TABLE ALPHABÉTIQUE
DES AIRS CONTENUS DANS CE RECUEIL,

et qui sont indiqués par le premier vers de la chanson ou du couplet
qui leur a donné lieu.

A.

À boire ! à boire ! à boire 
À boire je passe ma vie (voyez air du cabaret).
À dix-sept ans la pauvre Coralie 
 2
À la façon de Barbari, mon ami (voyez air de la faridondaine).
À l’eau, à l’eau ! (voyez air du porteur d’eau).
À la papa 
 3
À la ville comme aux champs (voyez nous autres bon villageois).
À l’instant même tu peux (voyez des femmes plus d’un censeur).
À l’ombre d’un vieux chêne (voyez air de la romance de la forteresse du Danube).
À moins que dans ce monastère (voyez vaudeville des Visitandines).
À mon mari n’apportant rien (voyez maman vous a dit dans six mois).
À Paris, et loin de sa mère 
 4
À peine au sortir de l’enfance (voyez air de la romance de Joseph).
À pied comme à cheval (voyez air de la marche du roi de Prusse).
À tort on reproche aux buveurs 
 5
À Venise jeune fillette (voyez air du gondolier vénitien).
À votre âge fille la plus sage, ou l’équipage le plus en usage (voyez une fille qui toujours sautille).
À voyager passant sa vie 
 6
Accompagné de plusieurs autres (voyez le premier du mois de janvier).
Adieu donc, dame Françoise 
 7
Adieu, je vous fuis, bois charmant 
 8
Adieu, mes chères pénitentes (voyez vaudeville des Visitandines).
Adieu, panier, vendanges sont faites 
 9
Âge d’Astrée, ô temps heureux (voyez air de la romance de Florian).
Ah ! Ah ! monsieur le magister 
 10
Ah ! cessez, cessez, mon père, ou quoi sur toi père insensible 
 11
Ah ! comme on trompe dans ce monde (voyez l’homme n’est pas ce qu’il s’affiche).
Ah ! de quel souvenir affreux, ou daignez m’épargner le reste 
 12
Ah ! dis-moi comment on appelle (voyez mon cœur soupire dès l’aurore).
Ah ! il n’est point de fête quand le cœur n’en est pas (voyez vaudeville d’Annette et Lubin).
Ah ! il m’en souviendra, la rira (voyez air du curé de Pomponne).
Ah ! le bel oiseau, vraiment 
 13
Ah ! ma fille, que faites-vous (voyez air de la découpure).
Ah ! Madelon, qu’avez-vous dont 
 14
Ah ! maman, que je l’échappai belle 
 15
Ah ! mon cher oncle, en conscience (voyez à Paris et loin de sa mère).
Ah ! monseigneur ! ah ! monseigneur, ou de la p’tit’ poste de Paris 
 16
Ah ! pour l’amant le plus discret 
 17
Ah ! que de chagrins dans la vie ! 
 20
Ah ! que je sens d’impatience, ou voyage qui voudra. 
 19
Ah ! quel funeste destin (voyez ce n’est que pour Madelon).
Ah ! quel plaisir d’aimer Lucas 
 18
Ah ! quelle gêne, quel tourment 
 21
Ah ! qu’il est doux de vendanger (voyez ah ! quel plaisir d’aimer Lucas).
Ah ! si j’avais connu monsieur de Catinat ou malgré la bataille 
 22
Ah ! s’il est dans votre village 
 23
Ah ! voilà la vie, la vie suivie 
 24
Ah ! vous dirai-je, maman 
 25
Aimé de la belle Ninon (voyez vaudeville des deux veuves).
Ainsi jadis un grand prophète, ou cet arbre apporté de Provence 
 26
Ainsi jadis à Télémaque 
 27
Ainsi jadis d’un ménestrel 
 28
Aisément cela se peut croire (voyez sur l’port avec manon z’un jour).
Alexis depuis deux ans 
 29
Allez-vous-en, gens de la noce 
 30
Allons, enfans de la patrie 
 31
Allons, allons au bois, ou le jour chantant l’amour (voyez air de la chasse du roi et le fermier).
Allons danser sous ces ormeaux 
 32
Allons donc, mademoiselle, ou c’est la petite Thérèse 
 33
Allons tous rendre hommage (voyez moi je vais rendre hommage).
Alors dans la Provence (voyez air de la romance d’Aline).
Ami, ton âge t’autorise (voyez il est mal que l’amour attache).
Amis, il est temps qu’on publie, ou versons le vin, renversons les fillettes. 
 34
Amis, dépouillons nos pommiers 
 35
Amour, commence le tableau 
 36
Amour et rose 
 37
Amusez-vous, jeunes fillettes 
 38
Amusez-vous, trémoussez-vous (voyez rien n’était si joli qu’Adèle).
Ange des nuits, viens de tes voiles sombres (voyez romance de Délia et Verdikan).
Annette à l’âge de quinze ans 
 39
Après de pénibles combats (voyez pour donner la paix à la terre).
Après la chute des tyrans (voyez air de la pauvre femme).
Après ma mort vous pleurerez, j’en jure (voyez pourquoi vouloir).
Après trente ans d’obéissance (voyez chantons le dieu de la vendange).
Approchez-vous, et que chacun écoute (voyez air du cantique de St.-Roch).
Approchez-vous sans crainte (voyez venez, venez-vous rendre).
Arrivez donc, monsieur, le temps s’écoule 
 40
Arroncevaux (mieux dit à Ronceveaux) de Guillaume Tell 
 41
As-tu vu la lune, Jean ? 
 42
Attends quelques instans, ou l’agniel qué m’as dounat (air Languedocien) 
 43
Au bas d’un fertile coteau (voyez j’étais bon chasseur autrefois).
Au bord d’un clair ruisseau 
 44
Au bord d’une fontaine, ou félicité passée 
 45
Au clair de la lune 
 46
Au coin du feu 
 47
Au fond d’un bois sous la coudrette (voyez dans une forêt des Ardennes).
Au temps passé, ou quand vous jugez que je ne suis pas belle 
 48
Au temps jadis un chevalier 
 49
Aussitôt que la lumière 
 50
Aussitôt que je t’aperçois 
 51
Au soin que je prends de ma gloire (voyez vaudeville d’arlequin Muzard).
Aux accords enchanteurs du fifre et du tambour (voyez air du fifre et du tambour).
Aux montagnes de la Savoie (voyez quinze ans, ma vielle et l’espérance).
Avale, avale, avale 
 52
Avec Iseulte et les amours (voyez air des Triolets).
Avec les jeux dans le village 
 53
Avec vous sous le même toit 
 54
Avez-vous connu Jeanette, avez-vous connu Jeanot 
 55
Avoir dans sa cave profonde 
 56

B.

Babet m’a su charmer, ou Babet, que t’es gentille ! 
 57
Belle au galant mystère (voyez vaudeville de la belle Marie).
Berce, berce, bonne grand’mère (voyez air de la berceuse).
Besoin d’aimer 
 58
Bocage, que l’aurore 
 59
Boire à son tire-lire-lire 
 60
Bon, bon, mariez-nous (voyez maman, mariez-nous).
Bon dieu, bon dieu, comme à c’te fête 
 61
Bon voyage, cher Dumolet (voyez vaudeville du départ pour Saint-Malo).
Bonjour, la voisine 
 62
Bonjour, mon ami Vincent 
 63
Bonsoir, ma belle et douce amie 
 65
Bonsoir jusqu’au revoir, jusqu’au revoir bonsoir 
 66
Bonsoir la compagnie (voyez j’aurai bientôt quatre-vingts ans).
Bouton de rose 
 64
Buvons à tire la rigo (voyez mon père était pot, ou voulez-vous savoir les on dit).

C.

