L’AMI DES MONUMENTS
REVUE TRIMESTRIELLE ILLUSTRÉE
créée dans le but de veiller sur les monuments d’art de la france
la physionomie des villes
la défense du pittoresque et du beau
Architecture, Peinture, Sculptures, Curiosités, Souvenirs historiques,
Sites pittoresques.
À NOS LECTEURS
La nécessite de défendre les œuvres belles ou curieuses qui font l’ornement de notre patrie n’a plus besoin de démonstration : mais l’organisation des mesures de défense est urgente.
Tel est le but de la Revue que nous fondons aujourd’hui.
Elle servira de tribune à toutes les manifestations en faveur de la défense de nos monuments d’architecture, de peinture, de sculpture, de nos curiosités et de nos souvenirs historiques. Nous ne songerons pas moins au présent qu’au passé ; à cet effet, nous
veillerons sur la physionomie des quartiers nouveaux de nos villes
et sur la sauvegarde des aspects pittoresques de nos campagnes.
Ce qui caractérise cette Revue, c’est son souci de l’aspect des choses nouvelles, c’est son désir de défendre le beau sous toutes ses
formes, qu’il soit ancien ou nouveau, l’œuvre des hommes ou de la
nature.
Des études diverses, accompagnées de gravures reproduisant des
œuvres inédites ou peu connues de la France et de la France coloniale, compléteront notre œuvre, qui se propose de convaincre
plutôt que de critiquer, d’éclairer plutôt que de combattre ; aussi
les administrations qui décident du sort des choses s’habitueront-elles graduellement à trouver en nous non pas des opposants ou des
fâcheux, mais bien des alliés véritables et directs[1]. Nous rechercherons les moyens d’assurer le développement du goût public par
une décoration mieux entendue des rues, des places et des villes.
Ce recueil n’aurait-il d’autre but que d’enregistrer tout ce qui
disparaît en France, qu’il aurait déjà sauvé de l’oubli bien des
choses intéressantes. D’ailleurs une telle liste sera bientôt assez
longue pour faire sentir amèrement les richesses que nous perdons
chaque jour, sans que la grande masse du public français puisse en
avoir le moindre soupçon.
Le succès obtenu par le Bulletin de la Société des Amis des Monuments parisiens nous engage à adopter pour modèle cette publication qui a aujourd’hui fait son chemin ; notre Revue fera pour
la France ce qu’il fait pour Paris. Ce sont deux œuvres bien distinctes, mais qui se complètent mutuellement.
Les Sociétés régionales auxquelles leurs ressources ne permettraient pas la création de bulletins particuliers trouveront dans
l’Ami des Monuments un organe à leur disposition. Dans tous les
cas notre recueil centralisera, pour les répandre partout, les bons
exemples et les actes d’initiative généreuse annoncés dans des
bulletins locaux qui pourraient n’avoir qu’une publicité restreinte
en raison de leur multiplicité. Cette Revue étant une entreprise
toute privée, l’indépendance de chaque Société se trouve respectée, tout en assurant à chacune les avantages de la centralisation
et la force qu’on acquiert par l’association. Par ces moyens, les
efforts si dignes d’intérêt de tant de Comités et de Sociétés diverses seront connus de toute la France ainsi que de l’étranger. Il
importe qu’on sache au dehors les richesses admirables que nous
possédons chez nous ; tout esprit curieux voudra les connaître dès
qu’il soupçonnera les trous les recoins ignorés qui les recèlent.
Nous nous efforcerons de donner un grand attrait aux gravures
qui reproduiront des œuvres inédites ou peu connues : les articles
seront choisis avec le plus grand soin.
Nous donnerons une large place aux croquis, qui ont le charme
des vives impressions, ainsi qu’aux reproductions les plus précises.
Les érudits et les artistes des départements trouveront un organe
heureux d’accueillir leurs découvertes et leurs études si précieuses
et de leur donner la publicité méritée qui leur manquait jusqu’ici. Enfin notre Revue centralisera toutes les nouvelles relatives
aux actes de vandalisme que ses correspondants lui communiqueront.
