur m’excita et je bandais déjà.

Je verrouillai la porte et me mis tout nu. Puis je lui écartai les cuisses. Elle entrouvrit les yeux. « Babette, dis-je, en fourrant trois doigts dans son con, tu es ma petite chérie, regarde comme je bande. »

Elle se remua, me montra avec la main l’autre chambre, en disant : « Ursule est aussi là.

— Ça ne fait rien, avant qu’elle se réveille, nous avons le temps de tirer un coup. Regarde, ceci est pour toi. »

Et je lui donnai une petite bague en toc, que j’avais achetée à un colporteur. Puis je m’agenouillai sans rien dire autre, entre ses jambes qu’elle ouvrit volontiers. Je la laissai jouer avec mon vit et mes couilles tandis que je lui chatouillais le con. Quand elle fut à point, je l’enfilai jusqu’aux couilles, soulevai ses fesses, chatouillai son trou du cul. Elle me prit au cou et nous nous plongeâmes dans un délire de volupté qui, après un court engagement, se termina par une violente décharge des deux parts.

Pendant l’action, elle avait fortement transpiré et son odeur saine de jeune campagnarde me faisait souhaiter de retirer un second coup. Je pensais à l’enfiler en levrette. Mais elle eut peur d’être enceinte. D’ailleurs, elle devait se lever car c’était le jour où Ursule pouvait dormir plus longtemps. Je l’avais complètement oubliée et Babette rit beaucoup, lorsque je dis que je voulais l’éveiller.

Tandis que Babette s’essuyait le con avec sa chemise, je passai dans l’autre chambre où Ursule dormait encore profondément.

Celle-ci était nue, mais recouverte jusqu’à la poitrine. Elle était sur le dos, les deux bras sous la tête, de façon qu’on pouvait voir les épais buissons noirs de ses aisselles. Ses jolis tétons ressortaient bien mieux à cause de la position de ses bras, des deux côtés desquels pendaient de façon charmante, les boucles de ses cheveux longs et épais. Tout était délicieux dans ce tableau. Dommage qu’elle ne fût qu’une paysanne et je ne comprends pas comment un homme peut préférer à la beauté naturelle d’une paysanne, les appas apprêtés d’une dame.

Sa chemise très propre était près d’elle. Je la sentis et m’étonnai de l’odeur de santé dont elle était imprégnée.

Tout doucement, je tirai la couverture et l’admirai toute nue. Je restai un moment étonné de l’aspect merveilleux de ses membres bien proportionnés, de sa motte très poilue, dont les poils noirs allaient des lèvres jusqu’aux cuisses. Elle se réveilla pendant que je l’embrassais sur la poitrine. Elle s’effraya et, d’abord se couvrit la motte avec la main. Puis en me reconnaissant, elle me sourit gentiment.

À ce moment, Babette parut à la porte, en disant : « Ursule, reste couchée, je ferai ton travail. » Et elle s’en alla.

J’embrassai Ursule jusqu’à ce qu’elle fût bien en chaleur. Je lui demandai de se lever et j’admirai son beau corps des pieds à la tête et de tous les côtés, en la faisant marcher dans la pièce. Puis je la pris dans mes bras très fort et nous nous tînmes longtemps ainsi enlacés.

Je plaquai mes deux mains sur ses fesses et poussai son ventre contre le mien. Elle pouvait sentir la fermeté de mon vit et ses poils chatouillaient mes couilles.

Le jeu lui plut. Elle m’entoura le cou ; sa poitrine pressait la mienne. Je lui tirai les poils de ses aisselles. Elle devint tout à fait excitée. Je mis ma main dans son con qui était enflé et humide. Son clitoris était tout à fait dur.

Nous nous mîmes au lit. Je la fis mettre à genoux et tenir le cul en l’air. Je visitai fiévreusement son trou du cul. Son con, couronné de poils noirs, s’entrouvrait. Je regardai avec plaisir sa fente bien rouge, puis je frottai mon gland contre les lèvres.

Cela lui fit plaisir. Elle secondait mes mouvements, doucement je laissai tout entrer, puis me retirai en recommençant, jusqu’au moment où je sentis que ça viendrait bientôt.

Elle jouissait comme une enragée, son con, complètement enflé, serrait fortement mon membre. Je le fis pénétrer complètement dedans, me pressai contre son cul, empoignai ses tétons et me secouai comme un fou. J’étais tout à fait hors de moi. Elle gémissait à chaque secousse. D’une main je pressai ses tétons, l’autre chatouillait son clitoris. Nous déchargeâmes en même temps. J’entendais mon vit claquer dans son con mouillé. Nous restâmes comme morts.

Quand je me retirai, je bandais encore. Elle avait honte, parce qu’elle ne se l’était jamais fait faire dans cette position.

Ce qui lui avait fait le plus plaisir, c’était les battements de mes couilles au bas de son dos. Je n’étais pas encore apaisé et je serais resté encore avec cette fraîche et jolie fille. Je l’aurais, si j’avais pu, épousée.

Elle me dit qu’il fallait qu’elle descendît. Elle remit sa chemise et je l’aidai à s’habiller. Elle souriait amicalement. Je la regardai de tous côtés encore une fois avant de m’en aller. Je promis de lui acheter un beau souvenir et elle s’engagea à venir passer une nuit avec moi.