La Clé du Caveau/Table I
Capelle et Renard, (p. 1-52).
TABLE ALPHABÉTIQUE
DES AIRS CONTENUS DANS CE RECUEIL,
et qui sont indiqués par le premier vers de la chanson ou du couplet
qui leur a donné lieu.
qui leur a donné lieu.
A.
À boire ! à boire ! à boire
À boire je passe ma vie (voyez air du cabaret).
À dix-sept ans la pauvre Coralie
À la façon de Barbari, mon ami (voyez air de la faridondaine).
À l’eau, à l’eau ! (voyez air du porteur d’eau).
À la papa
À la ville comme aux champs (voyez nous autres bon villageois).
À l’instant même tu peux (voyez des femmes plus d’un censeur).
À l’ombre d’un vieux chêne (voyez air de la romance de la forteresse du Danube).
À moins que dans ce monastère (voyez vaudeville des Visitandines).
À mon mari n’apportant rien (voyez maman vous a dit dans six mois).
À Paris, et loin de sa mère
À peine au sortir de l’enfance (voyez air de la romance de Joseph).
À pied comme à cheval (voyez air de la marche du roi de Prusse).
À quoi bon la richesse (voyez il n’est point de plaisir, de bonheur sans amour).
À tort on reproche aux buveurs
À Venise jeune fillette (voyez air du gondolier vénitien).
À votre âge fille la plus sage, ou l’équipage le plus en usage (voyez une fille qui toujours sautille).
À voyager passant sa vie
Accompagné de plusieurs autres (voyez le premier du mois de janvier).
Adieu donc, dame Françoise
Adieu, je vous fuis, bois charmant
Adieu, mes chères pénitentes (voyez vaudeville des Visitandines).
Adieu, panier, vendanges sont faites
Âge d’Astrée, ô temps heureux (voyez air de la romance de Florian).
Ah ! Ah ! monsieur le magister
Ah ! cessez, cessez, mon père, ou quoi sur toi père insensible
Ah ! comme on trompe dans ce monde (voyez l’homme n’est pas ce qu’il s’affiche).
Ah ! de quel souvenir affreux, ou daignez m’épargner le reste
Ah ! dis-moi comment on appelle (voyez mon cœur soupire dès l’aurore).
Ah ! il n’est point de fête quand le cœur n’en est pas (voyez vaudeville d’Annette et Lubin).
Ah ! il m’en souviendra, la rira (voyez air du curé de Pomponne).
Ah ! le bel oiseau, vraiment
Ah ! ma fille, que faites-vous (voyez air de la découpure).
Ah ! Madelon, qu’avez-vous dont
Ah ! maman, que je l’échappai belle
Ah ! mon cher oncle, en conscience (voyez à Paris et loin de sa mère).
Ah ! monseigneur ! ah ! monseigneur, ou de la p’tit’ poste de Paris
Ah ! pour l’amant le plus discret
Ah ! que de chagrins dans la vie !
Ah ! que je sens d’impatience, ou voyage qui voudra.
Ah ! quel funeste destin (voyez ce n’est que pour Madelon).
Ah ! quel plaisir d’aimer Lucas
Ah ! quelle gêne, quel tourment
Ah ! qu’il est doux de vendanger (voyez ah ! quel plaisir d’aimer Lucas).
Ah ! si j’avais connu monsieur de Catinat ou malgré la bataille
Ah ! s’il est dans votre village
Ah ! voilà la vie, la vie suivie
Ah ! vous dirai-je, maman
Aimé de la belle Ninon (voyez vaudeville des deux veuves).
Ainsi jadis un grand prophète, ou cet arbre apporté de Provence
Ainsi jadis à Télémaque
Ainsi jadis d’un ménestrel
Aisément cela se peut croire (voyez sur l’port avec manon z’un jour).
Alexis depuis deux ans
Allez-vous-en, gens de la noce
Allons, enfans de la patrie
Allons, allons au bois, ou le jour chantant l’amour (voyez air de la chasse du roi et le fermier).
Allons danser sous ces ormeaux
Allons donc, mademoiselle, ou c’est la petite Thérèse
Allons tous rendre hommage (voyez moi je vais rendre hommage).
Alors dans la Provence (voyez air de la romance d’Aline).
Ami, ton âge t’autorise (voyez il est mal que l’amour attache).
Amis, il est temps qu’on publie, ou versons le vin, renversons les fillettes.
Amis, dépouillons nos pommiers
Amour, commence le tableau
Amour et rose
Amusez-vous, jeunes fillettes
Amusez-vous, trémoussez-vous (voyez rien n’était si joli qu’Adèle).
Ange des nuits, viens de tes voiles sombres (voyez romance de Délia et Verdikan).
Annette à l’âge de quinze ans
Après de pénibles combats (voyez pour donner la paix à la terre).
Après la chute des tyrans (voyez air de la pauvre femme).
Après ma mort vous pleurerez, j’en jure (voyez pourquoi vouloir).
Après trente ans d’obéissance (voyez chantons le dieu de la vendange).
Approchez-vous, et que chacun écoute (voyez air du cantique de St.-Roch).
Approchez-vous sans crainte (voyez venez, venez-vous rendre).
Arrivez donc, monsieur, le temps s’écoule
Arroncevaux (mieux dit à Ronceveaux) de Guillaume Tell
As-tu vu la lune, Jean ?
Attends quelques instans, ou l’agniel qué m’as dounat (air Languedocien)
Au bas d’un fertile coteau (voyez j’étais bon chasseur autrefois).
Au bord d’un clair ruisseau
Au bord d’une fontaine, ou félicité passée
Au clair de la lune
Au coin du feu
Au fond d’un bois sous la coudrette (voyez dans une forêt des Ardennes).
Au temps passé, ou quand vous jugez que je ne suis pas belle
Au temps jadis un chevalier
Aussitôt que la lumière
Aussitôt que je t’aperçois
Au soin que je prends de ma gloire (voyez vaudeville d’arlequin Muzard).
Aux accords enchanteurs du fifre et du tambour (voyez air du fifre et du tambour).
Aux montagnes de la Savoie (voyez quinze ans, ma vielle et l’espérance).
Avale, avale, avale
Avec Iseulte et les amours (voyez air des Triolets).
Avec les jeux dans le village
Avec vous sous le même toit
Avez-vous connu Jeanette, avez-vous connu Jeanot
Avoir dans sa cave profonde
B.
Babet m’a su charmer, ou Babet, que t’es gentille !
Belle au galant mystère (voyez vaudeville de la belle Marie).
Berce, berce, bonne grand’mère (voyez air de la berceuse).
Besoin d’aimer
Bocage, que l’aurore
Boire à son tire-lire-lire
Bon, bon, mariez-nous (voyez maman, mariez-nous).
Bon dieu, bon dieu, comme à c’te fête
Bon voyage, cher Dumolet (voyez vaudeville du départ pour Saint-Malo).
Bonjour, la voisine
Bonjour, mon ami Vincent
Bonsoir, ma belle et douce amie
Bonsoir jusqu’au revoir, jusqu’au revoir bonsoir
Bonsoir la compagnie (voyez j’aurai bientôt quatre-vingts ans).
Bouton de rose
Buvons à tire la rigo (voyez mon père était pot, ou voulez-vous savoir les on dit).
C.
Caché sous les habits d’un esclave africain
Cadet Roussel est bon enfant (voyez air de Cadet Roussel).
Ça fait, ça fait toujours plaisir (voyez c’est la fille à ma tante).
Ça n’ devait pas finir comm’ ça
Ça n’ dur’ra pas toujours, ou chantons l’œtamini
Ça n’ se peut pas (voyez un jour Lucas dans la prairie).
Ce boudoir est mon parnasse (voyez vaudeville du Mameluck).
Ce cher objet sommeille encore (voyez vous me grondez d’un ton sévère).
Ce cher enfant sur mes genoux
Ce crayon trop fragile (voyez vent brûlant d’Arabie).
Ce fut au temps de la moisson (voyez air de la moisson).