Notre Revue est étrangère à toute idée de secte ou de parti, ainsi
qu’en témoignent les noms des membres de son Comité et de ses
fondateurs. La réunion, dans un même Comité, d’éléments si divers, manifeste d’une façon éclatante que, dans les arts, les généreuses
pensées dominent toute autre considération.
L’essai que nous tentons, à nos risques et périls, a besoin, pour réussir, du concours de tous ceux qui ont à cœur le triomphe de ces idées : ce que nous entreprenons de sauver, ce sont nos trésors d’arts et nos sites ; c’est surtout notre clair génie français, que l’exagération des tendances utilitaires et de l’esprit d’agiotage ou d’exploitation à outrance menace d’étouffer, tandis qu’il peut et doit encore éclairer et charmer le monde.
c. n.
MEMBRES FONDATEURS ET MEMBRES DU COMITÉ
de la
REVUE DES MONUMENTS FRANÇAIS
Nous avions l’intention de publier ici une liste donnant pour chaque
département les noms des membres du Comité. Mais cette liste n’étant
pas définitivement arrêtée, nous la donnons en suivant l’ordre alphabétique ; l’indication du département représenté par chacun de nos collègues
se trouve à la suite de son nom.
Nous n’avons pas voulu différer plus longtemps l’apparition du premier
numéro de la Revue, ni mettre dans l’impossibilité de se joindre à nous
bien des dévouements utiles qui se fussent ainsi trouvés écartés avant
que l’œuvre eût été portée à la connaissance du public. Mais nous donnerons le plus promptement possible la liste du Comité pour chaque département.
En fondant ce Comité, dont tant d’hommes d’une haute valeur ont
compris la nécessité, nous nous sommes proposés de créer un instrument
propre à réaliser le programme exposé ci-dessus. À chacun de signaler
les méfaits qu’il connaît, les idées qu’il jugera utile de répandre, d’indiquer les œuvres qu’il croira bon de faire connaître par des reproductions ou des descriptions ; à chacun des membres du Comité revient
l’honneur de propager partout cet amour du beau qui a réuni les
hommes les plus opposés sur un terrain commun, de lui gagner des adhérents dans tous les rangs de la société.
Pour donner à ce comité un moyen d’action, nous avons créé cette Revue, qui permettra de vulgariser les idées qui nous animent tous.
Plus nous la répandrons, plus nous aurons chance de voir nos efforts
aboutir. Nous ne négligerons aucune des améliorations qu’il nous sera
possible de réaliser. — C. N.
Voici les noms des fondateurs :
Allorge, architecte. — Seine-et-Oise.
Ancelet, architecte du Ministère des travaux publics. — Seine.
André, de la librairie André, Daly et
Cie.
André (Jules), architecte du Muséum, membre de l’Institut, inspecteur général des bâtiments civils.
Arnaud (comte), ministre plénipotentiaire, conseiller général de l’Aube. — Aube.
Audiat, président de la Société des Archives historiques de la Saintonge et de l’Aunis, à Saintes (Charente-Inférieure).
Auge de Lassus, homme de lettres. — Seine-et-Oise.
Auny, architecte, à Nancy. — Meurthe-et-Moselle.
Baillon (comte de), château de Chissay, par Montrichard. — Loir-et-Cher.
Ballu (Albert), architecte diocésain d’Alger.
Ballu (Roger), inspecteur des Beaux-Arts.
Barbey, architecte à Nancy. — Meurthe-et-Moselle.
Barre, président de la Société des Architectes de la Seine-Inférieure.
Beaurain (Narcisse), bibliothécaire de la ville de Rouen, à Rouen.
Berry (G.), conseiller municipal de Paris. — Seine.
Berthele (Joseph), archiviste du département des Deux-Sèvres, directeur de la Revue Poitevine et Saintongeaise. — Deux-Sèvres.
Bertrand (Émile), architecte diplômé par le gouvernement.
Bibliothèque de l’École des Beaux-Arts.
Bignon.
Blache, docteur.
Bonaparte (prince Roland).
