Paysages et paysans/Le Cri du cœur

LE CRI DU CŒUR


 
Rondement, Mathurin
Mène dans sa carriole
La Dame qui s’affole
De filer d’un tel train.

Elle crie au trépas !
Le vieux dit : « Not’ maîtresse,
N’ soyez point en détresse
Puisque moi j’y suis pas.

Si yavait du danger
Vous m’verriez m’affliger
Tout comm’ vous, encor pire !

Pac’que, j’m’en vas vous dire :
J’ tiens à vos jours, mais j’tiens
P’têt’ encor plus aux miens. »