Le Deuxième Livre des quatrains/Du Béarn au Labourd
Mercure de France, (p. 30).
XXVI
DU BÉARN AU LABOURD
Avant que de gagner le montueux pays
Dont la blancheur s’égrène au bleu noir des vallées,
Mon âme, par un jour d’été, s’en est allée
Dire adieu tendrement aux plaines de maïs.