Les Bordels de Paris

s. n. (p. Frontisp.-24).


Le Plaisir National.


LES BORDELS

DE PARIS.


L’expérience apprend tout, et l’on nous saura gré sans doute de tourner au profit du monde, et d’abord de la capitale, tout ce que nous a appris la cruelle expérience.

Jeunes encore, nous avons déjà fourni une bien longue carrière ; Dillon et la Froliere aux dépens de leurs corps, mais toujours aux frais et deniers des courtisanes ; Sartine plus généreux, aux dépens de sa personne et de sa bourse.

Réunis à la fois tous les trois sur le même point (celui de l’aimable et tendre Adeline), nous attendions un jour les faveurs de cette divinité si long-temps et si souvent adorée, de cette divinité qui n’est heureuse que par les libations et les sacrifices, de cette divinité enfin qui a fait courir tout, et qui finira bientôt par courir après tout ; nous attendions un jour, dis-je, et tour-à-tour les faveurs de cette svelte et fringante matrone, quand il survint un quidam d’un grand poids, qui, versant l’or à pleines mains dans les jours de notre misere, ainsi qu’un fleuve riche, fécond et rapide, rompit tous les obstacles, et s’ouvrit un grand passage dans le temple, où reposoit l’objet de son caprice et celui de nos vœux.

Le quidam éclipsa tout, et nous, soumis aux volontés et même aux ordres de la belle, nous fûmes forcés de disparoître, et de nous cacher selon L’usage. Sartine choisit le fond du jardin ; Dillon l’appartement de la femme-de-chambre, et la Troliere se tapit dans les écuries ; mais avant d’aller tous à notre destination, nous convinmes en nous séparant de nous occuper, dans ces momens de diette, de quelque objet intéressant pour l’humanité, pour cette humanité si dégradée, si avilie, qui va, dit-on, bientôt échapper aux fers, aux vices, et à toutes les calamités qui font le malheur de la génération présente.

Il fut fait comme il fut dit ; aussi lorsque le haſard nous rapprocha, nous nous communiquâmes le résultat de nos réflexions, et il se trouva que des matieres de bordel nous avoient occupés tous les trois également : il fut donné à ces matieres les développemens les plus ſavans et les plus lumineux ; et du choc de nos opinions, de nos débats et de nos diſcuſſions profondes, il naquit le plan que nous publions ; plan glorieux qui distinguera la vertu de la prostitution ; plan sublime, qui mettra les hommes à l’abri de la ruine qu’entraîne leur libertinage ; plan salutaire, qui anéantira par gradation le venin qui se propage dans l’espece humaine, et qui fait souffrir un siecle de peine pour deux minutes, de plaisir ; plan dont on ne peut connoitre les rapports, le fruit et l’excellence, que lorsqu’on est versé comme nous dans le grand art des mouvemens et du fluide de la belle nature.

Lisez, Illustres, et Décretez.

Plus d’un d’entre vous a gémi des douleurs cuisantes, que l’amour du cotillon lui a causées ; aussi est il temps d’étendre sur vos vues bienfaisantes jusqu’à clouer la santé chez tous vos freres et confreres, pour qui vous avez tant fait, à qui vous n’auriez procuré le bonheur qu’à moitié, si par des justes mesures vous n’écartiez loin d’eux le fléau si connu, et malheureusement si redouté par les hommes même, qui en ont été plusieurs fois les victimes.

Il est urgent d’interdire la prostitution, dont des femmes viles font le métier, et commerce dans tous les quartiers, dans tous les carrefours, et dans toutes les places de la capitale, les dangers qu’on court sont terribles ; et c’est pour parer à ces dangers, que nous avons imaginé le projet suivant, que nous soumettons à votre sagesse, à vos lumieres, et à votre pudeur.

