La Sculpture dans les cimetières de Paris/Père-Lachaise/anonyme

La Sculpture dans les cimetières de Paris/Père-Lachaise
La Sculpture dans les cimetières de Paris3e série, tome 13 (p. 213-238).

SCULPTURES ANONYMES


I. — statues


Avilès (Famille de). — Tombeau surmonté d’une statue en bronze (grandeur nature) : une Pleureuse, debout, entoure de son bras gauche une urne funéraire ; à gauche du tombeau est un hibou également en bronze. (71e div., 2e section.)


Bail (Famille). — Stèle surmontée d’une statue en marbre blanc (H. 1m 35) : une jeune femme debout, drapée et voilée, est accoudée du bras droit sur une urne funéraire ; la tête, rejetée en arrière, est appuyée sur la main. De la main gauche elle dépose sur la stèle une couronne d’immortelles. (16e div.)


Billout (Jean-Simon), décédé le 28 juin 1828, et Marie-Virginie Foucher, sa femme, décédée le 29 juillet 1873. — Statue en marbre (H. 1m 10) : Vierge assise tenant l’Enfant Jésus debout sur ses genoux[1]. (28e div.)


Blondeau (Famille). — Cippe en granit. De chaque côté, un génie ailé, en pleurs : l’un tient une branche de cyprès et l’autre une lyre. Ces deux génies, en bronze, mesurent 1m 35 de hauteur. (81e div.)


Chapal (Famille). — Georges, 16 mai 1871 ✝ 10 juin 1871. Antoine, 7 mars 1802 ✝ 8 février 1873. Clotilde Chapal, née Aujogue, 22 février 1823 ✝ 27 janvier 1891. — Tombeau surmonté d’une statue en fonte (H. 1m 05) : une jeune femme voilée, la tête inclinée dans l’attitude de la douleur, pose la main gauche sur une table de marbre sur laquelle sont fixées des plaques en bronze où on lit les noms et les dates ci-dessus mentionnés. Dans la main droite est une couronne d’immortelles en bronze ; à la gauche de la figure, une urne funéraire, recouverte d’un voile, est décorée d’une tête d’ange[2]. Le tombeau a été érigé d’après les dessins de J. Lecreux, architecte. (4e div.)


Cibeins (Christine-Henriette-Louise de), née le 9 octobre 1826, décédée le 1er juin 1844. — Statue en terre cuite (H. 1m 50) : Vierge debout ayant les bras croisés sur la poitrine. (27e div.)


Contour (Famille Frédéric). — Au fond d’une chapelle, est un Christ en croix, statue en bronze (grandeur nature) (92e div.)


Courlot (Louis-Sébastien), décédé le 1er avril 1816, à l’âge de 38 ans. — Statue en pierre (H. 1m 75) : une jeune femme vêtue du costume de l’Empire et ayant un voile de deuil sur les épaules, s’accoude du bras droit sur un édicule ; la tête pose sur la main[3]. (11e div.)


Cudey-Lamblin et Dupont-Lamblin (Familles). — Statue en terre cuite (H. 0m 72) : femme en pied, debout, voilée, accoudée du bras droit sur une urne funéraire posée sur une colonne quadrangulaire. (61e div.)


Desplachs, Bruyère et Van de Vin (Familles). — Statue en marbre (H. 0m 98) : jeune femme en pied, voilée, debout sur des nuages ; de ses deux mains elle presse une colombe sur sa poitrine ; une deuxième colombe placée sur son épaule droite tient dans le bec une branche de cyprès. (47e div.)


Didier (Famille). — Dans l’intérieur d’une chapelle, le Christ au tombeau, statue couchée, en marbre blanc (grandeur nature). (41e div.)


Elizalde (Familles Salvador et Federico). — Dans une chapelle, la Prière, statue en marbre blanc (H. 1m 35), représentée par une femme debout joignant les mains. (92e div.)


Gareau (Pierre), négociant, décédé le 30 août 1815, à l’âge de 49 ans, et Françoise-Sophie Boucheseiche, sa veuve, décédée le 5 janvier 1852. — Statue en marbre (H. 1m 35) : une jeune femme est assise sur un siège en marbre ; elle est largement drapée et se cache la figure dans ses deux mains ; les bras sont accoudés sur les genoux[4]. Gravée par Collette d’après un dessin de Quaglia[5]. (10e div.)


Gravet (Famille). — Statue en terre cuite (H. 0m 70) : une jeune femme, en pleurs, est voilée et accoudée du bras droit sur une urne funéraire. (5e div.)


Héloïse, abbesse du Paraclet, née à Paris en 1101, décédée à l’abbaye du Paraclet le 16 mai 1164, et Abélard (Pierre), philosophe et théologien, né au Palet (Loire-Inférieure) en 1079, décédé à Saint-Marcel (Saône-et-Loire) le 21 avril 1142. — Monument composé par Alexandre Lenoir avec des fragments provenant d’une chapelle de l’abbaye du Paraclet et du tombeau du prieuré de Saint-Marcel. L’ensemble comprend un catafalque et une chapelle sépulcrale dans laquelle ont été déposés les restes d’Héloïse et d’Abélard. La chapelle, haute de 7 mètres environ, est ornée de colonnes, d’ogives et d’un clocher percé à jour, de bas-reliefs, des deux statues en pierre d’Héloïse et d’Abélard, et de leurs médaillons. Le tout date du xiie siècle. Le transport de ce monument au cimetière du Père-Lachaise a eu lieu en mai et en juin 1817[6]. Gravé par Collette, d’après un dessin de Quaglia[7], (7e div.)


Kaulek (Alexandrine-Éléonore Duchêne, Mme  A.-L.), décédée le 15 juin 1838, à l’âge de 25 ans. — Statue en fonte (H. 1m 22) : une jeune femme en pied, debout, semant des fleurs. Sur le socle est gravé : « À ma mère A K » (en monogramme) avec la date de 1866. (45e div.)


Le Roy et G. Mailand (Familles). — Monument surmonté d’une statue en marbre (grandeur nature) : une jeune femme couchée, légèrement drapée, s’appuie de la main gauche sur une torche renversée ; la tête pose sur la main ; la bras droit est ramené sur la tête, la main tient des pavots. Cette sculpture est une reproduction avec quelques variantes de l’Ariane antique du Vatican. (25e div.)


Malet (Christophe-Édouard-François, comte de), « officier de cavalerie, veuf, en 1816, d’Athénaïs de Jumilhac, et depuis prêtre de la Sainte Église romaine, né à Paris le 25 juin 1784, décédé dans la même ville le 26 août 1843[8] ; » et Marie-Louise-Charlotte-Athénaïs Chapelle de Jumilhac, décédée le 5 janvier 1816. — Chapelle surmontée d’une statue en pierre (plus grande que nature) : Vierge assise tenant sur ses genoux l’Enfant Jésus debout. Gravée par Collette, d’après un dessin de Quaglia[9]. (18e div.)


Lebroc (Jean-Baptiste), statuaire, né à Paris le 17 novembre 1825, décédé en 1878. — Groupe en bronze (H. 0m 60) : un génie funèbre est accoudé du bras gauche sur un motif décoratif composé d’amours et de fleurs ; le génie indique de la main droite des couronnes qu’il vient de tresser ; au centre est ménagé un cartel avec l’inscription : « A Lebroc, statuaire, 1825-1878. » (65e div.)


Nunes (Mercedes), décédée en 1890. — Statue en marbre (H. 1m 25) : Ange ailé posé sur des nuages et ayant une étoile au front. (91e div.)


