L’honneur de souffrir/XLI. J’ai connu la fiévreuse et mordante détresse
Librairie Grasset, (p. 74).
XLI
J’ai connu la fiévreuse et mordante détresse ;
La stupeur ; le lointain des couleurs et des bruits
Qui n’enveloppent plus un corps plein de paresse.
— À présent, enfoncée en quelque étrange nuit,
J’oppose pesamment au destin qui me nuit
Le pur désert d’un cœur où la révolte cesse,
Et la sérénité, plus lasse que l’ennui !…