On établira dans chacun des faubourgs Saint-Germain, Saint-Honoré, Saint-Antoine, et Saint-Marceau, une maiſon vaste, belle, et propre à y loger 400 personnes ; c’eſt-à-dire une abbesse, un premier médecin consultant, deux médecins en exercice, & quatre chirurgiens pour, opérer, ſurveiller trois cent jeunes personnes, qui auront toutes une cellulle richement et voluptueusement décorée, dans lesquelles elles pourront recevoir les amateurs du beau sexe. Dans chacune de ces quatre maisons, il [y] aura cinquante demoiselles surnuméraires, pour remplir les vides, et remplacer celles qui seront forcées de suspendre leurs exercices par des accidens survenus, qu’elles ſeront obligées de déclarer sans délais, au médecin du corps.

Sur le frontispice de chaque porte des quatre maisons on lira ces mots écrits en grand caractere, et tracés à la silouette

Du plaisir pour de l’or, & santé garantie.

Dans l’intérieur de chacune de ces maisons ; on y ménagera une salle spacieuse propre à y raſſembler toutes les femmes en activité d’emploi, c’est là qu’elles pourront donner bal, et souper en communauté. Ce n’est qu’à l’exigence des amateurs, qu’elles souperont tête-à-tête dans leurs appartemens, et dans le plus grand mistère.

On établira autour de cette salle, et en amphithéâtre, une galerie vaste, et bien éclairée, autour de laquelle seront suspendus les portraits bien ressemblans de toutes les nymphes consacrées au service public, afin que les curieux les passionnés amateurs puissent faire un choix capable tout à la fois de les animer et de les satisfaire.

L’inspecteur de la galerie aura soin de renverser et de retourner les portraits des demoiselles qui seront dans les fonctions de leurs charges ; afin qu’on ne choisisse pas celles qui viennent d’être choisies, et qui ne pourroient par conséquent nullement répondre aux velléités des demandeur.

Il existera à la porte un bureau où l’on distribuera des billets d’entrée, qu’on appellera billets d’introduction, et qu’on payera 6 livres ; en vertu de ces billets on ne pourra entrer que dans la galerie où se trouveront les portraits, et d’où l’on pourra voir en se promenant l’assemblée des courtisannes conventuées, qui seront sans ceſſe occupées au jeu ; à la danse, et aux badinages agaçans portés par les règlemens, qui seront moulés, et affichés, aux quatre angles de la salle.

Les amateurs, qui voudront s’introduire dans la salle pour y rire, danser, et souper seulement en communauté, et d’une manière honnête et décente, trouveront à la porte de la salle un second bureau où l’on distribuera d’autres billets, qu’on appellera billets de société qu’on payera 18 livres ; il ne sera permis de rester là que jusqu’à minuit, parce qu’alors on fera l’appel en général, et la retraite aura lieu sur le champ.

Ceux qui ne voudront pas souper en communauté, ou qui ayant soupé en communauté demanderont à passer la nuit dans le couvent de joie, d’après le choix qu’ils auront fait, seront conduits dans l’appartement de la belle, qui les aura séduits, & resteront-là, jusqu’à dix heures précises du lendemain matin. Avant d’arriver dans les appartemens des conventuées, on trouvera à l’entrée de chaque corridor un troisième bureau, où seront distribués d’autres billets, que l’on appellera billets d’escrime, & qu’on payera 24 liv.

On payera 6 liv. pour un billet d’introduction, 18 liv. pour un billet de société, & 24 liv. pour un billet d’escrime : au moyen de ces ſommes, on pourra, ou ſe borner à connoître le local & la figure des actrices, ou paſſer dans leur société, en leur parlant et en ſoupant en communauté avec elles, ou finir par jouir d’elles la nuit & tout le temps porté par les ſuſdits réglemens. Il en coûtera donc toujours 48 liv. avant d’avoir un billet d’escrime.