Bon-Durand, archiviste du département du Gard, à Nîmes. — Gard.
Bouché, ancien intendant général de l’armée.
Boucher (
Mme Saint-Agnan).
Boulanger, peintre, membre de l’Institut.
Bourbonne (de). — Aube.
Le Bourgeois, ancien inspecteur de l’enseignement primaire. — Loire-Infér.
Boussard, directeur du Moniteur des Architectes. — Yonne.
Boyer, architecte. — Bouches-du-Rhône. Tonkin.
Bulot, architecte en chef du département de Seine-et-Marne.
Buquet (Charles), ancien adjoint au maire du VIe arrondissement.
Camille de la Croix (R. P.), membre correspondant du Ministère de l’instruction publique, directeur des fouilles de Sanxay.
Capelle, publiciste.
Champeaux (de), inspecteur des Beaux-Arts.
Chapu, statuaire, membre de l’Institut. — Seine-et-Marne.
Chardin, peintre. — Côtes-du-Nord.
Chardon, ingénieur. — Indre-et-Loire.
Le Chatellier, architecte diplômé par le gouvernement.
Chedanne, architecte.
Chevallier, architecte, président de la Société des architectes des Alpes-Maritimes.
Chevrier.
Combebiac, architecte du département de Tarn-et-Garonne.
Comte (Jules), directeur des Bâtiments civils et Palais nationaux.
Corroyer, architecte, inspecteur général des édifices diocésains. — Somme.
Dalligny, directeur du Journal des Arts. — Nièvre.
Daly (César), président honoraire de la Société des architectes des Alpes-Maritimes, directeur de la Revue d’Architecture et de la Semaine des Constructeurs. — Alpes-Maritimes.
Daly (Marcel), sous-directeur de la Semaine des Constructeurs.
Daumet, architecte, membre de l’Institut. — Oise.
Davoust, architecte diplômé par le gouvernement.
Debray, publiciste, à Rouen.
Depoin, secrétaire général de la Société historique et archéologique de l’arrondissement de Pontoise et du Vexin, à Pontoise. — Seine-et-Oise.
Deslignières, architecte diocésain de l’Aude, diplômé par le gouvernement.
Despois de Folleville, membre du Comité des Amis des Monuments rouennais.
Desportes (E.), architecte de la ville de Nogent-sur-Seine, à Nogent-sur-Seine. — Aube.
Didron, peintre-verrier, 6, boulevard d’Enfer.
Dormoy, architecte de la ville de Bar-sur-Aube, président de la Société des architectes de l’Aube, à Bar-sur-Aube. — Aube.
Drapeyron, secrétaire général de la Société de topographie de France, directeur de la Revue de Géographie. (Sites pittoresques.)
Dreyfus (G.), membre de la Commission des Monuments historiques, 101, boulevard Malesherbes.
Dubufe, peintre.
Dufour, bibliothécaire à Corbeil. — Seine-et-Oise.
Dupuis, publiciste.
Durand-Claye, ingénieur des ponts et chaussées, professeur à l’École des Beaux-Arts.
Durieux, à Nancy. — Meurthe-et-Moselle.
Duruy (Victor), membre de l’Institut.
Duvauchel, homme de lettres. — Oise.
Edwards, secrétaire honoraire de l’Egypt Exploration Fund, membre de la Société pour l’avancement des études helléniques.
Esperandieu (Émile), lieutenant d’infanterie, correspondant du Ministère de l’instruction publique, professeur à l’École militaire d’infanterie, à Saint-Maixent. — Deux-Sèvres.
Fauquet, vice-président des Amis des Monuments rouennais, conseiller municipal, à Rouen.
Favre (Félix), de l’Encyclopédie d’Architecture, membre du Comité des Amis des Monument parisiens.
Franklin, conservateur de la Bibliothèque Mazarine à l’Institut.
Garnier (Charles), architecte, membre de l’Institut, président de la Société des Amis des Monuments parisiens, inspecteur général des Bâtiments civils.
Gatines (René de), peintre, secrétaire de la Société libre des Artistes.
Gauchery, architecte à Vierzon.