Pineyro (Famille F.). — Tombeau en marbre blanc sur lequel est sculptée une croix couchée. Au sommet du tombeau, un piédestal rectangulaire surmonté d’une statue en marbre (H. 1m 50) : l’Espérance représentée par une jeune fille en pied, debout, joignant les mains sur sa poitrine ; elle a une étoile au front et lève les yeux au ciel ; à sa droite, une ancre dont elle tient la chaîne ; à ses pieds, un livre sur lequel on lit : Angelo[10]. (1re div.)


Revillon (Lise Thomassin, Mme ), décédée le 27 décembre 1861, à l’âge de 25 ans, et Henri Revillon, son fils, décédé le 5 mars 1869, à l’âge de 11 ans. — Tombeau surmonté d’une statue en marbre (H. 1m 50) : une jeune femme ailée, en pied, debout, adossée à une croix, lève les yeux au ciel et croise les mains sur sa poitrine. (73e div., 1re section.)


Schickler (Famille). — De chaque côté de la porte d’une chapelle est une Cariatide voilée. Celle placée à droite tient une branche de cyprès d’une main et de l’autre laisse tomber des pièces de monnaie ; celle de gauche tient une branche de cyprès et une torche renversée. Au-dessus de la porte est sculpté un écusson, de chaque côté duquel est un génie ; les deux génies soutiennent une guirlande de fruits, de cyprès, etc., servant de support à l’écusson. La chapelle a été construite en 1844 sur les dessins de Marchebeus, architecte[11]. (36e div.)


Volpini (Ambroglio), né à Crémone, décédé à Paris le 13 septembre 1871, à l’âge de 45 ans. — Statue en terre cuite. (Long. 1m 75) : Volpini est représenté couché sur son tombeau ; la tête tournée vers l’épaule droite est posée sur un coussin. (67e div.)


Whitcomb (Adolphus Carter), né le 26 février 1827, décédé le 5 octobre 1888, et Félicité-Denise Lesueur, veuve Vion, née le 10 juillet 1818, décédée le 19 janvier 1891. — Sur la paroi du fond d’une chapelle est placé un médaillon d’homme, en plâtre (Diam. 0m 48). Dans l’angle droit de la chapelle est une statue de femme, debout, en marbre blanc (grandeur nature). Elle a le bras droit levé ; la main tient une fleur qu’elle semble offrir au personnage représenté sur le médaillon. La chapelle a été construite sur les dessin de M. Salvan, architecte. (91e div.)

II. — Bustes


Angot (Catherine-Adélaïde Cagnon, femme d’Alexandre), née le 24 juin 1797, décédée à Paris le 11 février 1830. — Buste en bronze (H. 0m 40)[12]. (9e div.)


Becker (Famille). — Dans une chapelle, est un buste de femme, en plâtre. (H. 0m 40). (23e div.)


Bertrand (Jean-Amable-Vincent, baron), général de division, né à Bonifacio le 15 juillet 1790, décédé à Paris le 15 décembre 1876. — Buste en marbre (H. 0m 65) surmontant une stèle. (19e div.)


Bordin. — Un buste d’homme, en plâtre (H. 0m 55) est placé dans une chapelle (44e div.)


Bourgoin (Jean-Baptiste-Théodore), décédé en 1824, à l’âge de 36 ans. — Buste en bronze (H. 0m 68).


Boy (J.-B.), fabricant de bronzes, décédé à Paris le 22 mars 1870, à l’âge de 52 ans. — Buste en bronze (H. 0m 80) surmontant une stèle. (53e div.)


Bréguet (Abraham-Louis), horloger et mécanicien, membre de l’Académie des sciences, né à Neuchâtel (Suisse), le 10 janvier 1747, décédé à Paris le 17 septembre 1823. — Buste en bronze (H. 0m 50)[13] (11e div.)


Brion (Hippolyte-Isidore-Nicolas), statuaire, né à Paris, décédé le 24 octobre 1863, dans sa 63e année. — Buste en marbre (H. 0m 45). La partie supérieure du tombeau de l’artiste est décorée d’un groupe en bronze composé de deux génies nus, assis, adossés à une urne qui les sépare. Dans la partie inférieure est encastré un bas-relief en marbre blanc (H. 0m 45. L. 0m 40) : Éphèbe nu, debout, ayant dans la main droite une bille qu’il s’apprête à lancer au pied d’un arbre placé devant lui. Le monument de Brion, élevé sur les dessins d’Alphonse Girard, architecte, a été gravé par Obermayer[14]. (39e div.)


Cadiat (Nicolas), ingénieur civil, décédé à Toulon le 12 décembre 1856. — Buste en bronze (H. 0m 45). (52e div.)


Calliat (Charles-Philippe), inhumé le 25 novembre 1836, à l’âge de 65 ans. — Buste en terre cuite (H. 0m 55). (51e div.)


Cercou (Marin), né à Azé (Mayenne), décédé à Paris le 24 avril 1822, à l’âge de 64 ans. — Buste en bronze (H. 0m 45), placé à l’intérieur d’une chapelle. (22e div.)


Chagot (Pre.-J.-Bte), né à Paris le 14 juillet 1759, décédé le 19 mars 1826. — Au sommet d’un tombeau est une niche dans laquelle est placé le buste en plâtre (H. 0m 35) de Chagot. Le monument de Chagot a été élevé par les soins de sa fille. (41e div.)


Chereau (Pierre-Charles), fabricant de billards, né à Vendôme (Loir-et-Cher) le 7 décembre 1794, décédé le 30 janvier 1855. — Buste en bronze (H. 0m 55)[15]. (39e div.)


Coutard (Louis-François, comte de), général de division, né en 1769, décédé en 1852. — Buste en marbre (H. 0m 55). (37e div.)


Desbonne (Charles). — Buste en plâtre (H. 0m 70) placé à l’intérieur d’une chapelle. (43e div.)


Desclée (Aimée), artiste dramatique, née à Paris le 16 novembre 1836, décédée à Paris le 9 mars 1874[16]. — Buste en bronze (H. 0m 70) surmontant une stèle (70e div.)


Fattet (Jean-Pierre), décédé à Torcy (Seine-et-Marne) le 15 juin 1857, âgé de 66 ans, et Jean-Georges Fattet, décédé à Paris le 5 novembre 1874, âgé de 54 ans. — Monument surmonté d’un buste en marbre (H. 0m 50). De chaque côté du socle supportant le buste est un ange ailé à genoux ; l’un des anges tient un flambeau renversé. (28e div.)


Fould (Adèle Brull, femme Louis), née à Brambourg en Franconie, décédée aux Eaux-Bonnes le 6 août 1839, âgé de 30 ans. — Buste en pierre (H. 0m 49), engagé dans l’ogive médiane d’un monument vertical très orné et divisé en trois baies ; le tout surmonté de chouettes. Le monument de la famille Fould, élevé sur les dessins d’Hector Moreau, architecte, a été gravé par L. Normand[17]. (Cimetière israélite.)


Fourcroy (Antoine-François, comte), chimiste, membre de la Convention et du Comité de Salut public ; directeur général de l’Instruction publique, membre de l’Académie des sciences, née à Paris le 15 janvier 1755, décédé dans la même ville le lé décembre 1809. — Buste en marbre (H. 0m 52). (11e div.)