A dix heures préciſes du matin, on ſonnera le réveil, & à dix heures & demie, tous les externes ſeront partis ; les médecins & les chirurgiens feront juſqu’à onze heures, une viſite générale, pour s’aſſurer de la ſanté des courtiſannes, qui ſeront tenues, à leur tour, ſous peines d’expulſion & d’exil, de déclarer les défectuosités dangereuſes, qu’elles pourront découvrir, par leur vigilance, chez les hommes qui voudront s’unir à elles. Leur déclaration ſuffira pour vérifier ſi l’amateur doit ſe retirer ou reſter, en exigeant aucun acte qui puiſſe empoiſonner la perſonne qu’il a choiſie ; laquelle femme ne permettra rien qui l’expoſe à des accidens et maladies toujours graves, & toujours déſaſtreuſes.

A onze heures & demie, la communauté déjeûnera gaiment, pour ne ſonger, depuis midi juſqu’à trois heures, qu’à faire une toilette ſimple, mais élégante, qui donne tout-à-la-fois du piquant & des grâces.

A quatre heures, le dîner sera terminé, et l’on ne s’occupera plus jusqu’à cinq heures, qu’à des objets de recréation, soit dans le jardin, soit dans tel lieu que voudront les conventuées, dont le traitement consistera à être logées, nourries, et entretenues de tout, par les entrepreneurs, qui tiendront un magasin général, où les habits, robes, chapeaux, bijoux & autres. parures de toute espece, ſeront déposés ; leur traitement sera de 800 livres par année, lesquelles 800 livres leur seront continuées pendant toute la vie, après dix ans de service, et lesquelles 800 livres de pension seront hypothéquées sur l’entreprise même, pour la plus grande assurance des pensionnaires, qui se seront données tant de mouvement pour l’obtenir.

Comme il faut deux millions pour procéder à cet établissement utile, nous avons trouvé des capitalistes qui nous fourniront les fonds, qui auront (comme de raison) leurs grandes entrées, et qui formeront des actions partielles, portant intérêt à cinq pour cent par an, afin que les agioteurs puissent s’en mêler, et donner du crédit et de la circulation aux susdites actions.

Cette entreprise une fois formée, il sera ordonné que le commerce de la prostitution n’aura plus lieu dans aucune partie de la capitale, que les femmes surprises en exercice hors des quatre maisons préposées, paieront pour la premiere fois, aux entrepreneurs, la somme de 300 liv. d’amende, ou resteront un an en prison, si elle n’ont pas la possibilité de payer l’amende, ou d’en donner caution ; et que la même femme surprise une seconde fois, sera enfermée pour trois ans à l’Hôpital général.

Les conventuées ne pourront sortir que par congé, qui ne sera jamais plus long de vingt-quatre heures, et une fois le mois seulement si dans les vingt-quatre heures elles n’étoient pas rentrées, on ne les receveroit plus dans la maison, et elles perderoient tout droit à la pension promise.

Les quatre Abbesses-inspectrices, — Mesdames Adeline. — Julie, de l’ambigu. ― Rosalie-Gavaudanet Guimard.

Premiers médecins, MM. Vitq-d’Azir, académicien. Petit, Coquereau et Turcy.

Premiers Chirurgiens, MM. Louis de Vernon, Andouilié et Grand-Jean.

Inspecteurs généraux, MM. Dauvergne, Vestris, Gardel, Hercule, Chouard.

Grand aumonier.

Le cardinal, prince de Rohan, évêque de Strasbourg, parceque à tout seigneur tout honneur.

Supléant

L’abbé Maury, qui par sa carrure est bien digne de l’être, et qui, dans cette place aura le plaisir de ne pas perdre l’habitude des motions.

Le reste ne vaut pas l’honneur d’être nommé.

Depuis Alexandre-le-grand jusqu’à nos jours, depuis Messaline jusqu’à madame Kornneman, jamais un plus bel établissement n’a été imaginé. La postérité nous admirera, et la génération présente nous décernera la couronne civique : car le patriotisme n’a jamais éclaté dans aucun projet comme il brille dans le notre.

Démagogues ardens, c’est la félicité de nos freres, qui nous anime ; c’est sur tout la conservation saine de leurs individus, pleins jusqu’à présent de maux pestilentieux, qui forme l’objet de nos soins généreux.

