LA FILLE D’UN MARQUIS.
Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/295 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/296 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/297 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/298 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/299 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/300 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/301 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/302 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/303 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/304 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/305 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/306 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/307 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/308 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/309 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/310 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/311 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/312 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/313 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/314 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/315 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/316 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/317 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/318 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/319 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/320 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/321 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/322 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/323 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/324 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/325 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/326 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/327 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/328 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/329 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/330 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/331 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/332 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/333 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/334 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/335 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/336 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/337 Page:Collectif - Le Livre rose vol 2.pdf/338 épouvanté, car, malgré ses traits livides et décomposés,
il reconnaît sa fille. Il veut fuir ; elle lui fait un
geste impérieux, et ce geste solennel d’un mourant,
comme par un pouvoir magique, le glace, le pétrifie.
Elle étend la main ; d’un doigt qu’elle dirige dans
diverses parties de l’appartement, elle force ses yeux à
se fixer sur les objets qu’elle lui montre tour à tour.
« Mon père, dit-elle, d’une voix entrecoupée par le
râle de la mort, soyez le bienvenu au banquet de l’agonie, au repas d’un éternel hyménée… C’est vous qui
en avez fait les principaux frais… il est juste que
vous en admiriez les fruits… Voyez-vous cet innocent
enfant livré depuis plus d’une heure au repos du néant,
c’est le chevalier ; à son côté le vicomte dort aussi
pour ne plus se réveiller ! une minute encore, et le fils
et la fille de Jacques iront les joindre. Charles a pré
paré le poison ; c’est moi… moi qui le leur ai donné !!! »
Louise Leneveux.