Caché sous les habits d’un esclave africain 
 67
Cadet Roussel est bon enfant (voyez air de Cadet Roussel).
Ça fait, ça fait toujours plaisir (voyez c’est la fille à ma tante).
Ça n’ devait pas finir comm’ ça 
 68
Ça n’ dur’ra pas toujours, ou chantons l’œtamini 
 69
Ça n’ se peut pas (voyez un jour Lucas dans la prairie).
Ce boudoir est mon parnasse (voyez vaudeville du Mameluck).
Ce cher objet sommeille encore (voyez vous me grondez d’un ton sévère).
Ce cher enfant sur mes genoux 
 70
Ce crayon trop fragile (voyez vent brûlant d’Arabie).
Ce fut au temps de la moisson (voyez air de la moisson).
Ce fut par la faute du sort 
 71
Ce fut toujours de la simple nature (voyez oui si j’admire un moment le parterre).
Ce fut un dimanche au soir 
 72
Ce jeune homme, depuis deux ans, ou et c’est toujours la même chose 
 75
Ce lieu charmant est un abîme immense 
 73
Ce magistrat irréprochable 
 76
Ce mot sévère (voyez air du Fandango).
Ce mouchoir, belle Raimonde 
 74
Ce n’est que pour Madelon, ou ah ! quel funeste destin 
 77
Ce que je vois ici de mieux à faire (voyez air de la walse du pauvre diable).
Celui qui fait un choix heureux (voyez loin des grandeurs je vis le jour).
Celui dont vous charmiez la vie (voyez air du pot de fleurs).
Ces postillions sont d’une mal-adresse (voyez dès mon printemps, naïve et confiante).
C’est à mon maître en l’art de plaire (voyez que ta porte, ô ma tendre amie).
C’est aussi comm’ ça que pense vot’ p’tit sarviteur 
 79
C’est bien le plus joli corsage 
 80
C’est ce qui me désole (voyez on doit soixante mille francs).
C’est donc demain (voyez viens dans mes bras, mon aimable créole).
C’est du nouveau qu’on donne (voyez air du lendemain).
C’est du Volney le plus exquis (voyez de tous les dîners le meilleur).
C’est Geneviève dont le nom (voyez air du petit mot pour rire).
C’est la fille à Simonnette 
 78
C’est la fille à ma tante, ou ça fait, ça fait toujours plaisir 
 82
C’est la petite Thérèse (voyez allons donc, mademoiselle).
C’est le gros Thomas 
 83
C’est le meilleur homme du monde (voyez air de la fuite en Égypte).
C’est le roi Dagobert (voyez du bon roi Dagobert).
C’est lorsque nous avons mis le cerf aux abois 
 84
C’est par les yeux que tout s’exprime (voyez air des cinq sens).
C’est pour toi que je les arrange 
 81
C’est son mirliton, mirliton, mirlitaine (voyez air du mirliton).
C’est téméraire, c’est imprudent (voyez vaudeville de la matrone d’Éphèse).
C’est un agréable jardin, ou quand je réfléchis à mon sort 
 85
C’est un enfant (voyez vaudeville du Devin du village).
C’est un petit satellite, ou vaudeville de Lantara 
 86
C’est un propos, c’est un regard 
 87
C’est un sorcier (voyez vaudeville du sorcier).
C’est un’ bagatelle 
 88
Cet arbre apporté de Provence (voyez ainsi jadis un grand prophète).
Cet étang, qui s’étend (voyez air du menuet d’Exaudet).
Cette danse est ici la folie, ou si tu veux un ami véritable, (voyez ainsi jadis un grand prophète).
Chacun avec moi l’avoûra 
 89
Chacun de son côté (voyez vaudeville des fiancés).
Changez-moi cette tête (voyez air de la folle).
Chansonniers, mes confrères (voyez le port Mahon est pris).
Chansons, chansons, ou air des Revenans 
 90
Chantez, dansez, amusez-vous (voyez le vaudeville de la Rosière).
Chantez les charmes du mystère (voyez air du fifre et le tambour).
Chantons, buvons, ce n’est qu’ici (voyez Eh ! gai, gai, gai, mon officier).
Chantons l’hymen, chantons l’amour (voyez vaudeville de Blaise et Babet).
Chantons l’œtamini (voyez ça n’ dur’ra pas toujours).
Chantons la capucine, ou flon, flon, flon, la rira dondaine 
 91
Chantons le dieu de la vendange, ou après trente ans d’obéissance 
 92
Chantons les matines de Cythère 
 93
Chaque nuit mon ame abusée 
 94
Charmante Gabrielle 
 95
Ciel ! l’univers va-t-il donc se dissoudre ? 
 96
Claire est espiègle, et cependant 
 97
Clitie est laide à faire peur (voyez vaudeville d’Arlequin afficheur).
Cocu, cocu, mon père, (voyez air du carillon de Dunkerque).
Cœurs sensibles, cœurs fidèles 
 98
Colin disait à Lise un jour, ou n’en demandez pas davantage 
 99
Colinette au bois s’en alla 
 100
Comme v’là qu’est fait ! 
 101
Comme je suis frais et dispos (voyez vaudeville de la Soirée orageuse).
Comme le vin rajeunit la vieillesse (voyez air de la walse du pauvre diable).
Comme j’aime mon Hypolyte (voyez fuyant et la ville et la cour).
Comme faisaient nos pères (voyez j’ commençons à m’apercevoir).
Comme faisait maîtresse (voyez un motif plus puissant je pense).
Comme Tancrède, pour devise 
 102
Comment goûter quelque repos 
 103
Connaissez-vous l’amiral Anson, ou tout le long, le long, le long de la rivière 
 140
Conservez bien la paix du cœur 
 106
Consolez-vous avec les autres, ou je n’ai trouvé que des ingrats 
 107
Contentons-nous d’une simple bouteille, ou la comédie est une grande salle 
 105
Contre les chagrins de la vie, ou air de la pipe de tabac 
 108
Courez vite, prenez le patron 
 109
Courons de la brune à la blonde 
 110
Craignez l’erreur qui vous entraîne (voyez jetez les yeux sur cette lettre).
Croissez, vigne et fillettes joliettes (voyez lorsque Dieu fit Adam).
Croyez-moi, buvons à longs traits 
 111
Cupidon, las de ses folies (voyez air du mariage de l’amour).

D.

Daigne écouter l’amant fidèle et tendre 
 112
Daignez m’épargner le reste (voyez ah ! de quel souvenir affreux).
D’aimer jamais si je fais la folie (voyez je suis Lindor).
Dans ce sallon où du Poussin (voyez j’étais bon chasseur autrefois).
Dans cet heureux asile. 
 126
Dans cette belle contrée (voyez air de la romance de Daphné).
Dans la chambre où naquit Molière (voyez la résistance est inutile).
Dans la paix, et l’innocence ou eh ! ma mère, est-c’ que j’ sais ça ? 
 113
Dans l’âge d’or, tendre ami, douce amie 
 164
Dans la vigne à Claudine 
 116
Dans l’asile de l’innocence 
 114
Dans le bosquet, l’autre matin 
 115
Dans le cœur d’une cruelle 
 117
Dans les champs de la victoire, ou et qu’est’c’ qu’ça m’ fait à moi 
 119
Dans les gardes françaises 
 120
Dans l’île de Cythère (voyez dans ma cabane obscure).
Dans ma cabane obscure 
 118
Dans ma chaumière (air de Dalayrac) 
 121
——— Air de Doche 
 122
Dans ma jeunesse 
 123
Dans ma paisible retraite 
 125
Dans nos hameaux, la paix et l’innocence 
 124
Dans un bois solitaire et sombre 
 127
Dans un verger Colinette 
 131
Dans une forêt des Ardennes, ou au fond d’un bois, sous la coudrette 
 415
Dans une tour obscure, ou une fièvre brûlante 
 129
Dansons la Capucine (voyez chantons la Capucine).
De Bacchus la veine est glacée (voyez de tous les Capucins du monde).
De ce linge que je repasse 
 130
De ce vin, le venin (voyez air du menuet d’Exaudet).
De cette agréable maison 
 128
De Jean-Jacques prenons le ton (voyez chantez, dansez, amusez-vous).
De m’être perdu sur ma route 
 133
De mon berger volage 
 134
De nos moutons, le nombre augmente 
 135
De sommeiller encor, ma chère 
 136
De ta main tu cueilles le fruit 
 132
De tous les Capucins du monde 
 137
De tous les dîners, le meilleur, ou c’est du Volney le plus exquis 
 138
De vos bontés, de son amour 
 139
De votre bonté généreuse 
 439
Décacheter sur ma porte 
 140
Dedans Paris il est venu 
 141
Dedans mon petit réduit (voyez air de la bonne aventure).
D’ l’instant qu’on nous mit en ménage 
 142
Déjà dans la plaine 
 143
Demain, au retour de l’aurore (voyez en ces lieux à peine arrivée).
Depuis le jour où son courage (voyez romance du Calife).
Depuis long-temps je me suis aperçu 
 144
Depuis long-temps j’ai trois mots à vous dire 
 145
Depuis trois ans nous faisons l’exercice (voyez contentons-nous d’une simple bouteille).
Des bergères du hameau 
 146
Des femmes plus d’un censeur, ou à l’instant même tu peux 
 147
Des frelons bravant la piqûre, ou plus on est de fous, plus on rit 
 150
Des propos de ruelle (voyez charmante Gabrielle).
Des troubadours mon ame éprise 
 149
Des simples jeux de son enfance 
 148
Dès mon printemps, naïve et confiante (voyez vaudeville des fiancés).
Dès qu’on y pense, dès qu’on y touche (voyez je brûle de voir ce château).
Dessous mon menton, je vous en prie, (voyez je crois ben que si je voulions plaire).
Deux enfans s’aimaient d’amour tendre 
 151
Deux jeunes gens s’aimaient d’amour 
 153
Dieu de la molesse (voyez eh ! quoi, tout sommeille).
Diga, Jeanetto 
 152
Dorilas contre moi des femmes (voyez si Dorilas médit des femmes).
Dormir est un temps perdu (voyez je suis né pour le plaisir).
Dors, mon enfans, clos ta paupière 
 154
Du bon roi Dagobert 
 209
Du haut en bas 
 155
Du partage de la richesse 
 157
Du rivage de Vaucluse 
 158
Du serin qui te fait envie 
 156
Du temple heureux de Cythère 
 159
Du Vaudeville, afficheur ordinaire, ou je suis Carmélite, moi 
 160
D’un bouquet de romarin, ou je vis Lise hier au soir 
 161
D’un époux chéri, la tendresse 
 208
D’un époux il faudra tenir (voyez vaudeville d’Abuzard).
D’un mensonge très-innocent 
 166
D’un’ meûnièr’ qui fait trop la fière (voyez air de la romance de la queue du diable).
D’une abeille toujours chérie 
 162
D’une amante abandonnée (voyez que ne suis-je la fougère).