Garat (Pierre-Jean), chanteur et compositeur, né à Ustaritz le 25 avril 1764, décédé à Paris le 1er mars 1823. — Buste en bronze (H. 0m 60). Sur la face antérieure de la stèle supportant le buste est sculpté un bas-relief cintré en marbre blanc (H. 1m 20. L. 0m 60) : Allégorie de la musique représentée par une femme posée sur des nuages et touchant de la lyre. Dans la partie supérieure de la composition, une couronne de cyprès et des palmes en sautoir. (11e div.)


Girardin (Jeanne-Henriette-Victoire de Navailles, comtesse Louis de), née à Pau (Basses-Pyrénées) le 5 mai 1770, décédée le 7 juin 1818. — Buste en marbre blanc (H. 0m 62). Le tombeau de la comtesse de Girardin, élevé sur les dessins de Charles Percier, architecte, a été gravé par L. Normand[18], (8e div.)


Goblet (Hylaire-Charles), potier de terre, né le 14 mars 1780, décédé le 20 avril 1825. — Buste en plâtre (H. 0m40) placé dans une niche. (22e div.)


Grégoire (Louis), statuaire, né en 1840, inhumé le 6 janvier 1890. — Buste en bronze (H. 0m 55). (92e div.)

Grétry (André-Ernest-Modeste), compositeur, membre de l’Institut, né à Liège le 11 février 1741, décédé à l’Hermitage d’Émile (Montmenrency, Seine-et-Oise) le 24 septembre 1813. — Buste en terre cuite bronzée (H. 0m 63). Le monument a été élevé par les neveux et les nièces de Grétry. (11e div.)


Herz (Henri), pianiste allemand, naturalisé français, né à Vienne le 6 janvier 1804, décédé à Paris le 5 janvier 1888. — Buste en plâtre (H. m 60), placé à l’intérieur d’une chapelle. (27e div.)


Hoffman (Clémentine Tanska), femme de lettres, née à Varsovie le 23 novembre 1798, décédé à Passy le 21 septembre 1845. — Stèle surmontée du buste de l’écrivain (H. 0m 45) ; à gauche de la stèle, une jeune fille ayant dans une main une corbeille de fleurs et dans l’autre une couronne de marguerites ; à droite, une autre jeune fille, à genoux sur des livres, fait la lecture. Ces deux statues sont en bronze et mesurent 0m 90 et 1m 15 de hauteur. Sur la face antérieure de la stèle, on lit : « Klementine Z. Tanskich Hoffmanowey Ziomkowie 1848, » Sur le côté gauche du monument est gravé : « morte en exil où l’avaient conduite son patriotisme et son dévouement d’épouse. Monument élevé par la reconnaissance de ses compatriotes. » (26e div.)


Horne (Françoise Husset, Mme ), décédée en 1870, à l’âge de 49 ans. — Buste en bronze (H. 0m 30). (69e div.)


Jecker (François-Antoine), mécanicien, né en 1765, décédé en 1834. — Buste en bronze (H. 0m 50). (6e div.)


Labenette-Corsse (Jean-Baptiste), artiste dramatique, décédé le 20 décembre 1815, à l’âge de 56 ans. — Buste en marbre (H. 0m 38) placé dans un enfoncement pratiqué dans la face antérieure du tombeau[19]. (20e div.)


Lacressonnière (Marguerite Gériniere, femme Lesot Delapenneterie, dite), artiste dramatique, décédée le 26 janvier 1859, à l’âge de 42 ans. — Buste en bronze (H. 0m 55) : elle est représentée tenant un masque de la main droite. Le monument de l’artiste a été élevé par ses amis[20]. (12e div.)


Lavalette (Antoine-Marie Chamans, comte de), aide de camp de Bonaparte, directeur général des Postes sous l’Empire, conseiller d’État, né à Paris en 1769, décédé dans la même ville le 15 février 1830, et la comtesse de Lavalette, née de Beauharnais, décédée le 18 juin 1855. — Buste en bronze (H. 0m 45) du comte de Lavalette. Dans la face antérieure du monument est encastré un bas-relief en marbre blanc (H. 0m 40. L. 0m 95) : une cellule de prison ; au centre, la comtesse de Lavalette suppliant son mari de lui laisser prendre sa place ; dans l’angle gauche, un lit. Une jeune fille écoute au guichet. (36e div.)


Leblanc (César-Nicolas-Louis), professeur de dessin au Conservatoire des arts et métiers, né le 8 juillet 1787, décédé le 25 novembre 1835. — Buste en bronze (H. 0m 47) surmontant une stèle, (11e div.)


Lenormand (Marie-Anne-Adélaïde), cartomancienne, née à Alençon le 27 mai 1772, décédée à Paris, « rue de la Santé, n° 11 », le 23 juin 1843. — Buste en plâtre (H. 0m 50), placé dans une chapelle[21]. (3e div.)


Louis (Mme  Pierre-Thomas), née Duc, née à Évricourt (Oise), décédée à Paris le 31 août 1842, à l’âge de 57 ans. — Buste en terre cuite (H. 0m 58). Dans le fronton du monument sous lequel est placé le buste, on lit : « À Mme  Louis, née Duc, les doreurs sur bois et ses amis. » Et sur la face postérieure : « Son bonheur était de travailler et de faire travailler son prochain. » (2e div., 2e section.)


Manget (Louis-Joël), docteur médecin, né à Genève (Suisse) le 1er mars 1817, décédé à Paris le 22 novembre 1867[22]. — Buste en terre cuite (H. 0m 52). (66e div.)

Martignon (Famille). — Buste de femme, en marbre (grandeur nature) placé dans une chapelle. (5e div.)


Melzessard (C.-T.). — Stèle surmontée d’un buste en bronze (H. 0m 70). Sur le piédouche est gravé : « C. T. Melzessard. » (66e div.)


Musias (Famille). — Buste de femme, en plâtre (H. 0m 30), placé dans l’intérieur d’une chapelle. (45e div.)


Naveau (Louis), décédé le 29 mars 1887, à l’âge de 82 ans. — Buste en pierre (H. 0m 50) surmontant une stèle également en pierre. (34e div.)


Perras (François), décédé le 15 décembre 1870, dans sa 46e année. — Buste en marbre (H. 0m 63). (61e div.)


Paterson (Gilles-Jean), directeur de la comptabilité de l’ancienne Caisse d’amortissement, né en 1745, décédé en 1825. — Buste en terre cuite (H. 0m 47), placé dans un enfoncement pratiqué dans la face antérieure d’une stèle en pierre. (17e div.)


Plaisir, décédé le 4 mars 1829, à l’âge de 44 ans. — Buste en marbre (H. 0m 58). (9e div.)


Prin (J. C), né le 1er août 1803, décédé le 11 novembre 1836. — Dans la face antérieure d’une stèle est encastré un médaillon en bronze (Diam. 0m 12) : à droite est gravé en exergue, « I B. C. Prin », et à gauche horizontalement « ano mdcccxxxiii. » Un buste en terre cuite est placé sur la pierre tumulaire. (H. 0m 45). (32e div., 1re section.)


Roman (Jean-Baptiste-Louis), sculpteur, membre de l’Institut, né à Paris le 31 octobre 1792, décédé dans la même ville le 11 février 1835. — Buste en marbre (H. 0m 55)[23] La colonne circulaire supportant le buste est gravée par L. Normand[24]. (53e div.)

Routhier (Michel-Ferdinand), « avocat à la Cour royale de Paris, auteur de plusieurs ouvrages sur le droit français et sur le droit romain, décédé le 20 décembre 1823, avant sa 25e année. » — Buste en marbre (H. 0m 40), placé dans une niche vitrée. (13e div.)


