Le Parnasse libertin/093
Chez Cazals & Ferrand, Libraires, (p. 97-98).
AUTRE.
amartinier aux pieds d’un Capucin
Se confeſſoit qu’une jeune Nonain,
L’avoit prié de l’amoureuſe affaire.
le fîtes-vous ? Nenni, de par ſaint Pierre
Onc je ne ſuis ſouillé de tels forfaits.
Pieu d’Iſraël ! dit le révérend Pere,
Conduis un tel gibier dans mes rets,
Puis tu verras, ſi je n’oſe le faire.