Le Mahâbhârata (traduction Fauche)/Tome 1/Erratum

Traduction par Hippolyte Fauche.
(tome 1p. xv-xvi).

ERRATUM.



Page 5, ligne 13, je traduis, sans aucun changement, les quatre mots très-obscurs par ceux-ci : olim, soles omnes erant terræ, ou, sans renversement de construction : omnes olim terræ erant soles. C’est vrai, suivant la science : était-ce un débri d’une science primordiale ? C’est là une question en dehors de notre but.

Page 8, ligne 3e : le petit-fils, lisez : le fils.

Page 16, corrigez ainsi la stance 156 : Quand…. avait enlevé de dessus elle, par centaines, une masse de robes, sans qu’il parvînt à lui arracher la dernière ; alors,… »

Page 21, ligne 3e, au lieu de : avait tué jusqu’au dernier nos plus forts guerriers, mis en embuscade pour lui ôter la vie, lisez : avait tué nos héros déterminés, qui avaient juré de lui ôter ta vie.

Page 23, ligne 15e, du frère de Douççâsana, lisez : de Douççasana, son frère, c’est-à-dire, son cousin.

Page 24, stance 207e, au lieu de : aux ondes dormantes et s’était fait un rempart de son eau ; lisez : était entré dans un lac, où il s’était couché, après qu’il en eut solidifié les eaux.

Page 24, corrigez ainsi la stance 208e : « Quand j’eus ouï dire que les Pândouides venus là et se tenant près du lac, accompagnés du Vasoudévide, avaient blessé de paroles mon fils, bouillant de colère ; alors…

Même page, stance 209, au lieu de : sans raison par l’intelligence de Vâsoudéva ; lisez : déloyalement, Vâsoudéva en étant le témoin ; alors,…

Page 119, dans la vitesse du travail, il m’est échappé un mot, qui se comprend fort bien, mais qui n’est pas reçu en français : dévorateur. Supposez-le, comme il est ici, écrit en Italique.

Page 151, à la fin de la stance 1394, mettez une virgule au lieu du point.

Page 163, ligne 27e, corrigez ainsi la traduction : « Je ferai que cette plume soit l’honneur, et de toi, Çatakratou, et de ta foudre, honneur elle-même du rishi, des os de qui elle est née ! Je te laisse donc pour le même but cette plume,… »

Page 237, ajoutez à la troisième ligne, après : suivant la règle, ces deux mots oubliés : « dit Çâaunaka. »

Page 241, ligne dixième, la phrase est amphibologique, au lieu de : Il, mettez en tête : Douryodhana.

Page 260, ligne vingt-cinq : tombée au sein de Drôni, lisez : d’une aiguière.

Stances 2568 et 4830, le même texte peut donner les deux sens. Le second est plus naturel, mais le premier est appuyé sur la stance 2634 : « Les fils de Vinatâ sont connus sous les noms d’Arouna et de Carouda. » Je n’ose ou je ne puis décider autrement la question.

Page 284, stance 2675, mettez une virgule après "Sinhikâ" et lisez ainsi la fin de la stance avec le commencement de la suivante : «fut sur la terre ce prince, qu’on appelait Krâtha.

Un Asoura, l’aîné des quatre fils d’Anâyoush, se nommait Vikshara et fut…»

Stances 2726 et 2741 : et plus fort que cent hommes est une faute, que l’on a corrigée plus bas, stance 6685, où l’on a traduit cette expression comme il suit : et un par-dessus la centaine.

De même, stance 2740, l’expression, qui avait plus de charmes que cent femmes, est corrigée dans les stances 4519 et 4523.

Page 401, à la fin de la stance 3743, mettez une virgule au lieu du point.

Page 468, nous avons ajouté deux mots à la seconde épreuve : car, au commencement de la première ligne ; adoptif, à la fin de la septième. Effacez-les ! N’essayons pas de mettre des concordances ou des enchaînements là, où se froissent tant de parties hétérogènes. Laissons l’ouvrage aller comme il est ; et, quand nous l’aurons fini, s’il plaît à Dieu ! Quand nous dominerons bien ce vaste ensemble et toutes ses parties, nous ajouterons un volume de considérations historiques, littéraires et critiques.