Rumford (Marie-Anne-Pierrette Paulze Lavoisier, comtesse de), née à Montbrison le 20 janvier 1758, décédée le 10 février 1836. — Buste en pierre (H. 0m 50). Le monument, décoré du buste de la comtesse de Rumford, « lui a été élevé par la reconnaissance de sa petite-nièce Mme  L. de Chazelles, née de Sugny. » (13e div.)


Salcedo (Famille de). — Buste de femme, en marbre (H. 0m 50), placé dans une chapelle. (19e div.)


Salles (Alphée-Marie Laveissière, Mme ), décédée le 1er septembre 1861, à l’âge de 32 ans. — Buste de femme, en marbre (H. 0m 28), placé dans une chapelle. (18e div.)


Sanfourche (Daniel), décédé le 2 mars 1865, dans sa 69e année. — Buste en bronze (H. 0m 55), portant la date de 1862, et une signature illisible. (60e div.)


Schloss (Henri), né en 1796, décédé en 1840. — Buste en marbre (H. 0m 65). Sur la plinthe, on lit : « Buste offert par ses ouvriers reconnaissants[25]. » (Cimetière Israélite.)


Secondat (Jean), né le 30 avril 1793, décédé le 13 février 1830. — Buste en bronze (H. 0m 49). (6e div.)


Senonnes (Alexandre de Lamote Baracé, vicomte de), « lieutenant de cavalerie, secrétaire de la Chambre du Roi, secrétaire général des musées royaux, secrétaire général du ministère de la Maison du Roi, conseiller d’État, membre de l’Institut, né le 3 juillet 1781, décédé le 21 mars 1840. » — Au fond d’une chapelle, au-dessus de l’autel, est le médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 60) de Marie-Geneviève Marcoz, vicomtesse de Senonnes, décédée le 25 avril 1828. Sur le devant d’autel est placé un bas-relief en marbre blanc (H. 1m. L. 0m 80) : un génie, nu, est accoudé du bras droit sur une urne funéraire ; il tient de la main gauche un flambeau renversé. Le bas-relief, seulement, est gravé par L. Normand[26]. (45e div.)


Touvoye (Auguste), né à Savignies en 1774, décédé le 26 février 1831. — Buste en bronze (H. 0m 57). (9e div.)


Zborowski (Isabelle, femme de Martin) de la Nouvelle Jersey, fille de Peyton Randolphe Key, de Kentucky, décédée à Paris le 30 janvier 1873. — Buste en marbre blanc (H. 0m 55). (54e div.)


III. — bas-reliefs


Bicquelin (Charles), botaniste, décédé le 4 juillet 1828, à l’âge de 52 ans. — Bas-relief en marbre (H. 0m 44. L. 0m 55) : jeune femme assise traçant, à l’aide d’un style, sur un monument funéraire simulé : « Je te suis, homme vertueux, époux chréti… » (28e div.)


Borsa, dite Mazzetty (Mélanie-Josèphe Dequesne, femme de Charles-François-Jean-Baptiste), née à Beaumont en Hainaut le 18 janvier 1771, décédée à Paris le 25 janvier 1815. — Haut relief sculpté dans la partie inférieure d’une table verticale en marbre. Deux génies funèbres dont l’un, drapé, debout, s’accoude sur un monument simulé, et se voile tandis que le deuxième génie, nu, assis, tient d’une main un flambeau renversé et de l’autre un écusson sur lequel sont gravées les lettres D et B en monogramme. (13e div.)


Brongniart (Alexandre-Théodore), architecte, né à Paris en 1739, décédé le 6 juin 181 3. — Bas-relief en pierre (H. 1m. L. 0m 90) représentant, dans la partie supérieure, le palais de la Bourse ; au-dessous, une allégorie de l’Architecture, sous les traits d’une jeune femme en pleurs, voilée, assise à terre, et accoudée du bras gauche sur un chapiteau simulé ; d’une main elle tient un compas, et de l’autre soulève son voile. Gravé par L. Normand, d’après un dessin de Boisselier[27] et par Collette, d’après un dessin de Quaglia[28]. (11e div.)


Brongniart (Alexandre), chimiste et géologue, ingénieur des mines, professeur d’histoire naturelle et de minéralogie, directeur de la manufacture de Sèvres, membre de l’Académie des sciences, né à Paris le 5 février 1770, décédé le 7 octobre 1847. — Vase en bronze (H. 0m 80. Diam. 0m 36), à anses relevées, décoré, en relief, de nombreux personnages dont la plupart sont drapés à l’antique. Au centre, la Nature, d’après une figure de Diane d’Éphèse. Sur le col du vase, entre des enroulements de fleurs et de feuillage, est le portrait de Brongniart, entouré d’une guirlande de chêne. (11e div.)


Burgès (Charlotte-Éliza), fille de feu David Burgès, de la Compagnie des Indes Orientales, décédée à Paris le 18 janvier 1823, à l’âge de 21 ans. — Bas-relief en marbre (H. 0m 57. L. 0m 48) : un petit génie nu, ailé, s’appuie de la main droite sur une lyre, pendant que de l’autre main il dépose une couronne d’immortelles sur une urne funéraire ; du pied gauche il renverse une sphère ; dans la partie inférieure sont des livres, une palette et des pinceaux. Gravé par L. Normand[29]. (10e div.)


Collot (Famille). — De chaque côté de la porte d’une chapelle, à fronton triangulaire, est un bas-relief sculpté dans la pierre (H. 1m 23. L. 0m 52). Dans celui de gauche : un éphèbe debout, nu, ailé, couronné d’une branche de cyprès, est accoudé du bras gauche sur un monument simulé placé devant lui ; de la main droite, il pose une couronne de fleurs et de cyprès sur le monument. Dans celui de droite : un éphèbe debout, nu, ailé, couronné d’une branche de chêne, s’accoude du bras droit sur un édicule simulé sur lequel il pose une branche de cyprès[30]. La chapelle de la famille Collot, élevée sur les dessins de Visconti, architecte, a été gravée par L. Normand[31]. (6e div.)

Crussol d’Uzès (Alexandre-Emmanuel Bailli de), général, pair de France, capitaine des gardes du corps du comte d’Artois, décédé le 27 décembre 181 5. — Monument dont les faces latérales sont décorées de deux bas-reliefs en marbre (H. 1m 50. L. 1m 30). Celui de droite représente une femme assise au pied d’un saule pleureur et posant la tête sur une urne funéraire placée devant elle. Gravé par Collette, d’après un dessin de Quaglia[32]. Celui de gauche : jeune femme drapée à l’antique, assise, la tête couronnée d’épines ; elle est accoudée sur la Bible et l’Évangile, et tient une croix de la main droite ; de l’autre main elle remet une couronne de laurier à un génie ailé qui s’apprête à la déposer sur un buste d’homme simulé. Ce monument a été élevé par Mme  la marquise de Grollier, tante du général[33]. (18e div.)


Decrés (Denis, duc), amiral, ministre de la guerre, décédé le 7 décembre 1821. — Monument rectangulaire, en pierre. Aux quatre angles, des génies ailés, debout, soutiennent d’énormes guirlandes de laurier. Les quatre faces sont décorées de bas-reliefs. Face antérieure : Blason avec une décoration. Face postérieure : Ancre entourée d’un triton, d’un trident et d’un caducée. Les deux autres faces représentent des épisodes de la vie de l’amiral. Côté droit : Combat du Guillaume-Tell devant Malte le 30 mars 1800. Côté gauche : Remorque portée au Glorieux. Combat du 12 avril 1782. Les bas-reliefs mesurent 1m 60 et 2m 70 de largeur et 1m 50 de hauteur. Gravé par Collette, d’après un dessin de Quaglia[34]. (39e div.)