E.

Écoutez la prière d’un jeune voyageur 
 165
Écoutez l’aventure d’un pauvre villageois 
 166
Eh ! bon, bon, bon, que le vin est bon (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
Eh ! gai, gai, gai, mon officier, ou chantons, buvons, ce n’est qu’ici 
 167
Eh ! lon, lan, la, landerirette (voyez air de Landerirette).
Eh ! ma mère, est c’que j’ sais ça ? (voyez dans la paix et l’innocence).
Eh ! mais, oui dà (voyez le cœur de mon Annette).
Eh ! qu’est-c’ qu’ça m’ fait à moi (voyez dans les champs de la victoire).
Eh ! quoi, déjà je vois le jour (voyez air des Triolets).
Eh ! quoi, tout sommeille, ou dieu de la molesse 
 760
Eh ! quoi, tu détournes les yeux 
 168
Eh ! zon, zon, zon, Lisette, ma Lisette, ou et non, non, non, ce n’est pas là Ninette. 
 169
Elle l’aimait si tendrement 
 170
Elle m’aima, cette belle Aspasie 
 171
Elle m’apporte en mariage (voyez l’amour galant c’est mon ouvrage).
En acceptant la préférence (voyez j’ignore quelle est ma naissance).
En amour c’est au village 
 172
En affaires, comme en voyage 
 300
En attraits, en beauté (voyez Eh ! zon, zon, zon).
En cajolant sa commère 
 173
En ces lieux à peine arrivée, ou demain au retour de l’aurore 
 174
Encore un quart’ron, Claudine 
 175
En deux moitiés, dit-on, le sort, ou je ne suis plus de ces vainqueurs. 
 177
En jupon court, en blanc corset (voyez sous un saule dans la prairie).
En guerre ces aventures (voyez vaudeville du Mameluck).
En l’honneur du bon Henri quatre 
 178
En quatre mots je vais vous conter ça (voyez air des cinq voyelles).
En naissant promis à Thalie 
 176
En revenant d’Auvergna, ou soir et matin je chante 
 179
En revenant de Bâle en Suisse 
 180
En revenant de Nivelle (voyez passez votre chemin, beau sire).
En scène je suis un héros (voyez vaudeville de Lasthénie).
Enfans de la Provence (voyez air de la ronde d’Aline).
Enfin, v’là donc qu’est bacle (voyez reçois dans ton galetas).
Enseignez-moi qui l’a (voyez air de la béquille du père Barnabas).
Époux imprudent, fils rebelle 
 181
Époux volage, ta Sophie 
 182
Es-tu bien sensible, toi (voyez air de l’enfantine).
Escouta, Jeanetto 
 183
Et c’est toujours la même chose (voyez ce jeune homme depuis deux ans).
Et l’on peut bien pardonner dans la vie 
 184
Et non, non, non, ce n’est pas là Ninette (voyez eh zon, zon, zon, Lisette, ma Lisette).
Et r’lan tan plan, tambour battant 
 186
Et toujours va qui chante (voyez air du pas redoublé).
Et voilà la vie, la vie suivie (voyez ah ! voilà la vie).
Et voilà comme l’homme n’est jamais content 
 187
(Voyez le vaudeville de Christophe Dubois, dont le refrain est le même que celui-ci.)
Et zig, et zig, et zig, et zog 
 185
Êtes-vous de Chantilly ? 
 188
Existe-t-il sur la terre ? 
 189

F.

Faisons ici défense expresse (voyez vaudeville de l’Avare).
Fatigué de si longue route 
 190
Faut attendre avec patience 
 191
Faut d’la vertu, pas trop n’en faut 
 192
Faut-il boire, faut-il aimer ? (voyez chantez, dansez, amusez vous).
Faut-il donc tant se récrier ? (voyez vaudeville des vélocifères).
Faut pas heurter (voyez un jour Lisette allait au champ).
Femme qui chérit la sagesse 
 210
Femme sensible, entends-tu le ramage 
 193
Femmes, voulez-vous éprouver 
 195
Fidèle époux, franc militaire (voyez vaudeville de l’officier de fortune).
Fidelio, mon doux ami 
 196
Fille à qui l’on dit un secret 
 194
Filles du hameau (voyez air du batelier).
Fillette, fillette, qui dans la retraite. 
 197
Flon, flon, flon, la rira, dondaine (voyez chantons la Capucine).
Fortune longtemps ennemie (voyez vous avez vu dans cette enceinte).
Foulons la fougère 
 212
Fournissez au canal un ruisseau (voyez vaudeville de Rose et Colas).
Frère Jacques, dormez-vous ? (voyez air des matines du frère Jacques).
Frère Pierre à la cuisine, ou vaudeville de Jean Monet 
 198
Fuyant et la ville et la cour, ou comme j’aime mon Hyppolite 
 199

G.

Gaiment je m’accommode de tout (voyez air de la cavatine du bouffe et le tailleur).
Gentille boulangère (voyez ô ma tendre musette).
G’ n’y a que Paris, g’ n’y a que Paris (voyez vaudeville des poètes sans souci).
Grâce à tant de tromperies 
 200
Guide mes pas, ô providence 
 211
Guillot a des yeux complaisans, ou je verrai donc à chaque instant, ou je connais un berger discret 
 201
Guillot auprès de Guillemette 
 202
Guillot un jour trouva Lisette 
 203
Guillot, Guillot ! que ce nom m’intéresse (voyez mon honneur dit que je serais coupable).
Gusman ne connaît point d’obstacle (voyez air de la romance du pied de mouton).

H.

Haiss’ les femmes qui voudra (de haine aux femmes) 
 204
Hélas ! ne tremblons pas (voyez l’autre jour le beau Lucas).
Hermite, bon hermite 
 205
Heureux habitans des montagnes (voyez vaudeville des petits montagnards).
Heureux qui dans sa maisonnette 
 206
Hier matin en m’éveillant 
 207

I.

Il a cinquante écus comptant 
 213
Il a fait un voyage, ou vaudeville d’Amour et mystère 
 214
Il a voulu, il n’a pas pu 
 215
Il est certain qu’un jour de l’autre mois 
 216
Il est des amusemens 
 217
Il est donc vrai, Lucile (voyez ô ma tendre musette).
Il est mal que l’amour attache (voyez de sommeiller encor, ma chère).
Il est naturel de s’aimer (voyez vaudeville de Pellegrin).
Il est trop tard 
 220
Il est temps, ma chère sonnette 
 218
Il est un Dieu pour les auteurs 
 221
Il était temps (voyez sans le savoir).
Il était un oiseau gris 
 222
Il était un p’tit homme (voyez tôt tôt carabo).
Il était un’ fois une princesse (voyez air de la belle au bois dormant).
Il était une fille 
 219
Il était une fillette (voyez une petite fillette).
Il faut aimer, c’est la loi de Cythère, ou ô Mahomet, ton paradis des femmes 
 224
Il faut des époux assortis 
 223
Il faut gaîment passer la vie 
 225
Il faut, quand on aime une fois 
 226
Il faut que l’on file, file, file 
 228
Il faut quitter ce que j’adore, ou si Pauline est dans l’indigence 
 229
Il m’en souvient, long-temps ce jour 
 227
Il n’en est point de généreux (voyez vaudeville d’Abuzard).
Il n’est pas temps de nous quitter (voyez fille à qui l’on dit un secret).
Il n’est pire que l’eau qui dort, ou ne craignez rien, allez je tiens l’échelle 
 230
Il n’est point de plaisir, de bonheur sans amour 
 231
Il n’est point de vrais biens au monde (voyez avoir dans sa cave profonde).
Il n’est point de fleurettes, sans le printemps (voyez air des fleurettes et des amans).
Il n’est qu’un pas du mal au bien 
 232
Il pleut, il pleut, bergère 
 233
Il porte et l’épée et la lyre (voyez Cupidon, las de ses folies).
Il y a cinquante ans et plus 
 234
Intégrité, franchise 
 235

J.