Ce fut par la faute du sort
Ce fut toujours de la simple nature (voyez oui si j’admire un moment le parterre).
Ce fut un dimanche au soir
Ce jeune homme, depuis deux ans, ou et c’est toujours la même chose
Ce lieu charmant est un abîme immense
Ce magistrat irréprochable
Ce mot sévère (voyez air du Fandango).
Ce mouchoir, belle Raimonde
Ce n’est que pour Madelon, ou ah ! quel funeste destin
Ce que je vois ici de mieux à faire (voyez air de la walse du pauvre diable).
Celui qui fait un choix heureux (voyez loin des grandeurs je vis le jour).
Celui dont vous charmiez la vie (voyez air du pot de fleurs).
Ces postillions sont d’une mal-adresse (voyez dès mon printemps, naïve et confiante).
C’est à mon maître en l’art de plaire (voyez que ta porte, ô ma tendre amie).
C’est aussi comm’ ça que pense vot’ p’tit sarviteur
C’est bien le plus joli corsage
C’est ce qui me désole (voyez on doit soixante mille francs).
C’est donc demain (voyez viens dans mes bras, mon aimable créole).
C’est du nouveau qu’on donne (voyez air du lendemain).
C’est du Volney le plus exquis (voyez de tous les dîners le meilleur).
C’est Geneviève dont le nom (voyez air du petit mot pour rire).
C’est la fille à Simonnette
C’est la fille à ma tante, ou ça fait, ça fait toujours plaisir
C’est la petite Thérèse (voyez allons donc, mademoiselle).
C’est le gros Thomas
C’est le meilleur homme du monde (voyez air de la fuite en Égypte).
C’est le roi Dagobert (voyez du bon roi Dagobert).
C’est lorsque nous avons mis le cerf aux abois
C’est par les yeux que tout s’exprime (voyez air des cinq sens).
C’est pour toi que je les arrange
C’est son mirliton, mirliton, mirlitaine (voyez air du mirliton).
C’est téméraire, c’est imprudent (voyez vaudeville de la matrone d’Éphèse).
C’est un agréable jardin, ou quand je réfléchis à mon sort
C’est un enfant (voyez vaudeville du Devin du village).
C’est un petit satellite, ou vaudeville de Lantara
C’est un propos, c’est un regard
C’est un sorcier (voyez vaudeville du sorcier).
C’est un’ bagatelle
Cet arbre apporté de Provence (voyez ainsi jadis un grand prophète).
Cet étang, qui s’étend (voyez air du menuet d’Exaudet).
Cette danse est ici la folie, ou si tu veux un ami véritable, (voyez ainsi jadis un grand prophète).
Chacun avec moi l’avoûra
Chacun de son côté (voyez vaudeville des fiancés).
Changez-moi cette tête (voyez air de la folle).
Chansonniers, mes confrères (voyez le port Mahon est pris).
Chansons, chansons, ou air des Revenans
Chantez, dansez, amusez-vous (voyez le vaudeville de la Rosière).
Chantez les charmes du mystère (voyez air du fifre et le tambour).
Chantons, buvons, ce n’est qu’ici (voyez Eh ! gai, gai, gai, mon officier).
Chantons l’hymen, chantons l’amour (voyez vaudeville de Blaise et Babet).
Chantons l’œtamini (voyez ça n’ dur’ra pas toujours).
Chantons la capucine, ou flon, flon, flon, la rira dondaine
Chantons le dieu de la vendange, ou après trente ans d’obéissance
Chantons les matines de Cythère
Chaque nuit mon ame abusée
Charmante Gabrielle
Ciel ! l’univers va-t-il donc se dissoudre ?
Claire est espiègle, et cependant
Clitie est laide à faire peur (voyez vaudeville d’Arlequin afficheur).
Cocu, cocu, mon père, (voyez air du carillon de Dunkerque).
Cœurs sensibles, cœurs fidèles
Colin disait à Lise un jour, ou n’en demandez pas davantage
Colinette au bois s’en alla
Comme v’là qu’est fait !
Comme je suis frais et dispos (voyez vaudeville de la Soirée orageuse).
Comme le vin rajeunit la vieillesse (voyez air de la walse du pauvre diable).
Comme j’aime mon Hypolyte (voyez fuyant et la ville et la cour).
Comme faisaient nos pères (voyez j’ commençons à m’apercevoir).
Comme faisait maîtresse (voyez un motif plus puissant je pense).
Comme Tancrède, pour devise
Comment goûter quelque repos
Connaissez-vous l’amiral Anson, ou tout le long, le long, le long de la rivière
Conservez bien la paix du cœur
Consolez-vous avec les autres, ou je n’ai trouvé que des ingrats
Contentons-nous d’une simple bouteille, ou la comédie est une grande salle
Contre les chagrins de la vie, ou air de la pipe de tabac
Courez vite, prenez le patron
Courons de la brune à la blonde
Craignez l’erreur qui vous entraîne (voyez jetez les yeux sur cette lettre).
Croissez, vigne et fillettes joliettes (voyez lorsque Dieu fit Adam).
Croyez-moi, buvons à longs traits
Cupidon, las de ses folies (voyez air du mariage de l’amour).
D.
Daigne écouter l’amant fidèle et tendre
Daignez m’épargner le reste (voyez ah ! de quel souvenir affreux).
D’aimer jamais si je fais la folie (voyez je suis Lindor).
Dans ce sallon où du Poussin (voyez j’étais bon chasseur autrefois).
Dans cet heureux asile.
Dans cette belle contrée (voyez air de la romance de Daphné).
Dans la chambre où naquit Molière (voyez la résistance est inutile).
Dans la paix, et l’innocence ou eh ! ma mère, est-c’ que j’ sais ça ?
Dans l’âge d’or, tendre ami, douce amie
Dans la vigne à Claudine
Dans l’asile de l’innocence
Dans le bosquet, l’autre matin
Dans le cœur d’une cruelle
Dans les champs de la victoire, ou et qu’est’c’ qu’ça m’ fait à moi
Dans les gardes françaises
Dans l’île de Cythère (voyez dans ma cabane obscure).
Dans ma cabane obscure
Dans ma chaumière (air de Dalayrac)
——— Air de Doche
Dans ma jeunesse
Dans ma paisible retraite
Dans nos hameaux, la paix et l’innocence
Dans un bois solitaire et sombre
Dans un verger Colinette
Dans une forêt des Ardennes, ou au fond d’un bois, sous la coudrette
Dans une tour obscure, ou une fièvre brûlante
Dansons la Capucine (voyez chantons la Capucine).
De Bacchus la veine est glacée (voyez de tous les Capucins du monde).
De ce linge que je repasse
De ce vin, le venin (voyez air du menuet d’Exaudet).
De cette agréable maison
De Jean-Jacques prenons le ton (voyez chantez, dansez, amusez-vous).
De m’être perdu sur ma route
De mon berger volage
De nos moutons, le nombre augmente
De sommeiller encor, ma chère
De ta main tu cueilles le fruit
De tous les Capucins du monde
De tous les dîners, le meilleur, ou c’est du Volney le plus exquis
De vos bontés, de son amour
De votre bonté généreuse
Décacheter sur ma porte
Dedans Paris il est venu
Dedans mon petit réduit (voyez air de la bonne aventure).
D’ l’instant qu’on nous mit en ménage
Déjà dans la plaine
Demain, au retour de l’aurore (voyez en ces lieux à peine arrivée).
Depuis le jour où son courage (voyez romance du Calife).
Depuis long-temps je me suis aperçu
Depuis long-temps j’ai trois mots à vous dire
Depuis trois ans nous faisons l’exercice (voyez contentons-nous d’une simple bouteille).
Des bergères du hameau
Des femmes plus d’un censeur, ou à l’instant même tu peux
Des frelons bravant la piqûre, ou plus on est de fous, plus on rit
Des propos de ruelle (voyez charmante Gabrielle).
Des troubadours mon ame éprise
Des simples jeux de son enfance
Dès mon printemps, naïve et confiante (voyez vaudeville des fiancés).
