Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Enronché, enronchée

Chez l’imprimeur juré de l’académie (p. 150).

ENRONCHÉ, ÉE, adj. — Enroué, ée. Nous ons chanté Margot t’et Blaise hier, aux Charpennes, toute la sainte soirée. Je suis tout enronché. — De raucum, mais influencé peut-être par rhonchare (voy. ronchonner), car, nous devrions avoir enrouché comme dans la Suisse romande,