Jadis un célèbre empereur 
 236
Jadis à table entre les pots (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
J’ai Grégoire pour nom de guerre 
 237
J’ai marié ma fille en Perse 
 238
J’ai perdu mon âne 
 239
J’ai quitté la montagne 
 240
J’ai rêvé toute la nuit, ou souvenez-vous-en 
 241
J’ai toujours, Bacchus (voyez nous nous marirons dimanche).
J’ai vu la meûnière en passant (voyez air de la meûnière).
J’ai vu le parnasse des dames 
 242
J’ai vu partout dans mes voyages (air primitif de L. Jadin.) 
 244
——— Air fait sur les mêmes paroles, par Plantade 
 243
J’aimais sur-tout à la maison (voyez puisque l’objet de vos regrets).
J’aime ce mot de gentillesse, ou que n’avons-nous la verve heureuse 
 245
J’aime Rosette à la folie 
 246
J’aime une ingrate beauté 
 247
J’aimons les filles (voyez vive Henri quatre).
Jamais je n’oublierai, ou votre pavillon m’enchante 
 248
Jardinier, ne vois-tu pas ? (voyez air des fraises).
J’arrive à pied de province 
 249
J’arrive ici de Rome 
 250
J’attendais dans l’impatience 
 252
J’aurai bientôt quatre-vingts ans 
 251
J’avais à peine dix-sept ans 
 253
J’avais égaré mon fuseau 
 254
J’commençons à m’apercevoir, ou comme faisaient nos pères 
 255
J’courons de la brune à la blonde (voyez courons de la brune à la blonde).
Jean de la Réole, mon ami 
 256
Jeaneton prend sa faucille 
 257
Je brûle de voir ce château, ou dès qu’on y pense, dès qu’on y touche 
 259
Je cherche envain la vérité 
 258
Je connais un berger discret (voyez Guillot a des yeux complaisans).
Je crois bien que si je voulions plaire, ou dessous mon menton, je vous en prie 
 260
Je l’ai planté, je l’ai vu naître 
 261
Je le compare avec Louis, ou quand on est deux et quand on s’aime 
 262
Je le tiens, ce nid de fauvette 
 263
Je loge au quatrième étage 
 264
J’ n’avions pas encor quatorze ans 
 265
Je n’ saurais danser 
 266
Je n’ai jamais aimé personne de ma vie 
 268
Je n’ai pour toute maison (voyez nous autres bons villageois).
Je n’ai trouvé que des ingrats (voyez consolez-vous avec les autres).
Je n’aimais pas le tabac beaucoup (air primitif) 
 267
Le même, air de Sollier 
 269
Je n’aime pas une grille entre mon amant et moi (voyez il est des amusemens).
Je ne me souviens qu’à peine 
 270
Je ne suis né ni roi, ni prince (voyez de tous les Capucins du monde).
Je ne suis pas si diable que je suis noir (voyez charmante Gabrielle).
Je ne suis plus de ces vainqueurs (voyez en deux moitiés, dit-on, le sort).
Je ne veux la mort de personne (voyez vaudeville de Lasthénie).
Je ne veux pas qu’on me prenne pour un petit babillard (voyez tout chacun l’aime et l’admire).
Je ne vous dirai pas j’aime 
 272
Je ne vous vois jamais rêveuse 
 273
Je regardais Madelinette 
 271
Je suis content, je suis joyeux (voyez adieu, je vous fuis, bois charmant).
Je suis du pays des montagnes 
 274
Je suis encor dans mon printemps 
 275
Je suis heureux en tout, mademoiselle 
 276
Je suis joyeux, je suis toujours gaillard, ou en quatre mots je vais vous conter ça (voyez air des cinq voyelles).
Je suis Madelon Friquet 
 277
Je suis modeste et soumise 
 278
Je suis né natif de Férare 
 280
Je suis né pour le plaisir, ou dormir est un temps perdu 
 279
Je suis simple, née au village 
 281
Je suis un chasseur plein d’adresse 
 282
Je suis un marchand épicier, ou qui veut entendre une chanson 
 284
Je t’aime tant 
 285
Je te perds, fugitive espérance 
 298
J’étais bon chasseur autrefois (voyez vaudeville de Florian).
J’étais gissant à cette place (voyez vaudeville des deux Chasseurs).
Jetez les yeux sur cette lettre, ou craignez l’erreur qui vous entraîne 
 286
Jeune et gentille bergerette 
 283
Jeune et novice encore 
 288
Jeune fille et jeune garçon, ou la nature 
 289
Jeunes amans, cueillez des fleurs 
 287
Jeunes beautés, au regard tendre 
 290
J’ignore quelle est ma naissance, ou non, votre cœur n’est plus le même 
 291
Je vais dîner au veau qui taîte (voyez vaudeville de la Soirée orageuse).
Je verrai donc à chaque instant (voyez Guillot a des yeux complaisans).
Je veux croire qu’en effet (voyez un matin que gros René).
Je viens devant vous (ou la confession) 
 292
Je viens devant vous (voyez c’est le gros Thomas).
Je viens pour donner, non pour vendre (voyez air de la romance de Fodor).
Je viens te fair’ mes adieux (voyez vivent les fillettes).
Je vis Lise hier au soir (voyez d’un bouquet de romarin).
Je voudrais bien le deviner (voyez un soir dans la forêt prochaine).
Je voudrais voir à chaque instant (voyez vaudeville de oui ou non).
Je vous comprendrai toujours bien 
 293
J’ons un curé patriote 
 294
Joseph est bien marié 
 295
Jour et nuit, nuit et jour, je pleure (voyez air du carillon de Vendôme).
Jupiter, prête-moi ta foudre 
 296
Jupiter un jour en fureur 
 297
Jusque dans la moindre chose 
 299

L.

