La Vie et l’Œuvre de Maupassant/3.3

III

Toute cette correspondance que nous venons Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/160 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/161 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/162 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/163 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/164 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/165 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/166 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/167 Page:Maynial - La Vie et l’Œuvre de Maupassant, 1907.djvu/168 renferment des fautes d’orthographe et de français, des phrases inachevées, des propositions contradictoires, des mots visiblement mis pour d’autres. D’ailleurs, dans l’un de ces billets, Maupassant apprend à son avoué la gravité de son état et parle de sa santé en ces termes :

Je suis tellement malade que j’ai bien peur d’être à la mort dans quelques jours par suite d’un traitement qu’on m’a fait suivre[1].

Nous verrons plus loin que ces procès ne sont pas les seuls qu’il ait engagés à cette époque de sa vie et sous l’influence d’un état nerveux de plus en plus compromis.

  1. A. Lumbroso, p. 454.