Nous allons seconder la santé, et nous détruiront graduellement un fléau, qui mine ; ronge, et anéantit les trois cinquiemes de l’espece humaine : les hommes seront plus robustes, les femmes seront plus belles et plus fraîches, et le plaisir sera triplé.

Vive la liberté.

Mais comme il faut un récréatif aux enfans de Priape, et à ses sectateurs, en attendant la confection du plan le plus sublime, qui sera un monument cité dans nos annales, et qui fera le plus grand honneur à l’architecte qui en sera chargé comme connoisseur en pareille matiere (M. Belanger architecte de monseigneur le comte d’Artois) nous nous empressons de donner la liste des bordels honnêtes, où l’on court moins les risques de glisser, et de s’embourber.

Bordel de Negresses.

Chez mademoiselle Isabeau, ci-devant rue neuve de Montmorency, aujourd’hui rue Xaintonge, maison de M. Marchand prêteur sur gages. Le prix n’y est point fixe, la negresse, la mistife et la mulâtresse y sont marchandées, comme on marchande les femmes d’une caravane.

Bordels des Pucelles.

Quoique la plupart des pucelages ne soient qu’illusoires, on peut s’adresser en toute confiance chez la dame Morgan, à l’entrée du fauxbourg Montmartre, elle en a de tout préparés, et l’on peut le choisir à poil brun ou à poil blond.

Bordel des élégantes.

Chez mademoiselle Dervieux, rue Chante-Reine : elle reçoit de la part des hommes de quoi donner des soupers splendides, où sont invitées avec décence et nos actrices, et nos danseuses, et nos courtisants du premier ordre, et trainant équipage ; les hommes opulens y sont seuls admis, et même indistinctement ; c’est-là que se font les conventions et les assortimens ; et c’est là, qu’on sort pour aller consommer l’ouvrage.

Bordel des Bourgeoises.

Chez madame Ducrai, fille de M. Cailloux, rue d’Amboise ; elle est d’une adresse admirable, et remplit son état, sans compromettre personne. Avec deux louis d’or, on dîne chez elle, on y couche depuis trois heures de l’après dîné jusqu’à 9 heures du soir avec la bourgeoise qu’on a demandée, et qui rentre chez elle, comme si elle venoit du spectacle. On voit par-là que tout est comédie dans le monde.

Bordel de Grisettes et Marchandes.

Chez mademoiselle André, au Palais-Royal, dans sa boutique de modes elle assortit depuis 6 liv. jusqu’à 12., et ne prend que 3 liv. de pot-de-vin pour sa peine. On n’y couche jamais, parce que selon ses principes, la nuit tous les chats sont gris. Madame Grosset, ancienne, on peut s’adresser au cirque national.

Bordel des Provinciales.

Chez madame Delaunay, rue Croix-des-Petits-Champs, maison du foureur. On trouve chez elle des cochoises, des arlanques et des flamandes dans leur costume provincial, et parlant le jargon de leur département : douze francs pour un caprice passager, 15 liv. pour une nuit entiere.

Bordel des Paillards.

Chez Madame Laperriere, rue de Richelieu, maison du boulanger ; elle y donne des boissons échauffantes, et possede le grand art d’exciter les vieillards, jusqu’à leur causer une ardeur sudorifique, qui les fait écumer par l’effort que font leurs nerfs agacés : c’est cet agacement qui fait leur jouissance. Elle tient des assortimens de verges, dont les plus fameuses sont celles à poinçon, à nœuds et à panaches.

Bordel mixte.

Chez madame Blondy, illustre Maquerelle tenant deux maisons, dont l’une est située rue Bonne-Nouvelle, au coin du Boulevard, et l’autre au Palais Royal, arcarde et numéro 29, on trouve dans l’une et dans l’autre maison de cette matrone, des filles et des femmes, tant nationales qu’étrangères, tant jeunes que trentenaires, tant passables que passées et l’on y accommode depuis 3 jusqu’à 24 livres. C’est une fois.