Durant (Susan D.), statuaire, décédée le 1er janvier 1873. — Bas-relief circulaire en bronze (Diam. 0m 48) : chœur de jeunes filles chantant ; deux anges ailés tiennent un livre ouvert. Signé H. T. en monogramme, 1872. (56e div.)


Gavet (J.), « propriétaire du domaine de Monceau, près Tournon (Seine-et-Marne), maire de sa commune, décédé au château de Montceau le 6 décembre 1836, dans sa 81e année. » — Demi-ronde bosse en marbre blanc (H. 0m 65) : un petit génie nu, en pleurs, s’essuie les yeux d’une main, pendant que de l’autre main il tient une torche renversée. (43e div.)


Juigné (Famille). — Chapelle en pierre. Dans la face antérieure sont sculptées en haut-reliefs (H. 0m 40) la Foi, l’Espérance et la Charité. M. Rocle, marbrier, possède le modèle d’une de ces figures. La chapelle a été construite sur les dessins d’Isabey, architecte. (29e div.)


Labédoyère (César-Raphaël Huchet, comte de), sénateur, né le 2 octobre 1814, décédé le 9 août 1867. — Bas-relief en marbre (H. 0m 27. L. 0m 40) : une jeune femme voilée est agenouillée près d’une urne funéraire ; elle attire à elle un jeune enfant nu qui lui tend les bras ; des cyprès s’élèvent de chaque côté. Gravé par Collette, d’après un dessin de Quaglia[35]. (16e div.)


La Fontaine (Jean de), fabuliste, né à Château-Thierry, le 8 juillet 1621, décédé à Paris le 13 avril 1695. — Sarcophage en pierre surmonté d’un Renard en bronze (H. 0m 25). Les faces latérales sont décorées de deux bas-reliefs en bronze reproduisant les scènes de deux des fables de La Fontaine : Le Loup et l’Agneau et Le Loup et la Cigogne. Le sarcophage de La Fontaine, qui a fait partie du Musée des Monuments français, a été transporté au Père-Lachaise le 6 mars 1817[36]. Gravé par Guyot[37], par L. Normand, d’après un dessin de Boisselier[38], et par Collette, d’après un dessin de Quaglia[39]. (25e div.)


Molz (Famille Henry). — Chapelle dont la partie supérieure est entièrement composée de bronze et surmontée d’une croix. Dans le fronton de la chapelle est un bas-relief méplat, également en bronze, représentant une allégorie de la Mort, sous les traits d’une jeune femme vue à mi-corps, couverte d’un voile transparent, et coupant des fleurs à l’aide d’une faucille. La chapelle est située dans la 54e division. Le bas-relief qui la décore a été exécuté par François-Laurent Rolard[40].

Perrolle (Antoine), décédé à Paris le 11 mai 1827, à l’âge de 63 ans. — Une chapelle dans laquelle est placé un bas-relief en marbre blanc (H. 0m 80. L. 0m 45) : une jeune femme en pleurs, debout, est voilée ; elle pose la main droite sur une urne funéraire surmontant une colonne circulaire. La chapelle a été construite sur les dessins de A. Sauvage, architecte. (13e div.)


Robertson (Étienne-Gaspard), « physicien, aéronaute, perfectionna le miroir d’Archimède, » né à Liège en 1763[41], décédé aux Batignolles le 2 juillet 1837. — Monument rectangulaire en granit surmonté d’un sarcophage, de forme antique. L’entablement de ce monument est décoré de têtes de femmes et de crânes ailés, de guirlandes, de serpents enroulés sur des branches de cyprès, etc. Les faces latérales sont décorées de deux bas-reliefs en pierre (H. 0m 90. L. 1m 55). Dans celui de gauche : une foule est attentive à suivre du regard un ballon qui s’élève dans les airs. Dans celui de droite : le Jugement dernier : un squelette, couvert de son suaire, plane dans les airs et sonne de la trompette ; une foule paraît effrayée à la vue de deux squelettes, enveloppés de leurs suaires, qui sortent d’une caverne et s’avancent vers elle ; un dragon rugissant s’avance également dans la direction de la foule. Le monument est en outre décoré aux quatre angles de têtes de mort à ailes de chauve-souris. (8e div.)


Rouxel (Famille). — Chapelle dont le fronton est décoré d’un haut-relief en pierre (H. 0m 60. L. 0m 70) : Trois anges ailés sont posés sur des nuages ; celui qui est placé au centre a dans ses mains une banderole dont les extrémités sont tenues par les deux autres anges. On lit sur la banderole : Spes illorum immortali… La chapelle est surmontée d’une statue en pierre (H. 1m 25) : un ange a un genou en terre et les bras croisés sur la poitrine ; il lève les yeux au ciel dans l’attitude de la prière. (14e div.)


Tenret (Jean-Joseph), décédé le 19 janvier 1834, à l’âge de 80 ans, et Marie-Thérèse Mosset, femme Tenret, décédée le 7 juillet 1809, à l’âge de 48 ans. — Haut-relief en marbre blanc (H. 1m 12 L. 0m 54) : un génie nu, ailé, debout, en pleurs, s’appuie des deux bras sur une table de marbre placée verticalement, sur laquelle sont gravées les inscriptions[42]. (4e div., 2e section.)


Vigier (Famille du comte Achille). — Monument décoré d’un bas-relief cintré, en marbre (H. 0m 80. L. 2m) : deux petits anges sont en adoration devant une croix qui les sépare. Le monument a été construit sur les dessins de J. Lecomte, architecte, et gravé par L. Normand[43], par Marlier, d’après un dessin de Demont[44], et par Collette, d’après un dessin de Quaglia[45]. (39e div.)


IV. — médaillons.


Aboville (François-Marie, comte d’), pair de France, lieutenant général, né à Brest le 23 janvier 1730, décédé à Paris le ier novembre 1817[46]. — Chapelle dont les angles de la face antérieure comportent deux canons en bronze, debout, formant pilastres et où sont gravés les noms de batailles auxquelles a pris part le lieutenant général. Dans le fronton de la chapelle est placé le médaillon en marbre (Diam. 0m 40) du comte d’Aboville[47]. Gravé par Collette, d’après un dessin de Quaglia[48]. (25e div.)


Beauvisage (Antoine-Jean), manufacturier, né à Paris le 6 mai 1786, décédé le 25 mai 1836. — Demi-ronde bosse en bronze (Diam. 0m 37) ; au-dessous du médaillon est gravé : « A.-J. Beauvisage, par ses ouvriers reconnaissants. » (4e div., 2e section).


Boieldieu (François-Adrien), compositeur, membre de l’Institut, né à Rouen le 15 décembre 1775, décédé à Jarcy, près Grosbois, le 8 octobre 1834. — Tombeau de forme antique. Sur la face antérieure, un médaillon ovale, en marbre (H. 0m 95. L. 0m 65), renfermant le profil du compositeur, une lyre dont les cordes sont fixées, des manuscrits et deux branches de laurier. Au fronton du monument est sculptée la tête de Minerve dans un médaillon. Le monument de Boieldieu a été élevé au moyen d’une souscription nationale. (11e div.)


