Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Paix

Chez l’imprimeur juré de l’académie (p. 249).
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PAIX. — Avoir la paix et les quatre repas a toujours été considéré par les Lyonnais comme le dernier terme du bonheur. C’est qu’en effet on n’a pas la paix quand on n’a pas les quatre repas, et l’on peut avoir les quatre repas sans avoir la paix.