LE CŒUR HUMAIN.




De la psycologie un soir prenant la lampe,
J’osai, seul, m’avancer jusqu’au bord de la rampe
D’où l’on voit tout au fond vivre le cœur humain.
Je bondis en arrière à moitié du chemin,
Frissonnant, éperdu, pâle, les lèvres blanches,
Comme lorsque vers vous viennent les avalanches ;
Le vertige faisait tourbillonner mon front,

Tant l’abîme à mes yeux avait paru profond !