Boyer (Marguerite-Louise Pioche, veuve), née en 1767, décédée à Paris le 10 janvier 1842. — Médaillon en bronze (Diam. m 35). (26e div.)


Brossard (Pierre-Augustin), décédé le 30 juin 1875, à l’âge de 75 ans. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 21). — Brossard (Marie-Marguerite-Adélaïde), décédée le 29 décembre 1866, dans sa 74e année. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 21). (60e div.)


Cartier de Vey (Mlle ). — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 35 environ), encastré dans le fronton d’une chapelle[49]. (60e div.)


Cellerier (Jacques), architecte et ingénieur en chef de la généralité des bâtiments civils au ministère de l’Intérieur, né le 11 novembre 1742, décédé le 28 mars 1814. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 30). (24e div.)


Compans (Louise-Octavie Lecocq, comtesse), femme de Jean-Dominique, comte Compans, pair de France, lieutenant général des armées du Roi, née le 8 septembre 1792, décédée le 13 juin 1816. — Monument en marbre blanc composé d’un cippe surmonté d’une urne dans la face antérieure de laquelle est sculpté un médaillon ovale (H. 0m 25. L. 0m 20) représentant une figure de femme voilée. Sur la face antérieure du cippe est sculpté un bas-relief (H. 0m 27. L. 0m 35) ayant pour sujet un nid de colombes ; la mère meurt percée d’une flèche. (38e div.)

Couder (A.-L.-F.-Cornélie Stouf, femme d’Auguste), décédée en 1823, à l’âge de 26 ans. — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 28). (27e div.)


David (Jacques-Louis), peintre, né le 31 août 1748, décédé le 29 décembre 1825. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 47)[50] gravé par L. Normand[51] et par Collette, d’après un dessin de Quaglia[52]. (56 e div.)


Désaugiers (Marc-Antoine-Madeleine), chansonnier et vaudevilliste, né à Fréjus le 17 novembre 1772, décédé à Paris le 9 août 1827. — Médaillon en marbre (Diam. 0m 35). Le monument de Désaugiers a été élevé à sa mémoire par ses amis. À la base du monument est gravé : « Dubuc, sculpteur-marbrier du roi. »[53] (22e div.)


Desnoyers (François), décédé le 14 juillet 1848, à l’âge de 74 ans. — Médaillon en fonte (Diam. 0m 30). Signé : P. D.Desnoyers (Pierre), décédé le 16 décembre 1849, à l’âge de 75 ans. — Médaillon en fonte (Diam. 0m 30). Signé : P. D. (39e div.)


Deurbergue (Louis), ciseleur, né le 23 décembre 181 5, décédé le 4 février 1868. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 20) encastré dans la face antérieure d’une stèle[54]. (55e div.)


Gallot (Jean-Léopold), né en 1820, décédé en 1882. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 20). (36e div.)


Gémond (Cornélie), née le 27 août 1796, décédée le 19 avril 1822. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 80), placé sur l’une des faces d’une haute pyramide en pierre. (24e div.)


Gerbellot (Caroline-Hyacinthe Meignen, Mme ), dite Barillot, décédée le 20 octobre 1846, dans sa 28e année. — Médaillon ovale en bronze (H. 0m 25. L. 0m 19). (61e div.)

Geslin (René), négociant à Nantes, né dans cette ville le 3 mai 1739, décédé à Paris le 20 juin 1818. — Médaillon en marbre (Diam. 0m 40). (20e div.)


Godoy (Don Manuel), « principe de la Paz, duque de la Alcudia », né à Badajoz le 12 mai 1767, décédé à Paris le 4 octobre 1851. — Médaillon ovale, en marbre (H. 0m 45. L. 0m 40). (45e div.)


Goujon aîné (Famille). — Deux médaillons ovales en marbre (H. 0m 18. L. 0m 13) sont encastrés dans la face antérieure d’un tombeau de forme antique. (71e div., 1re section.)


Gourdon (Joseph), statuaire, décédé le 10 novembre 1860, à l’âge de 29 ans. — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 37). (28e div.)


Grisar (Albert), compositeur, né à Anvers le 25 décembre 1808, décédé le 15 juin 1869. — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 45). (71e div., 1re section.)


Jobert (J.-B.), né à Beaune le 9 janvier 1767, décédé à Paris le 15 avril 1840. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 40). Signé illisiblement. (45e div.)


Jollivet (André), décédé le 16 juin 1864, à l’âge de 46 ans. — Demi-ronde bosse en marbre (H. 0m 35). (58e div.)


Jomart (Edme-François), géographe, orientaliste, membre de l’Institut, né à Versailles le 22 novembre 1777, décédé le 23 septembre 1862. — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 26). (49e div., 2e section.)


Legendre (Rose), décédée en 1820, à l’âge de 24 ans. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 31) (25e div.)


Lemoine (Alexandre-André-Joseph), décédé le 5 mars 1830, âgé de 24 ans. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 30). (18e div.)


Maurice (Louis-Joseph), peintre, né à Nancy le 4 juin 1731, décédé à Paris le 21 mai 1820. — Médaillon en marbre (Diam. 0m 40), gravé par L. Normand[55]. (27e div.)

Mongrolle (Victor), décédé le 3 septembre 1847. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 35), daté de 1847. (2e div.)


Nainer (François-Claude), né en 1813, décédé en 1864. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 19). (61e div.)


Odiot (Jean-Baptiste-Claude), orfèvre, né à Paris le 8 juin 1763, décédé dans la même ville le 23 mai 1850. — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 67)[56]. (4e div., 2e section.)


Oliveira Arruda (le chevalier Dominiciand de), né le 8 mars 1808, décédé le 18 juin 1849. — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 40). (29e div.)


Payen (Jean-François), docteur en médecine, né en 1800, décédé en 1870. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 25). — Payen (Marie-Clémence Maillard, femme), née en 1806, décédé en 1866. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 25). Ces deux médaillons sont encastrés dans la face antérieure d’un cippe vertical. (44e div.)


Pertat (Jean-Baptiste-Étienne), « greffier du tribunal du département de la Seine, décédé en 1857. » — Médaillon en bronze (Diam. 0m 35). (51e div.)


Philippi (Carl-Léopold), né en 1842, décédé en 1871. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 22). Daté de 1879. (66e div.)


Pithou (Nicolas-Pierre), peintre, né le 16 juin 1750, décédé le 7 février 1818. — Médaillon ovale, en stuc, (H. 0m 37. L. 0m 28). (11e div.)


Poux (Famille). — Médaillon d’homme, en bronze (Diam. 0m 27). (42e div.)


Prazmowski (Adam), savant, auteur d’instruments d’optique, directeur de l’Observatoire de Varsovie, né le 15 mars 1821, décédé le 5 février 1885[57]. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 35). Signé illisiblement. Son médaillon a été exécuté par Ladislas Marcinkowski[58]. (41e div.)

Prévôt (Jean-Pierre), président de la société des « Bons humains », né en 1811, décédé en 1878. — Médaillon en bronze (Diam. 0m 15). (86e div.)


Smith (Sir William Sidney), amiral, né le 21 juin 1764, décédé le 26 mai 1840. — Médaillon en marbre blanc (Diam. 0m 40)[59]. (43e div.)


Target (Gui-Jean-Baptiste), avocat au Parlement, membre de l’Académie française, député aux États généraux, juge en la cour de cassation, né à Paris le 6 décembre 1733, décédé aux Molières (Seine-et-Oise) le 9 septembre 1806. — Médaillon en marbre blanc. (Diam. 0m 45)[60]. (11e div.)


