Le Deuxième Livre des quatrains/Le cadre sans portrait

Mercure de France (p. 49).

XLV

LE CADRE SANS PORTRAIT


Par un soir palpitant d’éclairs sur la montagne,
Dans le kiosque où venaient déferler des rosiers,
À vingt ans, j’ai traîné mon âme sans compagne
Et vide du bonheur qu’on nomme le premier.