Le Deuxième Livre des quatrains/La bénédiction du soir
Mercure de France, (p. 46).
XLII
LA BÉNÉDICTION DU SOIR
Quelle joie est la tienne, ô père que l’on loue !
Tu dis : Bon comme toi je ne le fus jamais,
fils ! dont le regard soumis me désarmait
Si j’allais te châtier à cet âge où l’on joue.