Vandenbergue (Eugénie Pellegrini, Mme), décédée le 24 juillet 1889, à l’âge de 36 ans. — Médaillon en terre cuite (Diam. 0m 35). (44e div.)


Virolet (Jean-Baptiste), né en 1821, décédé en 1891. — Médaillon en marbre (Diam. 0m 45)[61]. (91e div.)


Zacharezuk (Pauline), née le 31 mai 1850, décédée le 28 avril 1870. — Médaillon en marbre (Diam. 0m 31). (54e div.)


V. — divers.


Béguin (Famille). — Édicule surmonté d’une levrette couchée, en bronze. (59e div.)


Billon (André), commandant d’armes, décédé à Paris le 5 mars 1820, et Sophie-Rosalie Ganneron, sa femme, décédée en 1818. — Monument en granit au centre duquel est sculptée une flamme renversée. Au sommet, un coq en bronze (H. 0m 45). (10e div.)

Bourgoin (Thérèse-Étiennette), sociétaire de la Comédie-Française, née à Paris en 1785, décédée à Paris le 11 août 1833. — Urne funéraire en marbre, rapportée, dit-on, de Pompéi (H. 0m 35), dont les anses sont formées de deux têtes de bucranes ; elle est décorée de têtes de harpies, de fleurs et d’épis de blé[62]. (12e div.)


Chenavard (Claude-Aimé), peintre ornemaniste, décédé en juin 1838. — Mausolée sur lequel est placé un vase en bronze. (H. 1m 25), décoré de deux bas-reliefs représentant : 1° Léonard de Vinci peignant le portrait de la Joconde. François Ier et un groupe de musiciens assistent à la scène. 2° Jean Goujon sculptant la statue de Diane de Poitiers. Henri II et Diane sont dans l’atelier de l’artiste. (49e div., ire section.)


Dabadie (Jean-Melchior, baron), inspecteur général du génie, né à Castelnau de Magnoac, décédé à Paris le 8 mars 1820. — Pyramide tronquée, en granit, surmontée d’une cuirasse, d’un casque et de différents autres attributs militaires, en bronze. Gravé par Collette d’après un dessin de Quaglia[63]. (35e div.)


Demidoff (Comtesse Marie). — Riche monument en marbre décoré de nombreux motifs de sculptures. Ce monument, exécuté à Carrare, a été construit sur les dessins de Jaunet, architecte, et placé par Chatillon, aussi architecte. Gravé par L. Normand[64] par Collette, d’après un dessin de Quaglia[65], et par Bordet[66]. (19e div.)


Halanzier (Famille). — Sur le fronton d’une chapelle est assis un petit génie ailé, en bronze (H. 0m 70), ayant une couronne d’immortelles dans chaque main. (69e div.)


Hérold (Louis-Joseph-Ferdinand), compositeur, né à Paris le 28 janvier 1791, décédé dans la même ville le 19 janvier 1833. — Au sommet d’un tombeau, une stèle rectangulaire en pierre sur la face antérieure de laquelle est sculptée une lyre traversée par une branche de cyprès en sautoir. (H. 0m 91. L. 0m 63). Gravé par L. Normand[67], (13e div.)


Hurtault (Maximilien-Joseph), architecte, membre de l’Institut, inspecteur général des bâtiments civils, né à Huningue (Haut-Rhin) le 8 juin 1765, décédé à Paris le 2 mai 1824. — Monument de forme antique avec acrotères ; aux quatre angles, des torches renversées ; sur la face antérieure, une épaisse guirlande de cyprès, au-dessus de laquelle est sculpté, en bas-relief, un hibou dans une couronne. Ce monument, élevé d’après les dessins d’Hurtault, a été gravé par L. Normand[68]. (11e div.)


Maillard (Louis-Gaspard), géographe, né le 29 octobre 1814, décédé le 23 janvier 1865. — Bas-relief bronze (H. 0m 45. L. 0m 50). Dans l’angle inférieur gauche est gravé : « Relief de l’Ile de la Réunion . » (39e div.)


Molière (Jean-Baptiste Poquelin, dit), poète comique, né à Paris le 15 janvier 1622, décédé à Paris le 17 février 1673. — Sarcophage en pierre supporté par quatre pilastres ; il est surmonté d’une coupe en bronze. Le sarcophage de Molière qui a fait partie du Musée des monuments français a été transporté au cimetière du Père-Lachaise le 6 mars 1817[69]. Gravé par Guyot[70] et par Colette d’après un dessin de Quaglia[71]. (25e div.)


Pacthod (Michel-Marie, comte), général, né à Saint-Julien (Savoie) le 16 janvier 1764, décédé à Paris le 24 mars 1830. — Tombeau surmonté d’une pyramide, à base quadrangulaire, sur la face antérieure de laquelle sont sculptés l’uniforme du général et des trophées d’armes. (40e div.)


Pezon (Famille). — Groupe en bronze représentant le dompteur Pezon à cheval sur son lion Brutus, et ayant une cravache dans la main droite[72]. Le groupe qui surmonte le monument de la famille Pezon a été exécuté par Prosper Lecourtier[73]. (86e div.)

Prud’hon (Pierre), peintre, né à Cluny (Saône-et-Loire) le 4 avril 1758, décédé à Paris le 16 février 1823, et Marie-Françoise-Constance Mayer Lamartinière, peintre, née à Paris en 1778, décédée dans la même ville le 26 mai 1821. — Tombeau surmonté d’un sarcophage ; les faces latérales sont décorées de deux couronnes de chêne et de laurier entrelacées, et d’une torche renversée de chaque côté des couronnes ; entre les frontons sont sculptées des palmettes d’angle ; sur les frontons latéraux, un sablier entre deux ailes couronne les frontons principaux. Un petit chien en bronze, gémissant, est placé sur le sarcophage. Gravé par Alfred Taiée[74] (39e div.)

Richeton (Famille). — Tombeau quadrangulaire sur lequel est assis un chien caniche, en bronze (H. 0m 55). (20e div.)