Dès qu’on y pense, dès qu’on y touche (voyez je brûle de voir ce château).
Dessous mon menton, je vous en prie, (voyez je crois ben que si je voulions plaire).
Deux enfans s’aimaient d’amour tendre
Deux jeunes gens s’aimaient d’amour
Dieu de la molesse (voyez eh ! quoi, tout sommeille).
Diga, Jeanetto
Dorilas contre moi des femmes (voyez si Dorilas médit des femmes).
Dormir est un temps perdu (voyez je suis né pour le plaisir).
Dors, mon enfans, clos ta paupière
Du bon roi Dagobert
Du haut en bas
Du partage de la richesse
Du rivage de Vaucluse
Du serin qui te fait envie
Du temple heureux de Cythère
Du Vaudeville, afficheur ordinaire, ou je suis Carmélite, moi
D’un bouquet de romarin, ou je vis Lise hier au soir
D’un époux chéri, la tendresse
D’un époux il faudra tenir (voyez vaudeville d’Abuzard).
D’un mensonge très-innocent
D’un’ meûnièr’ qui fait trop la fière (voyez air de la romance de la queue du diable).
D’une abeille toujours chérie
D’une amante abandonnée (voyez que ne suis-je la fougère).
E.
Écoutez la prière d’un jeune voyageur
Écoutez l’aventure d’un pauvre villageois
Eh ! bon, bon, bon, que le vin est bon (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
Eh ! gai, gai, gai, mon officier, ou chantons, buvons, ce n’est qu’ici
Eh ! lon, lan, la, landerirette (voyez air de Landerirette).
Eh ! ma mère, est c’que j’ sais ça ? (voyez dans la paix et l’innocence).
Eh ! mais, oui dà (voyez le cœur de mon Annette).
Eh ! qu’est-c’ qu’ça m’ fait à moi (voyez dans les champs de la victoire).
Eh ! quoi, déjà je vois le jour (voyez air des Triolets).
Eh ! quoi, tout sommeille, ou dieu de la molesse
Eh ! quoi, tu détournes les yeux
Eh ! zon, zon, zon, Lisette, ma Lisette, ou et non, non, non, ce n’est pas là Ninette.
Elle l’aimait si tendrement
Elle m’aima, cette belle Aspasie
Elle m’apporte en mariage (voyez l’amour galant c’est mon ouvrage).
En acceptant la préférence (voyez j’ignore quelle est ma naissance).
En amour c’est au village
En affaires, comme en voyage
En attraits, en beauté (voyez Eh ! zon, zon, zon).
En cajolant sa commère
En ces lieux à peine arrivée, ou demain au retour de l’aurore
Encore un quart’ron, Claudine
En deux moitiés, dit-on, le sort, ou je ne suis plus de ces vainqueurs.
En jupon court, en blanc corset (voyez sous un saule dans la prairie).
En guerre ces aventures (voyez vaudeville du Mameluck).
En l’honneur du bon Henri quatre
En quatre mots je vais vous conter ça (voyez air des cinq voyelles).
En naissant promis à Thalie
En revenant d’Auvergna, ou soir et matin je chante
En revenant de Bâle en Suisse
En revenant de Nivelle (voyez passez votre chemin, beau sire).
En scène je suis un héros (voyez vaudeville de Lasthénie).
Enfans de la Provence (voyez air de la ronde d’Aline).
Enfin, v’là donc qu’est bacle (voyez reçois dans ton galetas).
Enseignez-moi qui l’a (voyez air de la béquille du père Barnabas).
Époux imprudent, fils rebelle
Époux volage, ta Sophie
Es-tu bien sensible, toi (voyez air de l’enfantine).
Escouta, Jeanetto
Et c’est toujours la même chose (voyez ce jeune homme depuis deux ans).
Et l’on peut bien pardonner dans la vie
Et non, non, non, ce n’est pas là Ninette (voyez eh zon, zon, zon, Lisette, ma Lisette).
Et r’lan tan plan, tambour battant
Et toujours va qui chante (voyez air du pas redoublé).
Et voilà la vie, la vie suivie (voyez ah ! voilà la vie).
Et voilà comme l’homme n’est jamais content
(Voyez le vaudeville de Christophe Dubois, dont le refrain est le même que celui-ci.)
Et zig, et zig, et zig, et zog
Êtes-vous de Chantilly ?
Existe-t-il sur la terre ?
F.
Faisons ici défense expresse (voyez vaudeville de l’Avare).
Fatigué de si longue route
Faut attendre avec patience
Faut d’la vertu, pas trop n’en faut
Faut-il boire, faut-il aimer ? (voyez chantez, dansez, amusez vous).
Faut-il donc tant se récrier ? (voyez vaudeville des vélocifères).
Faut pas heurter (voyez un jour Lisette allait au champ).
Femme qui chérit la sagesse
Femme sensible, entends-tu le ramage
Femmes, voulez-vous éprouver
Fidèle époux, franc militaire (voyez vaudeville de l’officier de fortune).
Fidelio, mon doux ami
Fille à qui l’on dit un secret
Filles du hameau (voyez air du batelier).
Fillette, fillette, qui dans la retraite.
Flon, flon, flon, la rira, dondaine (voyez chantons la Capucine).
Fortune longtemps ennemie (voyez vous avez vu dans cette enceinte).
Foulons la fougère
Fournissez au canal un ruisseau (voyez vaudeville de Rose et Colas).
Frère Jacques, dormez-vous ? (voyez air des matines du frère Jacques).
Frère Pierre à la cuisine, ou vaudeville de Jean Monet
Fuyant et la ville et la cour, ou comme j’aime mon Hyppolite
G.
Gaiment je m’accommode de tout (voyez air de la cavatine du bouffe et le tailleur).
Gentille boulangère (voyez ô ma tendre musette).
G’ n’y a que Paris, g’ n’y a que Paris (voyez vaudeville des poètes sans souci).
Grâce à tant de tromperies
Guide mes pas, ô providence
Guillot a des yeux complaisans, ou je verrai donc à chaque instant, ou je connais un berger discret
Guillot auprès de Guillemette
Guillot un jour trouva Lisette
Guillot, Guillot ! que ce nom m’intéresse (voyez mon honneur dit que je serais coupable).
Gusman ne connaît point d’obstacle (voyez air de la romance du pied de mouton).
H.
Haiss’ les femmes qui voudra (de haine aux femmes)
Hélas ! ne tremblons pas (voyez l’autre jour le beau Lucas).
Hermite, bon hermite
Heureux habitans des montagnes (voyez vaudeville des petits montagnards).
Heureux qui dans sa maisonnette
Hier matin en m’éveillant
I.
Il a cinquante écus comptant
Il a fait un voyage, ou vaudeville d’Amour et mystère
Il a voulu, il n’a pas pu
Il est certain qu’un jour de l’autre mois
Il est des amusemens
Il est donc vrai, Lucile (voyez ô ma tendre musette).
Il est mal que l’amour attache (voyez de sommeiller encor, ma chère).
Il est naturel de s’aimer (voyez vaudeville de Pellegrin).
Il est trop tard
Il est temps, ma chère sonnette
Il est un Dieu pour les auteurs
Il était temps (voyez sans le savoir).
Il était un oiseau gris
Il était un p’tit homme (voyez tôt tôt carabo).
Il était un’ fois une princesse (voyez air de la belle au bois dormant).
Il était une fille
Il était une fillette (voyez une petite fillette).
Il faut aimer, c’est la loi de Cythère, ou ô Mahomet, ton paradis des femmes
Il faut des époux assortis
Il faut gaîment passer la vie
Il faut, quand on aime une fois
Il faut que l’on file, file, file
Il faut quitter ce que j’adore, ou si Pauline est dans l’indigence
Il m’en souvient, long-temps ce jour
Il n’en est point de généreux (voyez vaudeville d’Abuzard).
Il n’est pas temps de nous quitter (voyez fille à qui l’on dit un secret).
Il n’est pire que l’eau qui dort, ou ne craignez rien, allez je tiens l’échelle
Il n’est point de plaisir, de bonheur sans amour
Il n’est point de vrais biens au monde (voyez avoir dans sa cave profonde).