La belle Bourbonnaise 
 301
La bonne aventure, ô gué, ou dedans mon petit réduit 
 302
La bonne chère et le bon vin (voyez air du petit mot pour rire).
La boulangère a des écus 
 303
La Bourbonnaise, quitte son pays (voyez air de la Bourbonnaise).
La comédie est une grande salle (voyez contentons-nous d’une simple bouteille).
La comédie est un miroir 
 304
La chanson que chantait Lisette (voyez Lise chantait dans la prairie).
La chose ne vaut pas le mot (voyez on se presse toujours trop tôt).
La danse n’est pas ce que j’aime 
 305
La douce clarté de l’aurore 
 308
La farira dondaine, gai, la farira don dé 
 306
La fari dondaine, la fari don don (voyez air de la fari dondaine).
La fête des bonnes gens (voyez l’amitié vive et pure).
La foi que vous m’aviez promise (voyez vaudeville des deux Jumeaux).
La jeune Hortense, au fond d’un verd bocage 
 349
La jeune Iris, la fleur de nos campagnes 
 307
La loterie est la chance 
 309
La lumière la plus pure 
 310
La marmote a mal au pied 
 313
La nuit, quand je pense à Jeanette 
 324
La petite Nanette (voyez vous qui de prêcher la raison).
La plus belle promenade (voyez air de la fanfare de Saint-Cloud).
La reconnaissance (voyez ô ciel ! que lui dire ?)
La résistance est inutile, ou voulant par ses œuvres complètes, ou dans la chambre où naquit Molière 
 311
La rose et le bouton d’amourette 
 312
La terre autour du soleil tourne 
 332
La vertu seule est la lumière 
 333
La victoire, en chantant, nous ouvre la barrière 
 335
La vie est comme un jardin, ou tout ça passe en même temps 
 336
La vie est un voyage 
 325
L’amant charmé de l’objet qui l’engage (voyez il faut aimer).
L’amant frivole et volage 
 314
L’amitié vive et pure 
 315
L’amour a gagné sa cause (voyez vaudeville d’Angélique et Melcour).
L’amour ainsi qu’ la nature (voyez Lise épouse l’beau Gernance).
L’amour aura soin de t’instruire (voyez que ta porte, ô ma tendre amie).
L’amour courait cherchant pratique 
 316
L’amour est chose tant jolie 
 318
L’amour est de tout âge (voyez vaudeville de la Pupille).
L’amour est un chien de vaurien 
 319
L’amour est un dieu volage 
 317
L’amour est un enfant trompeur 
 320
L’amour galant, c’est mon ouvrage, ou elle m’apporte en mariage 
 321
L’amour m’a fait la peinture (voyez air de la romance de Daphné).
Lampons, camarades, lampons 
 322
L’an mil sept cent vingt et neuf 
 323
Laisse en paix le dieu des combats 
 326
L’art à l’amour est favorable (voyez vaudeville du Devin du village).
L’astre de la philosophie 
 327
L’astre des nuits dans son paisible éclat (voyez air de la sentinelle).
L’attrait qui fait chérir ces lieux 
 328
L’austère philosophie (voyez que chacun de nous se livre).
L’autre jour Blaise m’embrassa (voyez v’là c’ que c’est qu’ d’aller au bois).
L’autre jour j’étais seulette, ou écoutez, j’ vous en conjure 
 329
L’autre jour la p’tit’ Isabelle 
 330
L’autre jour le bieau Lucas, ou mon p’tit cœur, vous n’ m’aimez guère 
 331
L’autre nuit je réfléchissais (voyez air de la croisée).
L’avez-vous vu, mon bien aimé ? 
 334
Le bon vieillard de Gaillardbois (voyez un bon vieillard de Gaillardbois).
Le bonheur de Pierrot (voyez vaudeville du Tableau parlant).
Le briquet frappe la pierre 
 337
Le cœur à la danse, un rigaudon, zig, zag, don, don (voyez vaudeville du Chaudronnier de Saint-Flour).
Le cœur de mon Annette, ou eh, mais, oui dà 
 338
Le cœur que tu m’avais donné 
 339
Le comte Ory 
 341
Le connais-tu, ma chère Eléonore (voyez triste raison).
Le curé de notre village 
 340
Le Czar Iwan qui règne en Moscovie 
 363
Le Dieu de la tendresse (voyez vaudeville du Tableau parlant).
Le fleuve de la vie, ou on parle de philosophie 
 342
Le grand seigneur, jaloux de ses sultanes, ou tire lire, li, tontaine 
 343
Le joli jeu d’amour n’a pas besoin du jour 
 344
Le jour, chantant l’amour (voyez allons, allons au bois).
Le jour de Saint Crépin, mon cousin 
 345
Le luxe de ce beau danseur 
 346
Le maître de cette maison (voyez on dit que le diable est céans).
Le mois de mai vient de paraître 
 347
Le myrte au front, le verre en main 
 348
Le pauvre temps 
 350
Le plaisir couronné de fleurs (voyez vous voulez me faire chanter).
Le point du jour 
 351
Le port Mahon est pris, ou chansonniers, mes confrères 
 352
Le premier du mois de janvier, ou accompagné de plusieurs autres 
 353
Le premier jour qu’on aime (voyez j’avais à peine dix-sept ans).
Le premier pas 
 354
Le propre jour de Saint Simon (voyez air du curé de Pomponne).
Le punch et le vin que j’ai pris (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
Le saint, craignant de pécher, ou quand la mer rouge apparut 
 355
Le voile odieux (voyez saisir le moment).
L’époux n’est pas long-temps atteint 
 379
L’équipage le plus en usage, ou à votre âge fille la plus sage (voyez une fille qui toujours sautille).
Les combats de la jeune Hortense (voyez tout consiste dans la manière).
Les cruels ravages du temps 
 440
Les grâces un jour à Cythère 
 357
Les hommes perdent la raison (voyez on compterait les diamans).
Les plaisirs volaient sur mes traces 
 360
Les talens appellent les graces 
 358
Les tours que font messieurs les pages 
 356
L’homme n’est pas ce qu’il s’affiche, ou ah ! comme on trompe dans ce monde 
 359
L’hymen est un lien charmant, ou air des compagnons de voyage 
 361
Librement à tort, à travers, dans mes vers (voyez air du Zéphyr).
Linval aimait Arsène 
 367
Lise chantait dans la prairie, ou la chanson que chantait Lisette 
 365
Lise demande son portrait (voyez Philis demande son portrait).
Lise, entends-tu l’orage ? ou mon jeune cœur palpite 
 362
Lise épouse l’ beau Gernance, ou l’amour ainsi qu’ la nature 
 366
Lisette est faite pour Colin (voyez quand je vous ai donné mon cœur).
Lisis avait de la jeunesse 
 364
Lison dormait dans un bocage 
 368
Lison guettait une fauvette (voyez air de la romance d’Alexis).
Lison voyait deux pigeons se baiser 
 370
Loin des grandeurs je vis le jour, ou celui qui fait un choix heureux 
 371
Longue est la liste des cocus, ou bon martinum, bon martinus 
 369
Lorsque dans une tour obscure 
 372
Lorsque Dieu fit Adam, ou croissez, vigne et fillettes joliettes 
 373
Lorsque vous verrez un amant 
 374
Lubin dit qu’il vous aime 
 375
Lubin est d’une figure 
 376
Lubin a la préférence (voyez air de la Fustemberg).
L’un de ces jours mes moutons s’égarèrent 
 377
L’un est le fils du sentiment, ou tu ne vois pas, jeune imprudent 
 378

M.

Ma Cécile est douce et jolie, ou il porte et l’épée et la lyre (voyez Cupidon, las de ses folies).
Ma commère, quand je danse 
 381
Ma Doris un jour s’égara 
 382
Ma foi, c’est un triste soldat (voyez voulez-vous suivre un bon conseil).
Ma foi, de ce château royal (voyez pomm’ de reinette).
Ma maîtresse pleure un mari (voyez le sommeil fuyant de mes yeux).
Madelaine à bon droit passa 
 383
Mais l’homme instruit, j’espère (voyez vaudeville de Buffon).
Malborouck s’en va-t-en guerre (voyez air de Malborouck).
Malgré moi, le sentiment (voyez sur le bruit de vos talens)
Maman, grondez-moi pour deux fois (voyez vous me grondez, d’un ton sévère).
Maman, mariez-nous 
 384
Maman vous a dit dans six ans, ou à mon mari n’apportant rien (voyez lorsque vous verrez un amant).
Marionnettes, joliettes, en avant 
 385
Maris jaloux, vous avez tort 
 386
M’entendez-vous ? comprenez-vous ? (voyez air de la romance de la forteresse du Danube).
Mes amis, je dois vous le dire (voyez vaudeville des petits savoyards).
Mes beaux jours se sont écoulés 
 387
Mes bons amis, voulez-vous m’enseigner, ou nargue de ceux 
 388
Mes chers enfans, unissez-vous (voyez vaudeville de l’amour filial).
Mi, mi, fa, ré, mi, chantez, mon petit 
 389
Moi d’ même (voyez t’es dans tes atours).
Moi je vais rendre hommage 
 390
Moi, qui jadis eut la gloire (voyez air du mirliton).
Mon ami, combien tu t’abuses (voyez vaudeville du prétendu de Gisors).
Mon avis est le vôtre (voyez vaudeville de Buffon).
Mon cher arlequin, dis-moi (voyez air de l’enfantine).
Mon cœur soupire dès l’aurore, ou ah ! dis-moi comment on appelle 
 391
Mon Dieu, mon Dieu, comme à c’te fête (voyez bon Dieu, bon Dieu).
Mon galoubet (voyez air du galoubet).
Mon honneur dit que je serais coupable (voyez mon petit cœur à chaque instant soupire).
Mon jeune cœur palpite (voyez Lise, entends-tu l’orage).
Mon maître à danser fait mon bonheur (voyez non je n’aimerai jamais que vous).
Mon père était pot (voyez voulez-vous savoir les on dit).
Mon père, je viens devant vous (voyez air du confiteor).
Mon p’tit cœur, vous n’ m’aimez guères (voyez l’autre jour le bieau Lucas).
Mon petit cœur à chaque instant soupire, ou mon honneur dit que je serais coupable 
 393
Monseigneur, vous ne voyez rien (voyez qu’elle est, qu’elle est bien).
Monsieur le curé, ma femme est morte, ou vive un tambourin qui nous réveille. 
 392
Monsieur le prévôt des marchands (voyez air du prévôt des marchands).
Monsieur, en vérité, vous avez bien de la bonté (voyez nous autres bons villageois).
Monsieur redouble mes regrets, ou librement à tort à travers (voyez air du zéphyr).
Montrons-nous, ma sœur, tell’s que nous sommes (voyez air de la poule, contredanse).
Muse des jeux et des accords champêtres 
 394

N.