On peut encore s’adresser… Chez madame Maquard au Palais-Royal, rue Croix des Petits-Champs.

Chez madame Sainte-Foix, au Palais-Royal, arcade et numéro 102.

Chez madame d’Estainville, au Palais-Royal, du côté de la rue neuve, no . 74.

Madame Louis, rue de Lancry, suivant le nouveau spectacle.

Chez mademoiselle Saint-Maurice, hôtel de Genève, no . 29, à l’entresol.

Chez madame Gautier, au coin de la rue de Rohan, au grand balcon.

Chez mademoiselle Pinotte, Palais-Royal, no . 50, au premier.

Et chez madame Augear, rue du Coq.

Voilà les lieux, l’on peut s’adresser sans façon, mais non sans argent ; afin d’y récréer le petit naturel, que chacun sent de la providence dont nous implorons les influences bénignes ; pour que nos freres soient toujours dans un état robuste, et propre à répondre dignement aux desirs qu’ils font naître, et qu’ils éprouvent dans la basse sphère de la moralité.

Vive la liberté !
Vive la liberté !

Madame Marandier ne fait que des pratiques en ville ; en son absence il faut s’adresser à M. Marandier ci-devant Clerc à pain, et présentement copiste à soupe au bureau des Révolutions de Brabant, rue du Théâtre Français. Il est auteur de l’Etrenne des Grisettes et de la nouvelle Liste des cocus. On est surpris que sa modestie l’ait empêché d’accepter la place de président dans cette dernière liste.

Madame Thérese, Allemande de nation, rue Jacob, allée du boucher, au premier ; cette personne nous a été recommandée pour sa douceur et sa complaisance.

Madame ***, rue Saint-Honoré, au coin de la rue des Frondeurs, mais elle n’aime que les abonnés.

Mademoiselle Deviller, ouvriere en linge rue Greneta, no . 30, maison de M. Richer, marchand orfévre, en face du cordonnier, à côté du caffé de Beauveais, au troisieme au-dessus de l’entresol, il y a une sonnette donnée par elle-même.

Madame Prongué, rue basse des Urſins, quartier de la Cité, no . 7, prix 3 et 6 liv.

Ce petit bordel est recommandable, par les petites ouvrieres de tous les états, et on peut y aller sans crainte s’adresser à l’abesse du lieu.

Madame Vallemont, au Palais-Royal no . 88.

Madame Jolly, au Palais-Royal, no . 36.

Madame Dubignon ; rue Saint-Honoré, en face celle Valois.

Madame Julliotte, cour Saint-Guillaume rue de Richelieu.

Madame Marseille, rue de Bourbon Villeneuve.

Madame le Clerc, rue Montorgueil, vis-à-vis celle Tirboudin.

Madame la Baronne, rue de Grenelle Saint-Honoré, vis-à-vis la barriere des Sergents.

Madame Duval, illustre macqurerelle, rue Saint-Martin, vis-à-vis la rue Grenier Saint-Lazard, au caffé d’Apollon.

Nous assurons nos lecteurs, qu’on y est très-bien servi, elle a des éleves qui font des progrès rapides. On ne sauroit trop recommander les talents.

Madame Emélie, ancienne femme-de-chambre, no . 50, au Palais-Royal.

Madame Galland, rue Saint-Joſeph.

Madame Saint-Julien, rue de Rohan.

Madame Lebrun, rue Saint-Honoré, au coin de la rue de Rohan, au balcon.

Madame Saint-Paul, rue de Valois.

Madame Jourdan, rue de Chartre, entre l’Epicier et le Bottier.

Madame Petit, successeur de Madame Boileau, rue de Grenelle, vis-à-vis les fermes.

Madame Bruan, rue des Deux-Portes Saint-Sauveur.

Madame Duhamel, rue Saint-Jacques.

Madame le Blanc, rue Saint-Jacques, au coin de la rue du Plâtre.

Madame le Grand, rue Saint-Honoré, vis-à-vis l’Oratoire.

Madame Riviere, Tiquetonne.