Il n’est point de fleurettes, sans le printemps (voyez air des fleurettes et des amans).
Il n’est qu’un pas du mal au bien
Il pleut, il pleut, bergère
Il porte et l’épée et la lyre (voyez Cupidon, las de ses folies).
Il y a cinquante ans et plus
Intégrité, franchise
J.
Jadis un célèbre empereur
Jadis à table entre les pots (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
J’ai Grégoire pour nom de guerre
J’ai marié ma fille en Perse
J’ai perdu mon âne
J’ai quitté la montagne
J’ai rêvé toute la nuit, ou souvenez-vous-en
J’ai toujours, Bacchus (voyez nous nous marirons dimanche).
J’ai vu la meûnière en passant (voyez air de la meûnière).
J’ai vu le parnasse des dames
J’ai vu partout dans mes voyages (air primitif de L. Jadin.)
——— Air fait sur les mêmes paroles, par Plantade
J’aimais sur-tout à la maison (voyez puisque l’objet de vos regrets).
J’aime ce mot de gentillesse, ou que n’avons-nous la verve heureuse
J’aime Rosette à la folie
J’aime une ingrate beauté
J’aimons les filles (voyez vive Henri quatre).
Jamais je n’oublierai, ou votre pavillon m’enchante
Jardinier, ne vois-tu pas ? (voyez air des fraises).
J’arrive à pied de province
J’arrive ici de Rome
J’attendais dans l’impatience
J’aurai bientôt quatre-vingts ans
J’avais à peine dix-sept ans
J’avais égaré mon fuseau
J’commençons à m’apercevoir, ou comme faisaient nos pères
J’courons de la brune à la blonde (voyez courons de la brune à la blonde).
Jean de la Réole, mon ami
Jeaneton prend sa faucille
Je brûle de voir ce château, ou dès qu’on y pense, dès qu’on y touche
Je cherche envain la vérité
Je connais un berger discret (voyez Guillot a des yeux complaisans).
Je crois bien que si je voulions plaire, ou dessous mon menton, je vous en prie
Je l’ai planté, je l’ai vu naître
Je le compare avec Louis, ou quand on est deux et quand on s’aime
Je le tiens, ce nid de fauvette
Je loge au quatrième étage
J’ n’avions pas encor quatorze ans
Je n’ saurais danser
Je n’ai jamais aimé personne de ma vie
Je n’ai pour toute maison (voyez nous autres bons villageois).
Je n’ai trouvé que des ingrats (voyez consolez-vous avec les autres).
Je n’aimais pas le tabac beaucoup (air primitif)
Le même, air de Sollier
Je n’aime pas une grille entre mon amant et moi (voyez il est des amusemens).
Je ne me souviens qu’à peine
Je ne suis né ni roi, ni prince (voyez de tous les Capucins du monde).
Je ne suis pas si diable que je suis noir (voyez charmante Gabrielle).
Je ne suis plus de ces vainqueurs (voyez en deux moitiés, dit-on, le sort).
Je ne veux la mort de personne (voyez vaudeville de Lasthénie).
Je ne veux pas qu’on me prenne pour un petit babillard (voyez tout chacun l’aime et l’admire).
Je ne vous dirai pas j’aime
Je ne vous vois jamais rêveuse
Je regardais Madelinette
Je suis content, je suis joyeux (voyez adieu, je vous fuis, bois charmant).
Je suis du pays des montagnes
Je suis encor dans mon printemps
Je suis heureux en tout, mademoiselle
Je suis joyeux, je suis toujours gaillard, ou en quatre mots je vais vous conter ça (voyez air des cinq voyelles).
Je suis Lindor (voyez vous l’ordonnez, je me ferai connaître).
Je suis Madelon Friquet
Je suis modeste et soumise
Je suis né natif de Férare
Je suis né pour le plaisir, ou dormir est un temps perdu
Je suis simple, née au village
Je suis un chasseur plein d’adresse
Je suis un marchand épicier, ou qui veut entendre une chanson
Je t’aime tant
Je te perds, fugitive espérance
J’étais bon chasseur autrefois (voyez vaudeville de Florian).
J’étais gissant à cette place (voyez vaudeville des deux Chasseurs).
Jetez les yeux sur cette lettre, ou craignez l’erreur qui vous entraîne
Jeune et gentille bergerette
Jeune et novice encore
Jeune fille et jeune garçon, ou la nature
Jeunes amans, cueillez des fleurs
Jeunes beautés, au regard tendre
J’ignore quelle est ma naissance, ou non, votre cœur n’est plus le même
Je vais dîner au veau qui taîte (voyez vaudeville de la Soirée orageuse).
Je verrai donc à chaque instant (voyez Guillot a des yeux complaisans).
Je veux croire qu’en effet (voyez un matin que gros René).
Je viens devant vous (ou la confession)
Je viens devant vous (voyez c’est le gros Thomas).
Je viens pour donner, non pour vendre (voyez air de la romance de Fodor).
Je viens te fair’ mes adieux (voyez vivent les fillettes).
Je vis Lise hier au soir (voyez d’un bouquet de romarin).
Je voudrais bien le deviner (voyez un soir dans la forêt prochaine).
Je voudrais voir à chaque instant (voyez vaudeville de oui ou non).
Je vous comprendrai toujours bien
J’ons un curé patriote
Joseph est bien marié
Jour et nuit, nuit et jour, je pleure (voyez air du carillon de Vendôme).
Jupiter, prête-moi ta foudre
Jupiter un jour en fureur
Jusque dans la moindre chose
L.
La belle Bourbonnaise
La bonne aventure, ô gué, ou dedans mon petit réduit
La bonne chère et le bon vin (voyez air du petit mot pour rire).
La boulangère a des écus
La Bourbonnaise, quitte son pays (voyez air de la Bourbonnaise).
La comédie est une grande salle (voyez contentons-nous d’une simple bouteille).
La comédie est un miroir
La chanson que chantait Lisette (voyez Lise chantait dans la prairie).
La chose ne vaut pas le mot (voyez on se presse toujours trop tôt).
La danse n’est pas ce que j’aime
La douce clarté de l’aurore
La farira dondaine, gai, la farira don dé
La fari dondaine, la fari don don (voyez air de la fari dondaine).
La fête des bonnes gens (voyez l’amitié vive et pure).
La foi que vous m’aviez promise (voyez vaudeville des deux Jumeaux).
La jeune Hortense, au fond d’un verd bocage
La jeune Iris, la fleur de nos campagnes
La loterie est la chance
La lumière la plus pure
La marmote a mal au pied
La nuit, quand je pense à Jeanette
La petite Nanette (voyez vous qui de prêcher la raison).
La plus belle promenade (voyez air de la fanfare de Saint-Cloud).
La reconnaissance (voyez ô ciel ! que lui dire ?)
La résistance est inutile, ou voulant par ses œuvres complètes, ou dans la chambre où naquit Molière
La rose et le bouton d’amourette
La terre autour du soleil tourne
La vertu seule est la lumière
La victoire, en chantant, nous ouvre la barrière
La vie est comme un jardin, ou tout ça passe en même temps
La vie est un voyage
L’amant charmé de l’objet qui l’engage (voyez il faut aimer).
L’amant frivole et volage
L’amitié vive et pure
L’amour a gagné sa cause (voyez vaudeville d’Angélique et Melcour).
L’amour ainsi qu’ la nature (voyez Lise épouse l’beau Gernance).
L’amour aura soin de t’instruire (voyez que ta porte, ô ma tendre amie).
L’amour courait cherchant pratique
L’amour est chose tant jolie
L’amour est de tout âge (voyez vaudeville de la Pupille).
L’amour est un chien de vaurien
L’amour est un dieu volage
L’amour est un enfant trompeur
L’amour galant, c’est mon ouvrage, ou elle m’apporte en mariage
L’amour m’a fait la peinture (voyez air de la romance de Daphné).