Nage toujours, mais n’ t’y fie pas (voyez un cordelier dit à Lisette).
N’allez pas, n’allez pas dans la forêt noire (voyez notre meunier chargé d’argent).
Nargue de ceux (voyez mes bons amis).
N’avoir jamais qu’une pensée 
 395
Ne craignez rien, allez, je tiens l’échelle (voyez il n’est pire que l’eau qui dort).
Ne crois plus à mon trépas (voyez traitant l’Amour sans pitié).
Ne donnons jamais à nos femmes 
 397
Ne fais pas un crime à mon cœur 
 398
Ne v’là-t-il pas que j’aime 
 396
Négligent, distrait (voyez non, je n’aimerai jamais que vous).
N’en demandez pas davantage (voyez Colin disait à Lise un jour).
N’est-il, Amour, sous ton empire (voyez quoi, ma voisine, es-tu fâchée).
Non, je n’aimerai jamais que vous, ou mon maître à danser fait mon bonheur, ou négligent, distrait 
 399
Non, je ne ferai pas ce qu’on veut que je fasse 
 401
Non, non, Doris, ne pense pas 
 402
Non, votre cœur n’est plus le même (voyez j’ignore quelle est ma naissance).
Nos plaisirs sont légers, mais ils sont sans alarmes 
 861
Not’ demoiselle a dit oui, ou vous m’acceptez pour époux 
 400
Not’ marmotte a mal au pied (voyez la marmotte a mal au pied).
Notre meûnier chargé d’argent, ou n’allez pas dans la forêt noire 
 403
Notre fortune est faite, ou vous me traitez avec malice (voyez Suzon sortait de son village).
Nous autres, bons villageois, ou monsieur, en vérité 
 404
Nous avons une terrasse 
 407
Nous avons un clocher chez nous, ou tique, tique, toc, et tin, tin, tin 
 405
Nous jouissons dans nos hameaux 
 406
Nous n’avons qu’un temps à vivre 
 408
Nous nous marîrons dimanche 
 409
Nous sommes précepteurs d’amour 
 410

O.

Ô ciel ! que lui dire, ou la reconnaissance 
 411
O filii et filiæ 
 412
Ô Fontenai, qu’embellissent les roses 
 413
Ô lit charmant, où ma Myrthé 
 414
Ô ma Georgette ! 
 416
Ô Mahomet, ton paradis des femmes (voyez il faut aimer, c’est la loi de Cythère).
Ô ma tendre musette, ou gentille boulangère 
 417
Ô monarque suprême (voyez air du noël de la cour).
Ô toi qui n’eus jamais dû naître 
 418
Ô toi qui règnes sur mon ame 
 419
Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah ! (voyez quand un tendron vient dans ces lieux).
Oh ! je le tiens (voyez sans être belle, on est aimable).
Oh ! oui, l’homme le plus parfait 
 420
On compterait les diamans, ou les hommes perdent la raison, ou vaudeville de l’île des femmes 
 423
On dit par-tout le monde 
 421
On dit qu’à quinze ans 
 422
On dit que je n’ai pas d’esprit 
 424
On dit que le diable est céans, ou le maître de cette maison 
 427
On doit soixante mille francs, ou c’est ce qui me console 
 428
On la relèvera, la rira, du péché de paresse (voyez air du curé de Pomponne).
On m’a demandé souvent 
 425
On m’avait vanté la guinguette (voyez vaudeville de Gilles en deuil).
On me cherche, on m’aime, on m’adore 
 426
On nous dit qu’ dans le mariage, ou tout comme a fait ma mère 
 429
On nous dit que l’premier homme 
 432
On parle de philosophie 
 434
On peut s’abaisser à surprendre (voyez si l’on pouvait rompre la chaîne).
On peut trouver du plaisir (voyez il est des amusemens).
On se presse toujours trop tôt, ou la chose ne vaut pas le mot 
 433
On va lui percer le flanc (voyez r’lan, tan, plan, tire lire).
On vous les mène par le nez (voyez Femme qui chérit la sagesse).
Or écoutez, petits et grands (voyez air des pendus).
Où allez-vous, monsieur l’abbé (voyez vous m’entendez bien).
Où s’en vont ces gais bergers 
 430
Où vont tous ces preux chevaliers 
 435
Oui, ce Colinet, ou tendre fruit des pleurs de l’aurore 
 431
(Les mouvemens de ces deux airs sont bien différens ; voyez Tendre fruit des pleurs de l’aurore).
Oui, je suis soldat, moi (voyez oui, j’aime à boire moi).
Oui, celui-là doit être (voyez air du noël de la cour).
Oui, c’en est fait, je me marie (voyez air du rondeau du Prisonnier).
Oui, j’aime à boire moi, ou oui, je suis soldat, moi 
 436
Oui, j’aime les amours, qui toujours 
 437
Oui, leur folie est vraiment sans seconde (voyez vaudeville de la Partie carrée).
Oui, noir, mais pas si diable 
 438
Oui, si j’admire un instant le parterre, ou ce fut toujours de la simple nature. 
 542

P.

Palsambleu, monsieur le curé 
 363
Pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan (voyez sur le bruit de vos talens).
Pardonnez, je vous en supplie 
 441
Partant pour la Syrie 
 442
Par l’objet d’un funeste amour 
 443
Par un dimanch’ qui z’était fête (voyez vantez-vous-en]]).
Passez votre chemin, beau sire, ou en revenant de Nivelle 
 462
Pauvre Jacques, quand j’étais près de toi 
 444
Pauvre petit, il est transi 
 445
Père de l’univers, suprême intelligence 
 446
Permettez, je vous en supplie 
 447
Petits baisers que tu demandes 
 450
Petits chagrins de temps en temps 
 453
Petits oiseaux, le printemps vient de naître 
 448
Peuple français, peuple de frères (voyez air du réveil du peuple).
Philis demande son portrait 
 449
Philis, plus avare que tendre (voyez réveillez-vous, belle endormie).
Pierrot, revenant du moulin 
 451
Pierrot, sur le bord d’un ruisseau 
 454
Place à l’équipage de l’ami Scarron (voyez au clair de la lune).
Plaignez un vieillard éperdu (voyez vous m’ordonnez de la brûler).
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment 
 455
Plantons le mai, chantons le mai 
 452
Plus matin que l’aurore (voyez dans ma cabane obscure).
Plus on est de fous, plus on rit (voyez des frelons bravant la piqûre).
Point de bruit, ce réduit (voyez air du menuet d’Exaudet).
Point de sévérité pour les amours d’été (voyez vaudeville des Amours d’été).
Point d’humeur contre les belles 
 457
Pomm’ de reinette et pomm’ d’appi, ou quand on est mort c’est pour long-temps. 
 456
Porte à ta pauvre mère 
 458
Pour animer nos chansons (voyez as-tu vu la lune, Jean ?).
Pour bien juger une maîtresse 
 459
Pour bien occuper ses loisirs (voyez il a fait un voyage).
Pour donner la paix à la terre, ou après de pénibles combats 
 880
Pour étourdir le chagrin (voyez air du branle sans fin).
Pour héritage, ou quand une belle 
 460
Pour la baronne (voyez air de la baronne).
Pour les friands, pour les gourmands (voyez vaudeville d’Arlequin Cruello).
Pour mettre fin à ma tristesse (voyez une lumière vive et pure).
Pour mieux te prouver mon amour (voyez air de la romance de Gulnare).
Pour obtenir celle qu’il aime 
 461
Pour que l’hymen m’engage 
 474
Pour rendre son hôtellerie 
 465
Pour un maudit péché (voyez air de Tarare Pompon).
Pour une fois c’ n’est pas la peine, ou c’est son lan la landerirette 
 463
Pour vous faire entrer en ménage (voyez air de la catacoua).
Pourquoi ces détours superflus 
 466
Pourquoi cet air sévère ? 
 467
Pourquoi faut-il ici bas que la peine 
 468
Pourquoi rompre leur mariage (voyez air de la romance d’Alexis).
Pourquoi vouloir qu’une personne chante 
 469
Pourriez-vous bien douter encore 
 470
Prenez pitié d’un pauvre malheureux 
 471
Prenons d’abord l’air bien méchant 
 472
Prêt à partir pour la rive africaine 
 464
Puisque l’objet de vos regrets, ou j’aimais sur-tout à la maison 
 473

Q.

