Eugène Fasquelle (p. 101).

Minute

Les oliviers du beau ruisseau de Ben Métir
Mêlés aux naturels jardins des lauriers roses ;
Puis, retenant un bouc dont l’effort veut bondir,
Un Arabe debout, sculpté parmi les choses ;
Puis nous autres riant du bonheur de nos yeux
Avec notre jeunesse au fond de la poitrine,
Inconscients de ces lauriers impérieux
Dont l’amertume en fleur viole nos narines…