Lampons, camarades, lampons
L’an mil sept cent vingt et neuf
Laisse en paix le dieu des combats
L’art à l’amour est favorable (voyez vaudeville du Devin du village).
L’astre de la philosophie
L’astre des nuits dans son paisible éclat (voyez air de la sentinelle).
L’attrait qui fait chérir ces lieux
L’austère philosophie (voyez que chacun de nous se livre).
L’autre jour Blaise m’embrassa (voyez v’là c’ que c’est qu’ d’aller au bois).
L’autre jour j’étais seulette, ou écoutez, j’ vous en conjure
L’autre jour la p’tit’ Isabelle
L’autre jour le bieau Lucas, ou mon p’tit cœur, vous n’ m’aimez guère
L’autre nuit je réfléchissais (voyez air de la croisée).
L’avez-vous vu, mon bien aimé ?
Le bon vieillard de Gaillardbois (voyez un bon vieillard de Gaillardbois).
Le bonheur de Pierrot (voyez vaudeville du Tableau parlant).
Le briquet frappe la pierre
Le cœur à la danse, un rigaudon, zig, zag, don, don (voyez vaudeville du Chaudronnier de Saint-Flour).
Le cœur de mon Annette, ou eh, mais, oui dà
Le cœur que tu m’avais donné
Le comte Ory
Le connais-tu, ma chère Eléonore (voyez triste raison).
Le curé de notre village
Le Czar Iwan qui règne en Moscovie
Le Dieu de la tendresse (voyez vaudeville du Tableau parlant).
Le fleuve de la vie, ou on parle de philosophie
Le grand seigneur, jaloux de ses sultanes, ou tire lire, li, tontaine
Le joli jeu d’amour n’a pas besoin du jour
Le jour, chantant l’amour (voyez allons, allons au bois).
Le jour de Saint Crépin, mon cousin
Le luxe de ce beau danseur
Le maître de cette maison (voyez on dit que le diable est céans).
Le mois de mai vient de paraître
Le myrte au front, le verre en main
Le pauvre temps
Le plaisir couronné de fleurs (voyez vous voulez me faire chanter).
Le point du jour
Le port Mahon est pris, ou chansonniers, mes confrères
Le premier du mois de janvier, ou accompagné de plusieurs autres
Le premier jour qu’on aime (voyez j’avais à peine dix-sept ans).
Le premier pas
Le propre jour de Saint Simon (voyez air du curé de Pomponne).
Le punch et le vin que j’ai pris (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
Le saint, craignant de pécher, ou quand la mer rouge apparut
Le voile odieux (voyez saisir le moment).
L’époux n’est pas long-temps atteint
L’équipage le plus en usage, ou à votre âge fille la plus sage (voyez une fille qui toujours sautille).
Les combats de la jeune Hortense (voyez tout consiste dans la manière).
Les cruels ravages du temps
Les grâces un jour à Cythère
Les hommes perdent la raison (voyez on compterait les diamans).
Les plaisirs volaient sur mes traces
Les talens appellent les graces
Les tours que font messieurs les pages
L’homme n’est pas ce qu’il s’affiche, ou ah ! comme on trompe dans ce monde
L’hymen est un lien charmant, ou air des compagnons de voyage
Librement à tort, à travers, dans mes vers (voyez air du Zéphyr).
Linval aimait Arsène
Lise chantait dans la prairie, ou la chanson que chantait Lisette
Lise demande son portrait (voyez Philis demande son portrait).
Lise, entends-tu l’orage ? ou mon jeune cœur palpite
Lise épouse l’ beau Gernance, ou l’amour ainsi qu’ la nature
Lisette est faite pour Colin (voyez quand je vous ai donné mon cœur).
Lisis avait de la jeunesse
Lison dormait dans un bocage
Lison guettait une fauvette (voyez air de la romance d’Alexis).
Lison voyait deux pigeons se baiser
Loin des grandeurs je vis le jour, ou celui qui fait un choix heureux
Longue est la liste des cocus, ou bon martinum, bon martinus
Lorsque dans une tour obscure
Lorsque Dieu fit Adam, ou croissez, vigne et fillettes joliettes
Lorsque vous verrez un amant
Lubin dit qu’il vous aime
Lubin est d’une figure
Lubin a la préférence (voyez air de la Fustemberg).
L’un de ces jours mes moutons s’égarèrent
L’un est le fils du sentiment, ou tu ne vois pas, jeune imprudent
M.
Ma Cécile est douce et jolie, ou il porte et l’épée et la lyre (voyez Cupidon, las de ses folies).
Ma commère, quand je danse
Ma Doris un jour s’égara
Ma foi, c’est un triste soldat (voyez voulez-vous suivre un bon conseil).
Ma foi, de ce château royal (voyez pomm’ de reinette).
Ma maîtresse pleure un mari (voyez le sommeil fuyant de mes yeux).
Madelaine à bon droit passa
Mais l’homme instruit, j’espère (voyez vaudeville de Buffon).
Malborouck s’en va-t-en guerre (voyez air de Malborouck).
Malgré la bataille (voyez ah ! si j’avais connu monsieur de Catinat).
Malgré moi, le sentiment (voyez sur le bruit de vos talens)
Maman, grondez-moi pour deux fois (voyez vous me grondez, d’un ton sévère).
Maman, mariez-nous
Maman vous a dit dans six ans, ou à mon mari n’apportant rien (voyez lorsque vous verrez un amant).
Marionnettes, joliettes, en avant
Maris jaloux, vous avez tort
M’entendez-vous ? comprenez-vous ? (voyez air de la romance de la forteresse du Danube).
Mes amis, je dois vous le dire (voyez vaudeville des petits savoyards).
Mes beaux jours se sont écoulés
Mes bons amis, voulez-vous m’enseigner, ou nargue de ceux
Mes chers enfans, unissez-vous (voyez vaudeville de l’amour filial).
Mi, mi, fa, ré, mi, chantez, mon petit
Moi d’ même (voyez t’es dans tes atours).
Moi je vais rendre hommage
Moi, qui jadis eut la gloire (voyez air du mirliton).
Mon ami, combien tu t’abuses (voyez vaudeville du prétendu de Gisors).
Mon avis est le vôtre (voyez vaudeville de Buffon).
Mon cher arlequin, dis-moi (voyez air de l’enfantine).
Mon cœur soupire dès l’aurore, ou ah ! dis-moi comment on appelle
Mon Dieu, mon Dieu, comme à c’te fête (voyez bon Dieu, bon Dieu).
Mon galoubet (voyez air du galoubet).
Mon honneur dit que je serais coupable (voyez mon petit cœur à chaque instant soupire).
Mon jeune cœur palpite (voyez Lise, entends-tu l’orage).
Mon maître à danser fait mon bonheur (voyez non je n’aimerai jamais que vous).
Mon père était pot (voyez voulez-vous savoir les on dit).
Mon père, je viens devant vous (voyez air du confiteor).
Mon p’tit cœur, vous n’ m’aimez guères (voyez l’autre jour le bieau Lucas).
Mon petit cœur à chaque instant soupire, ou mon honneur dit que je serais coupable
Monseigneur, vous ne voyez rien (voyez qu’elle est, qu’elle est bien).
Monsieur le curé, ma femme est morte, ou vive un tambourin qui nous réveille.
Monsieur le prévôt des marchands (voyez air du prévôt des marchands).
Monsieur, en vérité, vous avez bien de la bonté (voyez nous autres bons villageois).
Monsieur redouble mes regrets, ou librement à tort à travers (voyez air du zéphyr).
Montrons-nous, ma sœur, tell’s que nous sommes (voyez air de la poule, contredanse).
Muse des jeux et des accords champêtres
N.
Nage toujours, mais n’ t’y fie pas (voyez un cordelier dit à Lisette).
N’allez pas, n’allez pas dans la forêt noire (voyez notre meunier chargé d’argent).
Nargue de ceux (voyez mes bons amis).
N’avoir jamais qu’une pensée
Ne craignez rien, allez, je tiens l’échelle (voyez il n’est pire que l’eau qui dort).