Quand Biron voulut danser 
 475
Quand des ans la fleur printanière (voyez air du pas des trois Cousines).
Quand j’entends messieurs les amans 
 476
Quand j’entends un homme sensé 
 503
Quand je réfléchis à mon sort (voyez c’est un agréable jardin).
Quand je suis avec mes amis (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
Quand je suis soûl dès le matin 
 478
Quand je vous ai donné mon cœur, ou Lisette est faite pour Colin 
 477
Quand l’amitié devint amour (voyez air des Triolets).
Quand l’Amour naquit à Cythère 
 479
Quand la mer rouge apparut (voyez le saint craignant de pécher).
Quand le bien aimé reviendra 
 480
Quand l’hirondelle 
 482
Quand nos joyeux verres (voyez repas en voyage).
Quand nous portons au patron de not’ village 
 654
Quand on est deux et quand on s’aime (voyez je le compare avec Louis).
Quand on est mort, c’est pour long-temps (voyez pomm’ de reinette).
Quand on sait aimer et plaire 
 483
Quand on va boire à l’écu (voyez air de la fricassée).
Quand toi s’en va de la case 
 481
Quand un tendron vient dans ces lieux, ou oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah ! 
 484
Quand une belle (voyez pour héritage).
Quand vous jugez que je ne suis pas belle (voyez au temps passé).
Que chacun de nous se livre 
 485
Que d’établissemens nouveaux 
 486
Que j’aime à voir les hirondelles 
 487
Que j’aime à voir un corbillard (voyez air du pas redoublé).
Que je dois de reconnaissance 
 655
Que le jour me dure 
 488
Que le sultan Saladin 
 489
Que l’on goûte ici de plaisirs (voyez ne v’là-t-il pas que j’aime).
Que n’avons-nous la verve heureuse (voyez j’aime ce mot de gentillesse).
Que ne suis-je la fougère, ou d’une amante abandonnée 
 490
Que Pantin serait content 
 491
Que ta porte, ô ma tendre amie, ou c’est à mon maître en l’art de plaire 
 493
Quel désespoir ! 
 494
Quel spectacle s’offre à mes yeux (voyez nous sommes précepteurs d’amour).
Qu’elle est, qu’elle est bien 
 492
Quels accens, quels transports 
 495
Qu’en voulez-vous dire ? qu’en voulez-vous dire ? 
 496
Qui par fortune trouvera 
 497
Qui trouve au bois belle endormie (voyez du serin qui te fait envie).
Qui veut entendre une chanson (voyez je suis un marchand épicier).
Qui veut savoir l’histoire entière 
 498
Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il tonne (voyez à boire, à boire, à boire).
Qu’il tarde à ma tendresse 
 499
Quinze ans, ma vielle et l’espérance, ou aux montagnes de la Savoie 
 500
Quinze ans, Thémire, oh ! le bel âge (voyez des simples jeux de son enfance).
Quoi, ma voisine, es-tu fâchée (voyez air de la romance d’Alexis).
Quoi, sur toi, père insensible (voyez Ah ! cessez, cessez, mon père).
Quoi, vous voulez que le hasard 
 656
Quoiqu’un docteur censure vinum (voyez gaîment je m’accommode de tout).
Qu’un jour ce temple nouveau 
 502
Qu’un poète souvent guette 
 501

R.

Ran, tan, plan, tire-lire, ou on va lui percer le flanc 
 504
Rassurez-vous, mon cher Voltaire (voyez air du vaudeville du jaloux malade).
Reçois dans ton galetas, ou enfin, v’là donc qu’est bâclé 
 505
Regard vif et joli maintien (voyez air de la parole).
Reine des fleurs, charmante rose 
 506
R’lir, r’lan, r’lan tan plan, tambour battant (voyez r’lan tan plan).
Rendez-moi mon écuelle de bois 
 507
Repas en voyage, ou quand nos joyeux verres 
 508
Reposez-vous, bon chevalier 
 655
Résiste-moi, belle Aspasie 
 509
Respectez les maux, les ennuis 
 510
Reste encore un moment 
 511
Réveillez-vous, belle endormie, ou Philis, plus avare que tendre 
 512
Rien n’était si joli qu’Adèle, ou amusez-vous, trémoussez-vous 
 513
Rien, tendre Amour, ne résiste à tes armes 
 518
Rions, chantons, aimons, buvons, ou songez donc que vous êtes vieux 
 514
Rire sans cesse est ma folie (voyez air du Cabaret).
R’lan tan, plan, tambour battant 
 515
Robin, turelure 
 516
Roulant ma brouette, ou place à l’équipage (voyez au clair de la lune).
Ruisseau charmant, du gazon de tes rives, ou séjour affreux de tristesse et d’alarmes 
 517

S.

Sachez qu’au village j’ons de la vartu 
 519
Sa demeure villageoise 
 520
Saisir le moment, ou le voile odieux 
 521
Salut, ô divine espérance 
 522
Sans cesse à la ville, à la cour 
 523
Sans compliment 
 524
Sans être belle on est aimable, ou oh ! je te tiens 
 525
Sans le savoir, ou il était temps 
 526
Sans plaisir et sans espérance 
 537
Sans un petit brin d’amour 
 528
Sautez donc, sautez donc, sautez donc, ou vaudeville des Sabotiers béarnais (voyez air de la ronde de la Ferme et le Château).
Savez-vous l’histoire advenue (voyez air de la fricassée).
Séjour affreux de tristesse et d’alarmes (voyez ruisseau charmant du gazon de tes rives).
Sentir avec ardeur 
 529
Servantes, quittez vos paniers 
 527
Servir la beauté, l’innocence (voyez je regardais Madelinette).
Si de votre vie, joyeux troubadours, ou voilà la manière de vivre cent ans 
 532
Si des galans de la ville 
 530
Si Dorilas médit des femmes 
 533
Si jamais je fais un ami 
 534
Si j’avais autant d’écus (voyez turlurette, ma tan turlurette).
Si j’en savons ? mais voir’ment, ou vous voyez en moi, mon cœur 
 531
Si le roi m’avait donné, ou dedans mon petit réduit (voyez la bonne aventure ô gué).
Si l’on pouvait rompre la chaîne, ou on peut s’abaisser à surprendre 
 535
Si Pauline est dans l’indigence (voyez il faut quitter ce que j’adore).
Si tu crois, pour charmer un cœur 
 536
Si tu veux un ami véritable, ou cette danse est ici la folie (voyez ainsi jadis un grand prophète).
Si votre sommeil est troublé (voyez un jour le malheureux Lisandre).
Si vous voulez être discret (voyez connaissez-vous l’amiral Anson).
Si vous aimez la danse (voyez air du camp de Grand-Pré).
S’il a, comme le bon Henri (voyez toujours seule, disait Nina).
S’il est vrai que d’être deux 
 538
Soir et matin je chante (voyez en revenant d’Auvergna).
Soir et matin sur la fougère (voyez Guillot un jour trouva Lisette).
Sombre bois où sa tendresse 
 541
Sommeil a fui mon humide paupière 
 539
Songez donc que vous êtes vieux (voyez rions, chantons, aimons, buvons)
Soumis au silence 
 540
Sous des lambris où l’or éclate 
 543
Sous le nom de l’amitié 
 544
Sous un saule dans la prairie, ou en jupon court, en blanc corset 
 547
Souvenez-vous-en (voyez j’ai rêvé toute la nuit).
Souvent la nuit quand je sommeille 
 546
Soyons à l’ouvrage (voyez repas en voyage).
Sur le bruit de vos talens, ou pan, pan, pan, pan, pan, pan, pan 
 548
Sur le déclin de l’âge 
 545
Sur l’ port avec Manon z’un jour, ou aisément cela se peut croire 
 549
Sur son sopha, dans son boudoir (voyez tout est charmant chez Aspasie).
Sur tout on a fait des chansons (voyez air de la paille).
Sur une écorce légère 
 552
Sus, amis, qu’on se réveille (voyez il faut que l’on file, file).
Suzon sortait de son village, ou notre fortune est faite 
 550
Sylvie, à l’âge de quinze ans 
 551

T.

Tandis que tout sommeille 
 553
Tant que l’homme désirera (voyez air du curé de Pomponne).
Te bien aimer, ô ma chère Zélie 
 554
Tendre fruit des pleurs de l’aurore 
 555
(Voyez pour l’air primitif de ces paroles : Oui, ce Colinet).
Tenez, moi je suis un bon homme 
 557
Tenez, monsieur Joconde 
 558
T’es dans tes atours, moi d’même 
 556
Tique, tique, toc et tin, tin, tin (voyez nous avons un clocher chez nous).
Tire, lire, li, tontaine (voyez le grand seigneur, jaloux de ses sultans).
Toi dont l’amour m’est plus cher que la vie 
 559
Ton humeur est, Catherine 
 560
Tôt, tôt carabot, compère Guilleri, ou il était un p’tit homme 
 561
Tôt, tôt, tôt, battez chaud, bon courage (voyez vaudeville du Maréchal ferrant).
Touchez-là, vous n’aurez pas ma fille (voyez un chevalier, deux chevaliers).
Toujours, toujours, il est toujours le même 
 562
Toujours de bout, toujours en route 
 569
Toujours de trinquer avec nous (voyez amis, dépouillons nos pommiers).
Toujours seule, disait Nina, ou s’il a, comme le bon Henri 
 563
Tous les bourgeois de Châtres 
 564
Tous les jours au fond de mon cœur 
 565
Tout ça passe en même temps (voyez la vie est comme un jardin).
Tout chacun l’aime et l’admire, ou je ne veux pas qu’on me prenne pour un petit babillard 
 566
Tout comme a fait ma mère (voyez on nous dit qu’dans le mariage).
Tout consiste dans la manière 
 567
Tout est charmant chez Aspasie, ou, sur son Sopha, dans son boudoir 
 568
Tout le long, le long, le long de la rivière (voyez connaissez-vous l’amiral Anson).
Tout roule aujourd’hui dans le monde 
 570
Traitant l’amour sans pitié, ou un lien triste et bourgeois 
 571
Travaillez, travaillez, bon tonnelier (voyez un tonnelier vieux et jaloux).
Triste raison, j’abjure ton empire, ou le connais-tu, ma chère Éléonore 
 573
Trop de pétulence gâte tout (voyez vaudeville du Bûcheron).
Trouver le bonheur en famille (voyez vaudeville de l’île des femmes).
Trouverez-vous un parlement 
 572
Tu croyais, en aimant Colette 
 574
Tu disais que tu m’aimais 
 575
Tu n’auras pas, p’tit polisson 
 580
Tu ne vois pas, jeune imprudent (voyez l’un est le fils du sentiment).
Turlurette, ma tan turlurette, ou si j’avais autant d’écus 
 576

U.