Gauthier (Edmond), greffier au tribunal de Loches. — Indre-et-Loire.
Geay, architecte à Limoges.
Ginest (Étienne Saint-), architecte du Doubs, à Besançon.
Gillet, architecte du département de la Marne, à Châlons-sur-Marne.
Gion (Paul), architecte, rue de Tournon.
Giroud, architecte des Bâtiments civils, chargé des Haras de Cluny, membre correspondant de l’Académie de Mâcon. — Saône-et-Loire, Rhône.
Gosset, architecte à Reims. — Marne.
Grégoire, secrétaire de section de la Société de Topographie de France. (Sites pittoresques.)
Guillaume (abbé), secrétaire de la Société d’Étude des Hautes-Alpes, à Gap. — Hautes-Alpes.
Guillaume (Edmond), architecte du Louvre, membre du Comité des Amis des Monuments parisiens. — Nord.
Guillaume (Eugène), statuaire, membre de l’Institut, professeur au collège de France.
Guillon (Adolphe), peintre, du Comité des Amis des Monuments parisiens. — Yonne.
Guyot (Yves), député de la Seine. — Seine. Côtes-du-Nord.
Hanotaux (Karl), président du deuxième groupe de l’Alliance pour la propagation de la langue française. — Aisne.
Hardy, architecte diocésain du département du Tarn, de Nancy et de
Cambrai. — Nord, Meurthe-et-Moselle.
Henner, peintre. — Alsace.
Hermant (Jacques), architecte diplômé par le Gouvernement.
Hilaire (marquis de Queux de Saint-), président de la Société pour
l’avancement des Études grecques. — Char.-Inf., Nord.
Hoffbauer, architecte, auteur de Paris à travers les Ages.
Ideville (comte Henri d’), homme de lettres. — Puy-de-Dôme.
Joanne (Paul), directeur des Guides Joanne.
Jobbé-Duval, peintre, conseiller municipal. — Seine.
Josso, architecte diplômé par le Gouvernement. — Loire-Inférieure.
Juglar, professeur à l’École des Sciences politiques, vice-président de la Société d’Économie politique. — Calvados.
Julien, architecte diplômé par le Gouvernement, professeur à l’École des Beaux-Arts.
Julliot, président de la Société archéologique de Sens.
Lafenestre, conservateur adjoint de la peinture et des dessins au musée du Louvre, membre de la Commission de l’Inventaire général des richesses d’art de la France. — Loiret.
Laloux, architecte diplômé par le Gouvernement et de la basilique de Saint-Martin, à Tours — Indre-et-Loire.
Lameire (Ch.), peintre, membre de la Commission des Monuments
historiques. — Finistère.
Lamy (Ernest).
Lansyer, peintre — Indre-et-Loire.
Lasteyrie (Robert de) membre de la commission des Monuments historique.
Laurier, secrétaire général de la Préfecture de Marseille. — B.-du-Rhône.
Le Breton, conservateur du Musée céramique de Rouen, président de la Société des Monuments rouennais.
Leclerc, architecte du palais de Versailles, à Versailles — Seine-et-Oise, Haute-Garonne, Nord.
Legrand, agent voyer du département de la Nièvre.
Lejeune, architecte, membre de la Société des Amis des Monuments parisiens.
Lemonnier, professeur à l’École des Beaux-Arts, membre du Comité des Amis des Monuments parisiens. — Seine-Inférieure.
Lenoir (Albert), membre de l’Institut, président honoraire des Amis des Monuments parisiens, membre du Comité des Travaux historiques — Seine.
Lenoir (Alfred), statuaire, membre du Comité des Monuments parisiens.
Lenoir (Léon), architecte, à Nantes. — Loire-Inférieure.
Letrosne, architecte.
Lévy (Émile), du Moniteur des Architectes.
Lœbnitz, céramiste.
Lopez Sylva, peintre.
Louvier, architecte en chef du département du Rhône, membre correspondant de l’Institut, professeur d’architecture à l’École des Beaux-Arts de Lyon. — Rhône.