Ne crois plus à mon trépas (voyez traitant l’Amour sans pitié).
Ne donnons jamais à nos femmes
Ne fais pas un crime à mon cœur
Ne v’là-t-il pas que j’aime
Négligent, distrait (voyez non, je n’aimerai jamais que vous).
N’en demandez pas davantage (voyez Colin disait à Lise un jour).
N’est-il, Amour, sous ton empire (voyez quoi, ma voisine, es-tu fâchée).
Non, je n’aimerai jamais que vous, ou mon maître à danser fait mon bonheur, ou négligent, distrait
Non, je ne ferai pas ce qu’on veut que je fasse
Non, non, Doris, ne pense pas
Non, votre cœur n’est plus le même (voyez j’ignore quelle est ma naissance).
Nos plaisirs sont légers, mais ils sont sans alarmes
Not’ demoiselle a dit oui, ou vous m’acceptez pour époux
Not’ marmotte a mal au pied (voyez la marmotte a mal au pied).
Notre meûnier chargé d’argent, ou n’allez pas dans la forêt noire
Notre fortune est faite, ou vous me traitez avec malice (voyez Suzon sortait de son village).
Nous autres, bons villageois, ou monsieur, en vérité
Nous avons une terrasse
Nous avons un clocher chez nous, ou tique, tique, toc, et tin, tin, tin
Nous jouissons dans nos hameaux
Nous n’avons qu’un temps à vivre
Nous nous marîrons dimanche
Nous sommes précepteurs d’amour
O.
Ô ciel ! que lui dire, ou la reconnaissance
O filii et filiæ
Ô Fontenai, qu’embellissent les roses
Ô lit charmant, où ma Myrthé
Ô ma Georgette !
Ô Mahomet, ton paradis des femmes (voyez il faut aimer, c’est la loi de Cythère).
Ô ma tendre musette, ou gentille boulangère
Ô monarque suprême (voyez air du noël de la cour).
Ô toi qui n’eus jamais dû naître
Ô toi qui règnes sur mon ame
Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah ! (voyez quand un tendron vient dans ces lieux).
Oh ! je le tiens (voyez sans être belle, on est aimable).
Oh ! oui, l’homme le plus parfait
On compterait les diamans, ou les hommes perdent la raison, ou vaudeville de l’île des femmes
On dit par-tout le monde
On dit qu’à quinze ans
On dit que je n’ai pas d’esprit
On dit que le diable est céans, ou le maître de cette maison
On doit soixante mille francs, ou c’est ce qui me console
On la relèvera, la rira, du péché de paresse (voyez air du curé de Pomponne).
On m’a demandé souvent
On m’avait vanté la guinguette (voyez vaudeville de Gilles en deuil).
On me cherche, on m’aime, on m’adore
On nous dit qu’ dans le mariage, ou tout comme a fait ma mère
On nous dit que l’premier homme
On parle de philosophie
On peut s’abaisser à surprendre (voyez si l’on pouvait rompre la chaîne).
On peut trouver du plaisir (voyez il est des amusemens).
On se presse toujours trop tôt, ou la chose ne vaut pas le mot
On va lui percer le flanc (voyez r’lan, tan, plan, tire lire).
On vous les mène par le nez (voyez Femme qui chérit la sagesse).
Or écoutez, petits et grands (voyez air des pendus).
Où allez-vous, monsieur l’abbé (voyez vous m’entendez bien).
Où s’en vont ces gais bergers
Où vont tous ces preux chevaliers
Oui, ce Colinet, ou tendre fruit des pleurs de l’aurore
(Les mouvemens de ces deux airs sont bien différens ; voyez Tendre fruit des pleurs de l’aurore).
Oui, je suis soldat, moi (voyez oui, j’aime à boire moi).
Oui, celui-là doit être (voyez air du noël de la cour).
Oui, c’en est fait, je me marie (voyez air du rondeau du Prisonnier).
Oui, j’aime à boire moi, ou oui, je suis soldat, moi
Oui, j’aime les amours, qui toujours
Oui, leur folie est vraiment sans seconde (voyez vaudeville de la Partie carrée).
Oui, noir, mais pas si diable
Oui, si j’admire un instant le parterre, ou ce fut toujours de la simple nature.
P.
Palsambleu, monsieur le curé
Pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan (voyez sur le bruit de vos talens).
Pardonnez, je vous en supplie
Partant pour la Syrie
Par l’objet d’un funeste amour
Par un dimanch’ qui z’était fête (voyez vantez-vous-en]]).
Passez votre chemin, beau sire, ou en revenant de Nivelle
Pauvre Jacques, quand j’étais près de toi
Pauvre petit, il est transi
Père de l’univers, suprême intelligence
Permettez, je vous en supplie
Petits baisers que tu demandes
Petits chagrins de temps en temps
Petits oiseaux, le printemps vient de naître
Peuple français, peuple de frères (voyez air du réveil du peuple).
Philis demande son portrait
Philis, plus avare que tendre (voyez réveillez-vous, belle endormie).
Pierrot, revenant du moulin
Pierrot, sur le bord d’un ruisseau
Place à l’équipage de l’ami Scarron (voyez au clair de la lune).
Plaignez un vieillard éperdu (voyez vous m’ordonnez de la brûler).
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment
Plantons le mai, chantons le mai
Plus matin que l’aurore (voyez dans ma cabane obscure).
Plus on est de fous, plus on rit (voyez des frelons bravant la piqûre).
Point de bruit, ce réduit (voyez air du menuet d’Exaudet).
Point de sévérité pour les amours d’été (voyez vaudeville des Amours d’été).
Point d’humeur contre les belles
Pomm’ de reinette et pomm’ d’appi, ou quand on est mort c’est pour long-temps.
Porte à ta pauvre mère
Pour animer nos chansons (voyez as-tu vu la lune, Jean ?).
Pour bien juger une maîtresse
Pour bien occuper ses loisirs (voyez il a fait un voyage).
Pour donner la paix à la terre, ou après de pénibles combats
Pour étourdir le chagrin (voyez air du branle sans fin).
Pour héritage, ou quand une belle
Pour la baronne (voyez air de la baronne).
Pour les friands, pour les gourmands (voyez vaudeville d’Arlequin Cruello).
Pour mettre fin à ma tristesse (voyez une lumière vive et pure).
Pour mieux te prouver mon amour (voyez air de la romance de Gulnare).
Pour obtenir celle qu’il aime
Pour que l’hymen m’engage
Pour rendre son hôtellerie
Pour un maudit péché (voyez air de Tarare Pompon).
Pour une fois c’ n’est pas la peine, ou c’est son lan la landerirette
Pour vous faire entrer en ménage (voyez air de la catacoua).
Pourquoi ces détours superflus
Pourquoi cet air sévère ?
Pourquoi faut-il ici bas que la peine
Pourquoi rompre leur mariage (voyez air de la romance d’Alexis).
Pourquoi vouloir qu’une personne chante
Pourriez-vous bien douter encore
Prenez pitié d’un pauvre malheureux
Prenons d’abord l’air bien méchant
Prêt à partir pour la rive africaine
Puisque l’objet de vos regrets, ou j’aimais sur-tout à la maison
Q.
Quand Biron voulut danser
Quand des ans la fleur printanière (voyez air du pas des trois Cousines).
Quand j’entends messieurs les amans
Quand j’entends un homme sensé
Quand je réfléchis à mon sort (voyez c’est un agréable jardin).
Quand je suis avec mes amis (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
Quand je suis soûl dès le matin
Quand je vous ai donné mon cœur, ou Lisette est faite pour Colin
Quand l’amitié devint amour (voyez air des Triolets).
Quand l’Amour naquit à Cythère
Quand la mer rouge apparut (voyez le saint craignant de pécher).
Quand le bien aimé reviendra
Quand l’hirondelle
Quand nos joyeux verres (voyez repas en voyage).
Quand nous portons au patron de not’ village
Quand on est deux et quand on s’aime (voyez je le compare avec Louis).
Quand on est mort, c’est pour long-temps (voyez pomm’ de reinette).