Un ancien proverbe nous dit 
 577
Un bandeau couvre les yeux 
 578
Un beau troubadour béarnais (voyez air de la romance d’Héléna).
Un bon vieillard de Gaillardbois 
 579
Un bienfait n’est jamais perdu (voyez un pauvre petit Savoyard).
Un chanoine de l’Auxerrois, ou le punch et le vin que j’ai pris 
 581
Un chevalier, deux chevaliers, ou touchez-là, vous n’aurez pas ma fille 
 582
Un cordelier dit a Lisette, ou nage toujours, mais n’ty fie pas 
 583
Un, deux, trois, quatre, cinq, six (voyez un bandeau couvre les yeux).
Un esprit présent est un présent de la nature (voyez vaudeville de Colalto).
Un homme pour faire un tableau 
 584
Un ingrat m’abandonne 
 585
Un jeune enfant, un casque en main. (voyez air de Bélisaire).
Un jeune troubadour 
 586
Un jour dans le bocage, air languedocien 
 587
Un jour dans un verd bocage 
 588
Un jour d’autres héros que moi (voyez vaudeville de Oui ou non).
Un jour de cet automne 
 589
Un jour Guillot trouva Lisette (voyez Guillot un jour trouva Lisette).
Un jour il est agriculteur, ou c’est le meilleur homme du monde (voyez air de la fuite en Égypte).
Un jour le malheureux Lisandre 
 590
Un jour Lisette allait au champ, ou faut pas heurter 
 591
Un jour Lucas dans la prairie, ou ça n’se peut pas 
 592
Un jour, me demandait Hortense 
 594
Un jour, sur la fougère (voyez ô ma tendre musette).
Un lien triste et bourgeois (voyez traitant l’amour sans pitié).
Un matin, brusquement 
 593
Un matin que Gros-René, ou je veux croire qu’en effet 
 595
Un militaire doit avoir trompette et tambour 
 596
(Voyez, pour l’autre partie : Dans le cœur d’une cruelle).
Un motif plus puissant, je pense 
 598
Un page aimait la jeune Adèle 
 599
Un papillon des plus brillans 
 600
Un pauvre petit Savoyard, ou un bienfait n’est jamais perdu 
 597
Un rigaudon, zig, zag, don, don (voyez air de la ronde du rival confident).
Un soir, dans la forêt prochaine, ou je voudrais bien le deviner 
 602
Un soir l’Amour, d’un air timide 
 603
Un soir revenait Cadet (voyez la bonne aventure ô gué).
Un soldat, par un coup funeste, ou vive Henri 
 604
Un songe heureux, à mon ame attendrie 
 601
Un sot qui veut faire l’habile 
 605
Un tonnelier vieux et jaloux, ou travaillez, travaillez, bon tonnelier 
 607
Un troubadour béarnais (voyez air du troubadour béarnais).
Une femme fait peste et rage (voyez tout est charmant chez Aspasie).
Une fièvre brûlante (voyez dans une tour obscure).
Une fille est un oiseau 
 606
Une fille qui toujours sautille, ou à votre âge, fille la plus sage 
 608
Une jeune bergère, les yeux baignés de pleurs 
 609
Une lumière vive et pure, ou pour mettre fin à ma tristesse 
 610
Une mauvaise tragédie 
 611
Une petite fillette, qui n’avait pas plus d’ quinze ans 
 612
Une vieille qui roupille (voyez air des trembleurs).

V.

Va-t-en voir s’ils viennent, Jean 
 613
Veillons au salut de l’empire (voyez vous qui d’amoureuse aventure).
Venez chanter et rire (voyez vaudeville de Scarron).
Venez, peuple chrétien (voyez air du cantique de St.-Hubert).
Venez, venez dans ma chaumière 
 614
Venez, venez dans mon parterre 
 615
Venez, venez vous rendre, ou approchez-vous sans crainte 
 616
Vent brûlant d’Arabie, ou ce crayon trop fragile 
 618
Vermeille rose 
 617
Vers le temple de l’Hymen 
 619
Versez donc, mes amis, versez (voyez voulez-vous suivre un bon conseil).
Versez, versez toujours (voyez ça n’ dur’ra pas toujours).
Versons, versons à grands flots (voyez la marmotte a mal au pied).
Versons le vin, renversons les fillettes (voyez amis, il est temps qu’on publie).
Viendras-tu pas, toi que mon cœur adore ? 
 620
Viens ça, ma chère 
 879
Viens dans mes bras, ma charmante Créole 
 621
Vive Henri (voyez un soldat, par un coup funeste).
Vive Henri quatre, ou j’aimons les filles 
 622
Vive le vin ! vive l’amour ! 
 623
Vive un bon luron (voyez la farira dondaine, gué).
Vive un tambourin qui nous réveille (voyez monsieur le curé, ma femme est morte).
Vivent les fillettes ! 
 624
Vivent les noces pour danser 
 625
Vivre loin de ses amours (voyez s’il est vrai que d’être deux).
Voici les dragons qui viennent 
 626
V’là c’ que c’est qu’ d’aller au bois, ou v’là c’ que c’est qu’ d’avoir un cœur, ou v’là c’ que c’est que l’ carnaval 
 627
Voilà bien ces lâches mortels 
 628
Voilà bien le mot ordinaire (voyez vaudeville de l’Avare).
Voilà la manière de vivre cent ans (voyez si de votre vie).
Voilà ce sauvage (voyez repas en voyage).
Voilà mon cousin l’Allure (voyez le jour de saint Crépin).
Voilà, voilà la petite laitière 
 630
Vois-tu ces coteaux se noircir 
 629
Votre pavillon m’enchante (voyez jamais je n’oublierai).
Votre souhait sera comblé (voyez un jour le malheureux Lisandre).
Votre zèle me flatte 
 631
Voulant, par ses œuvres complètes (voyez la résistance est inutile).
Voulez-vous, charmante Azélie (voyez vaudeville des petits Montagnards).
Voulez-vous être heureux amant 
 632
Voulez-vous savoir les on dit, ou mon père était pot 
 633
Voulez-vous savoir l’histoire 
 634
Voulez-vous suivre un bon conseil, ou versez donc, mes amis, versez 
 635
Vous autres, jeunes fillettes 
 636
Vous avez vu dans cette enceinte 
 637
Vous baiserez ma tante 
 638
Vous comprenez bien, vous m’entendez bien 
 639
Vous l’ordonnez, je me ferai connaître (air de Dezaides) 
 640
——— air de Paësiello 
 642
Vous m’acceptez pour époux (voyez not’ demoiselle a dit oui).
Vous me grondez d’un ton sévère, ou maman, grondez-moi pour deux fois 
 641
Vous me plaignez, ma tendre amie 
 643
Vous me traitez avec malice, ou notre fortune est faite (voyez Suzon sortait de son village).
Vous m’entendez bien (où allez-vous, monsieur l’abbé ?) 
 644
Vous m’ordonnez de la brûler 
 645
Vous n’êtes pas très-empressé (voyez le vaudeville du petit Jokai).
Vous qui cherchez de bonnes gens, ou de cette agréable maison 
 647
Vous qui d’amoureuse aventure, ou veillons au salut de l’Empire 
 648
Vous qui de l’amoureuse ivresse (voyez air de la romance d’Alexis).
Vous qui, de prêcher la raison 
 646
Vous qui du vulgaire stupide, ou vaudeville d’Épicure 
 649
Vous qui souffrez du mal d’amour 
 650
Vous reviendrez voir la fermière (voyez vaudeville de la Belle fermière).
Vous voulez me faire chanter 
 651
Vous voyez bien ce bouquet-ci (voyez air de Joconde).
Vous voyez bien qu’il est pour vous (voyez c’est à mon maître en l’art de plaire).
Vous voyez en moi, mon cœur (voyez si j’en savons ? mais voir’ment).
Voyez dans les champs d’alentour 
 653
Y a d’ l’oignon 
 652
Zéphyr d’un soupir (voyez air de Zéphyr).