  1. Une inscription gravée sur la face antérieure du monument nous apprend qu’il « a été restauré » et que « la Vierge a été donnée par Mme  la comtesse veuve E. Foucher à son oncle et à sa tante en souvenir de reconnaissance. 1895. »
  2. M. P. Chapal, fondeur, nous écrit à la date du 9 septembre 1897 qu’il ne se souvient plus du nom du sculpteur qui a exécuté le modèle d’après lequel a été fondue la statue placée sur le tombeau de sa famille.
  3. L’inscription funéraire nous apprend que la statue placée sur le tombeau de Courlot représente la Douleur sous les traits de sa femme.
  4. Une descendante de Pierre Gareau, Mme  veuve Gareau, nous écrit, à la date du 4 août 1897, que la statue placée sur le tombeau de sa famille a dû être exécutée vers 1815 ou 1816, mais qu’elle ne connaît pas le nom de l’artiste.
  5. Le Père-Lachaise, etc., pl. iv.
  6. Voy. Archives du Musée des monuments français. Paris, 1883-1897, 3 vol. in-8 (t. III, p. 209).
  7. Le Père-Lachaise, etc., pl. xix.
  8. L’inscription funéraire nous apprend que le comte Malet est le fondateur de la congrégation de Sainte-Marie de Lorette et qu’il fut réuni à sa femme le 28 août 1843, jour anniversaire de leur mariage.
  9. Le Pére-Lachaise, etc., pl. xi.
  10. M. Pineyro, propriétaire du monument, en réponse à notre lettre du 21 juin 1897, nous informe que cette statue a été exécutée en Italie, mais qu’il ne se souvient plus du nom de l’artiste (23 juin 1897).
  11. Renseignements fournis par M. le baron de Schickler (15 juin 1897).
  12. Mme  Angot, belle-fille du personnage représenté, nous écrit, à la date du 9 juin 1897, qu’il lui a été impossible de se procurer le nom de l’artiste qui a sculpté le buste de sa belle-mère.
  13. M. L. Halévy membre de l’Institut, arrière-petit-fils de Bréguet, nous écrit à la date du 20 juin 1897, qu’il ignore le nom de l’artiste qui a exécuté le buste d’Abraham Bréguet.
  14. Architecture funéraire contemporaine, 2e section D, pl. ix.
  15. M. Coquilla, petit-fils de Chereau, nous écrit, à la date du 20 août 1897, qu’il ignore le nom de l’artiste qui a sculpté le buste de son grand-père.
  16. Vapereau, dans le Dictionnaire des contemporains, écrit : « 29 mars 1874. »
  17. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. xxxvi.
  18. Monuments funéraires, etc., t. I. pl. xi.
  19. M. J. Rondeau, petit-fils de Labenette-Corsse, nous écrit, à la date du 13 juin 1897, qu’il lui a été impossible de se procurer le nom de l’artiste qui a sculpté le buste de son grand-père.
  20. L’acteur Lacressonnière s’étant remarié, sa veuve nous écrit, à la date du 21 septembre 1897, qu’elle ne connaît pas le nom de l’artiste qui a sculpté le buste de Marguerite Gérinière.
  21. À la date du 20 juin 1897, M. A. Buron, propriétaire de cette tombe, nous écrit que, malgré les recherche qu’il a faites, il lui a été impossible de découvrir le nom de l’artiste qui a modelé le buste de Mlle  Lenormand.
  22. Manget fut, pendant vingt ans, médecin du bureau de bienfaisance du Xe arrondissement.
  23. Par sa lettre du 27 octobre 1897, Mme Veuve A. Beugnier, petite-nièce de Roman, incline à croire que le buste de son grand-oncle a été exécuté en 1835 F. Rude ; mais en l’absence d’un document certain nous n’osons inscrire le buste en question sous le nom de Rude.
  24. Monuments funéraires, etc., t. II, pl. xliv.
  25. À la date du 22 juin 1897, Mme  Schloss nous écrit qu’elle ne se souvient pas du nom de l’artiste qui a sculpté le buste de Henri Schloss.
  26. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. xxiii.
  27. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. lxi.
  28. Les cimetières de Paris, etc., pl. v.
  29. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. xviii.
  30. M. le marquis de Lillers, propriétaire actuel de la chapelle, veut bien nous écrire, à la date du 25 juin 1897, qu’il ne connaît pas le nom de l’artiste qui a sculpté les deux bas-reliefs, et que la chapelle a dû être construite pendant la période comprise entre 1820 et 1850.
  31. Monuments funéraires, etc., t. II, pl. xiv et xv.
  32. Le Père-Lachaise, etc., pl. xii.
  33. M. Thuault nous écrit, le 21 juillet 1897, que, malgré maintes recherches, il lui a été impossible de découvrir le nom de l’artiste qui a exécuté la sculpture décorative du tombeau de la famille Bailli de Crussol.
  34. Les cimetières de Paris, etc., pl. xvii.
  35. Le Père-Lachaise, etc., pl. ii.
  36. Voy. Archives du Musée des Monuments français, t. III, p. 236-240.
  37. Musée des Monuments français, etc.. par Alexandre Lenoir. Paris, 1800-1806, 5 vol. in-8 ( t. V, pl. 200).
  38. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. xlii.
  39. Le Père-Lachaise, etc., pl. iv.
  40. Renseignements fournis par F.-L. Rolard, statuaire (23 novembre 1897).
  41. Desobry écrit 1762.
  42. Nous relevons ces mots : « Leurs enfants pour perpétuer leur mémoire leur ont consacré ce monument. »
  43. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. xi.
  44. Recueil de divers tombeaux, etc., pl. viii.
  45. Le Père-Lachaise, etc., pl. xiv.
  46. Lalanne écrit par inadvertance « 1819 ».
  47. M. le vicomte d’Aboville, petit-fils du pair de France, nous écrit, à la date du 15 septembre 1897, que, malgré ses recherches, il lui a été impossible de se procurer le nom de l’artiste qui a sculpté le médaillon de son grand-père.
  48. Le Père-Lachaise, etc., pl. xiii.
  49. À la date du 22 juillet 1897, M. Cartier de Vey nous écrit qu’il ne se souvient plus du nom de l’artiste qui a sculpté le médaillon de sa fille.
  50. À la date du 27 juillet 1897, M. Léon Brey, architecte, nous informe que malgré, ses recherches, il lui a été impossible de découvrir le nom du sculpteur qui a modelé le médaillon de Louis David.
  51. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. i
  52. Le Père-Lachaise, etc., pl. ii.
  53. Mme  E. Désaugiers nous écrit, à la date du 27 juin 1897, qu’elle ignore le nom de l’artiste qui a sculpté le médaillon.
  54. M. G. Latapie, beau-père du fils de Louis Deurbergue, nous écrit le 17 octobre 1897 que, malgré ses recherches, il n’a pu découvrir le nom de l’artiste qui a modelé le médaillon de Louis Deurbergue.
  55. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. lxvi.
  56. M.-G. Odiot, petit-fils de l’orfèvre, nous écrit, à la date du 30 juin 1897, qu’il ne connaît pas le nom de l’artiste qui a sculpté ce médaillon.
  57. Renseignements fournis par M. le docteur Lewenhard (17 octobre 1897).
  58. Renseignements fournis par le docteur Lewenhard (10 décembre 1897).
  59. David d’Angers a modelé, en 1834, le médaillon de ce personnage. Le bronze mesure 0m 16 de diamètre. Il se peut que le marbre anonyme du tombeau soit une copie agrandie de l’œuvre de David.
  60. M. Ph. Target, petit-fils du député aux États Généraux, nous écrit, à la date du 10 octobre 1897 qu’il ne connaît pas le nom de l’artiste qui a sculpté le médaillon de son grand-père.
  61. À la date du 16 septembre 1897, M Léon Virolet, fils du personnage représenté, nous écrit que le médaillon fut modelé par un artiste italien (dont il ignore le nom), lors d’un voyage de son père à Florence, au cours de l’année 1869.
  62. C’est sur le désir exprimé par l’artiste que cette urne a été placée sur sa tombe.
  63. Le Père-Lachaise, etc., pl. ix.
  64. Monuments funéraires, etc., t. I, pl. xxxix.
  65. Les cimetières de Paris, etc., pl. xv.
  66. Architecture funéraire contemporaine, 2e section D, pl. xii et xiii.
  67. Monuments funéraires, etc., t. II, pl. xvi.
  68. Monuments funéraires, t. I, pl. iii.
  69. Archives du Musée des Monuments français, t. III, p. 236-240.
  70. Musée des monuments français, t. V, pl. 199.
  71. Le Père-Lachaise, etc., pl. iv.
  72. Ce groupe a été posé sur la tombe de la famille Pezon le 14 août 1885.
  73. Renseignements fournis par M. A. Pezon fils (25 novembre 1897).
  74. Galette des Beaux-Arts, année 1879, 2e période, t. XX, p. 530.