Quand on sait aimer et plaire
Quand on va boire à l’écu (voyez air de la fricassée).
Quand toi s’en va de la case
Quand un tendron vient dans ces lieux, ou oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah !
Quand une belle (voyez pour héritage).
Quand vous jugez que je ne suis pas belle (voyez au temps passé).
Que chacun de nous se livre
Que d’établissemens nouveaux
Que j’aime à voir les hirondelles
Que j’aime à voir un corbillard (voyez air du pas redoublé).
Que je dois de reconnaissance
Que le jour me dure
Que le sultan Saladin
Que l’on goûte ici de plaisirs (voyez ne v’là-t-il pas que j’aime).
Que n’avons-nous la verve heureuse (voyez j’aime ce mot de gentillesse).
Que ne suis-je la fougère, ou d’une amante abandonnée
Que Pantin serait content
Que ta porte, ô ma tendre amie, ou c’est à mon maître en l’art de plaire
Quel désespoir !
Quel spectacle s’offre à mes yeux (voyez nous sommes précepteurs d’amour).
Qu’elle est, qu’elle est bien
Quels accens, quels transports
Qu’en voulez-vous dire ? qu’en voulez-vous dire ?
Qui par fortune trouvera
Qui trouve au bois belle endormie (voyez du serin qui te fait envie).
Qui veut entendre une chanson (voyez je suis un marchand épicier).
Qui veut savoir l’histoire entière
Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il tonne (voyez à boire, à boire, à boire).
Qu’il tarde à ma tendresse
Quinze ans, ma vielle et l’espérance, ou aux montagnes de la Savoie
Quinze ans, Thémire, oh ! le bel âge (voyez des simples jeux de son enfance).
Quoi, ma voisine, es-tu fâchée (voyez air de la romance d’Alexis).
Quoi, sur toi, père insensible (voyez Ah ! cessez, cessez, mon père).
Quoi, vous voulez que le hasard
Quoiqu’un docteur censure vinum (voyez gaîment je m’accommode de tout).
Qu’un jour ce temple nouveau
Qu’un poète souvent guette
R.
Ran, tan, plan, tire-lire, ou on va lui percer le flanc
Rassurez-vous, mon cher Voltaire (voyez air du vaudeville du jaloux malade).
Reçois dans ton galetas, ou enfin, v’là donc qu’est bâclé
Regard vif et joli maintien (voyez air de la parole).
Reine des fleurs, charmante rose
R’lir, r’lan, r’lan tan plan, tambour battant (voyez r’lan tan plan).
Rendez-moi mon écuelle de bois
Repas en voyage, ou quand nos joyeux verres
Reposez-vous, bon chevalier
Résiste-moi, belle Aspasie
Respectez les maux, les ennuis
Reste encore un moment
Réveillez-vous, belle endormie, ou Philis, plus avare que tendre
Rien n’était si joli qu’Adèle, ou amusez-vous, trémoussez-vous
Rien, tendre Amour, ne résiste à tes armes
Rions, chantons, aimons, buvons, ou songez donc que vous êtes vieux
Rire sans cesse est ma folie (voyez air du Cabaret).
R’lan tan, plan, tambour battant
Robin, turelure
Roulant ma brouette, ou place à l’équipage (voyez au clair de la lune).
Ruisseau charmant, du gazon de tes rives, ou séjour affreux de tristesse et d’alarmes
S.
Sachez qu’au village j’ons de la vartu
Sa demeure villageoise
Saisir le moment, ou le voile odieux
Salut, ô divine espérance
Sans cesse à la ville, à la cour
Sans compliment
Sans être belle on est aimable, ou oh ! je te tiens
Sans le savoir, ou il était temps
Sans plaisir et sans espérance
Sans un petit brin d’amour
Sautez donc, sautez donc, sautez donc, ou vaudeville des Sabotiers béarnais (voyez air de la ronde de la Ferme et le Château).
Savez-vous l’histoire advenue (voyez air de la fricassée).
Séjour affreux de tristesse et d’alarmes (voyez ruisseau charmant du gazon de tes rives).
Sentir avec ardeur
Servantes, quittez vos paniers
Servir la beauté, l’innocence (voyez je regardais Madelinette).
Si de votre vie, joyeux troubadours, ou voilà la manière de vivre cent ans
Si des galans de la ville
Si Dorilas médit des femmes
Si jamais je fais un ami
Si j’avais autant d’écus (voyez turlurette, ma tan turlurette).
Si j’en savons ? mais voir’ment, ou vous voyez en moi, mon cœur
Si le roi m’avait donné, ou dedans mon petit réduit (voyez la bonne aventure ô gué).
Si l’on pouvait rompre la chaîne, ou on peut s’abaisser à surprendre
Si Pauline est dans l’indigence (voyez il faut quitter ce que j’adore).
Si tu crois, pour charmer un cœur
Si tu veux un ami véritable, ou cette danse est ici la folie (voyez ainsi jadis un grand prophète).
Si votre sommeil est troublé (voyez un jour le malheureux Lisandre).
Si vous voulez être discret (voyez connaissez-vous l’amiral Anson).
Si vous aimez la danse (voyez air du camp de Grand-Pré).
S’il a, comme le bon Henri (voyez toujours seule, disait Nina).
S’il est vrai que d’être deux
Soir et matin je chante (voyez en revenant d’Auvergna).
Soir et matin sur la fougère (voyez Guillot un jour trouva Lisette).
Sombre bois où sa tendresse
Sommeil a fui mon humide paupière
Songez donc que vous êtes vieux (voyez rions, chantons, aimons, buvons)
Soumis au silence
Sous des lambris où l’or éclate
Sous le nom de l’amitié
Sous un saule dans la prairie, ou en jupon court, en blanc corset
Souvenez-vous-en (voyez j’ai rêvé toute la nuit).
Souvent la nuit quand je sommeille
Soyons à l’ouvrage (voyez repas en voyage).
Sur le bruit de vos talens, ou pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan
Sur le déclin de l’âge
Sur l’ port avec Manon z’un jour, ou aisément cela se peut croire
Sur son sopha, dans son boudoir (voyez tout est charmant chez Aspasie).
Sur tout on a fait des chansons (voyez air de la paille).
Sur une écorce légère
Sus, amis, qu’on se réveille (voyez il faut que l’on file, file).
Suzon sortait de son village, ou notre fortune est faite
Sylvie, à l’âge de quinze ans
T.
Tandis que tout sommeille
Tant que l’homme désirera (voyez air du curé de Pomponne).
Te bien aimer, ô ma chère Zélie
Tendre fruit des pleurs de l’aurore
(Voyez pour l’air primitif de ces paroles : Oui, ce Colinet).
Tenez, moi je suis un bon homme
Tenez, monsieur Joconde
T’es dans tes atours, moi d’même
Tique, tique, toc et tin, tin, tin (voyez nous avons un clocher chez nous).
Tire, lire, li, tontaine (voyez le grand seigneur, jaloux de ses sultans).
Toi dont l’amour m’est plus cher que la vie
Ton humeur est, Catherine
Tôt, tôt carabot, compère Guilleri, ou il était un p’tit homme
Tôt, tôt, tôt, battez chaud, bon courage (voyez vaudeville du Maréchal ferrant).
Touchez-là, vous n’aurez pas ma fille (voyez un chevalier, deux chevaliers).
Toujours, toujours, il est toujours le même
Toujours de bout, toujours en route
Toujours de trinquer avec nous (voyez amis, dépouillons nos pommiers).
Toujours seule, disait Nina, ou s’il a, comme le bon Henri
Tous les bourgeois de Châtres
Tous les jours au fond de mon cœur
Tout ça passe en même temps (voyez la vie est comme un jardin).
Tout chacun l’aime et l’admire, ou je ne veux pas qu’on me prenne pour un petit babillard
Tout comme a fait ma mère (voyez on nous dit qu’dans le mariage).
Tout consiste dans la manière
Tout est charmant chez Aspasie, ou, sur son Sopha, dans son boudoir
Tout le long, le long, le long de la rivière (voyez connaissez-vous l’amiral Anson).
