Chez Cazals & Ferrand, Libraires (p. 54).

AUX MOINEAUX QUE CETTE DAME BAISOIT.


Dans les momens que Boulbéne vous baiſe,
Petits moineaux, vous ne mourez point d’aiſe ?
J’en ſerois mort en goûtant ces appas :
Que malheureux le Ciel nous a fait naître !
Vous jouiſiez d’un bien ſans le connoître ;
Je le connois & je n’en jouis pas.

Le même.