Mager, auteur de l’Atlas colonial, chargé du service des cartes coloniales et archéologiques de la Revue.
Magne (Lucien), architecte diocésain d’Autun. — Saône-et-Loire.
Maignan (Albert), peintre, secrétaire-adjoint du Comité des Amis des Monuments parisiens.
Marcel, architecte diplômé par le Gouvernement.
Marcille (Eudoxe), conservateur du musée d’Orléans. — Loiret.
Mareuse, architecte de l’Association polytechnique, secrétaire du Comité des Inscriptions parisiennes, secrétaire-adjoint des Amis des Monuments parisiens. — Gironde.
Marmottan (Paul), critique d’art.
Martinie (général), contrôleur général de l’armée, président de la Société de Topographie de France. (Sites pittoresques de la France.)
Massioul, architecte diocésain à la Rochelle. — Charente-Inférieure.
Mazet, architecte. — Creuse.
Ménorval (de), conseiller municipal. — Seine.
Mercié (Antonin), statuaire. — Haute-Garonne.
Métivier, architecte du département du Gers, à Auch.
Meyrargues, trésorier de l’Alliance pour la propagation de la langue française. — Avignon.
Michel (André), critique d’art. — Hérault.
Mieusement, photographe, attaché à la Commission des Monuments historiques. — Loir-et-Cher.
Millerand, député. — Seine.
Monnier, architecte, secrétaire-adjoint de la Société centrale des Architectes. — Jura ; Haute-Saône ; Doubs.
Monteil (Edgard), conseiller municipal. — Seine.
Millier (l’abbé Étienne), chanoine honoraire, à Senlis, correspondant du Ministère de l’instruction publique à Senlis. — Oise.
Muntz (Eugène), conservateur de l’École des Beaux-Arts de Paris. — Bas-Rhin ; Vaucluse.
Musset (Georges), conservateur de la bibliothèque et des musées de la Rochelle, correspondant du Ministère de l’instruction publique. — Deux-Sèvres.
Nicard (Pol), bibliothécaire de la Société des Antiquaires de France, membre du Comité de la Société des Amis des monuments parisiens. — Seine.
Nicaise (Auguste), correspondant du Ministère de l’instruction publique, à Châlons-sur-Marne. — Marne.
Nicolas, architecte en chef du département du Calvados, diplômé par le Gouvernement, à Caen. — Calvados.
Normand (Alfred), architecte, inspecteur général des édifices pénitentiaires.
Normand (Charles), architecte diplômé par le Gouvernement, secrétaire général de la Société des Amis des Monuments parisiens.
Oheix (Robert), de Savenay — Loire-Inférieure.
Olivier (Arsène), ingénieur. — Aube.
Orbigny (A. d’), président de la Société des Amis des Arts de la Rochelle — Charente-Inférieure.
Palustre (Léon), président honoraire de la Société française d’Archéologie, à Tours.
Paul (Georges Saint-), auditeur de
1re classe au Conseil d’État.
Planat, directeur de la Construction moderne.
Poggi (Paul), architecte inspecteur des édifices diocésains de la Corse.
Pons, architecte en chef de l’Aveyron.
Proth (Mario), homme de lettres. — Moselle.
Questel (Ch.), architecte, membre de l’Institut, président du Conseil des Bâtiments civils. — Seine-Inférieure.
Quellien. — Finistère, Morbihan, Côtes-du-Nord. (Traditions populaires.)
Rance (abbé), professeur à la faculté d’Aix, à Aix. — Bouches-du-Rhône.
Raulin, architecte diocésain d’Angers — Maine-et-Loire.
Read (Charles), ancien chef des Travaux historiques de la ville de Paris, ancien directeur du musée Carnavalet, membre de la Société des Antiquaires. — Lot-et-Garonne. Gironde. Loiret. Drôme.
Régamey, peintre, inspecteur de l’Enseignement du dessin.
Reinach (Salomon), ancien élève de l’École d’Athènes, conservateur-adjoint du musée de Saint-Germain, membre du Comité des Amis des Monuments parisiens et de la Commission archéologique de Tunisie. — Tunisie.