Tout roule aujourd’hui dans le monde
Traitant l’amour sans pitié, ou un lien triste et bourgeois
Travaillez, travaillez, bon tonnelier (voyez un tonnelier vieux et jaloux).
Triste raison, j’abjure ton empire, ou le connais-tu, ma chère Éléonore
Trop de pétulence gâte tout (voyez vaudeville du Bûcheron).
Trouver le bonheur en famille (voyez vaudeville de l’île des femmes).
Trouverez-vous un parlement
Tu croyais, en aimant Colette
Tu disais que tu m’aimais
Tu n’auras pas, p’tit polisson
Tu ne vois pas, jeune imprudent (voyez l’un est le fils du sentiment).
Turlurette, ma tan turlurette, ou si j’avais autant d’écus
U.
Un ancien proverbe nous dit
Un bandeau couvre les yeux
Un beau troubadour béarnais (voyez air de la romance d’Héléna).
Un bon vieillard de Gaillardbois
Un bienfait n’est jamais perdu (voyez un pauvre petit Savoyard).
Un chanoine de l’Auxerrois, ou le punch et le vin que j’ai pris
Un chevalier, deux chevaliers, ou touchez-là, vous n’aurez pas ma fille
Un cordelier dit a Lisette, ou nage toujours, mais n’ty fie pas
Un, deux, trois, quatre, cinq, six (voyez un bandeau couvre les yeux).
Un esprit présent est un présent de la nature (voyez vaudeville de Colalto).
Un homme pour faire un tableau
Un ingrat m’abandonne
Un jeune enfant, un casque en main. (voyez air de Bélisaire).
Un jeune troubadour
Un jour dans le bocage, air languedocien
Un jour dans un verd bocage
Un jour d’autres héros que moi (voyez vaudeville de Oui ou non).
Un jour de cet automne
Un jour Guillot trouva Lisette (voyez Guillot un jour trouva Lisette).
Un jour il est agriculteur, ou c’est le meilleur homme du monde (voyez air de la fuite en Égypte).
Un jour le malheureux Lisandre
Un jour Lisette allait au champ, ou faut pas heurter
Un jour Lucas dans la prairie, ou ça n’se peut pas
Un jour, me demandait Hortense
Un jour, sur la fougère (voyez ô ma tendre musette).
Un lien triste et bourgeois (voyez traitant l’amour sans pitié).
Un matin, brusquement
Un matin que Gros-René, ou je veux croire qu’en effet
Un militaire doit avoir trompette et tambour
(Voyez, pour l’autre partie : Dans le cœur d’une cruelle).
Un motif plus puissant, je pense
Un page aimait la jeune Adèle
Un papillon des plus brillans
Un pauvre petit Savoyard, ou un bienfait n’est jamais perdu
Un rigaudon, zig, zag, don, don (voyez air de la ronde du rival confident).
Un soir, dans la forêt prochaine, ou je voudrais bien le deviner
Un soir l’Amour, d’un air timide
Un soir revenait Cadet (voyez la bonne aventure ô gué).
Un soldat, par un coup funeste, ou vive Henri
Un songe heureux, à mon ame attendrie
Un sot qui veut faire l’habile
Un tonnelier vieux et jaloux, ou travaillez, travaillez, bon tonnelier
Un troubadour béarnais (voyez air du troubadour béarnais).
Une femme fait peste et rage (voyez tout est charmant chez Aspasie).
Une fièvre brûlante (voyez dans une tour obscure).
Une fille est un oiseau
Une fille qui toujours sautille, ou à votre âge, fille la plus sage
Une jeune bergère, les yeux baignés de pleurs
Une lumière vive et pure, ou pour mettre fin à ma tristesse
Une mauvaise tragédie
Une petite fillette, qui n’avait pas plus d’ quinze ans
Une vieille qui roupille (voyez air des trembleurs).
V.
Va-t-en voir s’ils viennent, Jean
Veillons au salut de l’empire (voyez vous qui d’amoureuse aventure).
Venez chanter et rire (voyez vaudeville de Scarron).
Venez, peuple chrétien (voyez air du cantique de St.-Hubert).
Venez, venez dans ma chaumière
Venez, venez dans mon parterre
Venez, venez vous rendre, ou approchez-vous sans crainte
Vent brûlant d’Arabie, ou ce crayon trop fragile
Vermeille rose
Vers le temple de l’Hymen
Versez donc, mes amis, versez (voyez voulez-vous suivre un bon conseil).
Versez, versez toujours (voyez ça n’ dur’ra pas toujours).
Versons, versons à grands flots (voyez la marmotte a mal au pied).
Versons le vin, renversons les fillettes (voyez amis, il est temps qu’on publie).
Viendras-tu pas, toi que mon cœur adore ?
Viens ça, ma chère
Viens dans mes bras, ma charmante Créole
Vive Henri (voyez un soldat, par un coup funeste).
Vive Henri quatre, ou j’aimons les filles
Vive le vin ! vive l’amour !
Vive un bon luron (voyez la farira dondaine, gué).
Vive un tambourin qui nous réveille (voyez monsieur le curé, ma femme est morte).
Vivent les fillettes !
Vivent les noces pour danser
Vivre loin de ses amours (voyez s’il est vrai que d’être deux).
Voici les dragons qui viennent
V’là c’ que c’est qu’ d’aller au bois, ou v’là c’ que c’est qu’ d’avoir un cœur, ou v’là c’ que c’est que l’ carnaval
Voilà bien ces lâches mortels
Voilà bien le mot ordinaire (voyez vaudeville de l’Avare).
Voilà la manière de vivre cent ans (voyez si de votre vie).
Voilà ce sauvage (voyez repas en voyage).
Voilà mon cousin l’Allure (voyez le jour de saint Crépin).
Voilà, voilà la petite laitière
Vois-tu ces coteaux se noircir
Votre pavillon m’enchante (voyez jamais je n’oublierai).
Votre souhait sera comblé (voyez un jour le malheureux Lisandre).
Votre zèle me flatte
Voulant, par ses œuvres complètes (voyez la résistance est inutile).
Voulez-vous, charmante Azélie (voyez vaudeville des petits Montagnards).
Voulez-vous être heureux amant
Voulez-vous savoir les on dit, ou mon père était pot
Voulez-vous savoir l’histoire
Voulez-vous suivre un bon conseil, ou versez donc, mes amis, versez
Vous autres, jeunes fillettes
Vous avez vu dans cette enceinte
Vous baiserez ma tante
Vous comprenez bien, vous m’entendez bien
Vous l’ordonnez, je me ferai connaître (air de Dezaides)
——— air de Paësiello
Vous m’acceptez pour époux (voyez not’ demoiselle a dit oui).
Vous me grondez d’un ton sévère, ou maman, grondez-moi pour deux fois
Vous me plaignez, ma tendre amie
Vous me traitez avec malice, ou notre fortune est faite (voyez Suzon sortait de son village).
Vous m’entendez bien (où allez-vous, monsieur l’abbé ?)
Vous m’ordonnez de la brûler
Vous n’êtes pas très-empressé (voyez le vaudeville du petit Jokai).
Vous qui cherchez de bonnes gens, ou de cette agréable maison
Vous qui d’amoureuse aventure, ou veillons au salut de l’Empire
Vous qui de l’amoureuse ivresse (voyez air de la romance d’Alexis).
Vous qui, de prêcher la raison
Vous qui du vulgaire stupide, ou vaudeville d’Épicure
Vous qui souffrez du mal d’amour
Vous reviendrez voir la fermière (voyez vaudeville de la Belle fermière).
Vous voulez me faire chanter
Vous voyez bien ce bouquet-ci (voyez air de Joconde).
Vous voyez bien qu’il est pour vous (voyez c’est à mon maître en l’art de plaire).
Vous voyez en moi, mon cœur (voyez si j’en savons ? mais voir’ment).
Voyez dans les champs d’alentour
Y a d’ l’oignon
Zéphyr d’un soupir (voyez air de Zéphyr).