Le Deuxième Livre des quatrains/À ma filleule Sylvette Guillon-Verne

Mercure de France (p. 24).

XX

À MA FILLEULE SYLVETTE GUILLON-VERNE


Tu regagnas, avant que de t’être posée
Sur la terre, le Ciel, ainsi que la rosée
S’évapore des lys, et sans qu’elle ait mouillé
Ce qui, trop bas pour elle, aurait pu la souiller.