L’Aube romantique/Texte entier

Paul Lafond
Mercure de France (p. --362).


L’AUBE ROMANTIQUE


Portrait d’homme signé T Laffond Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/9 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/10


JULES DE RESSÉGUIER



L’HOMME


Jules de Rességuier, né à Toulouse, le 28 janvier 1788, descendait d’une ancienne famille du Rouergue qui avait aidé Charles V à chasser les Anglais de cette province. Au commencement du xvie siècle, les Rességuier vinrent se fixer dans la capitale du Languedoc où l’un d’eux occupa une place au Parlement. Depuis lors, ils ne quittèrent plus cette ville et lui fournirent une longue suite de magistrats, dont cinq présidents aux enquêtes[1]. Le dernier, Procureur général au moment de la Révolution, dut se cacher, sous la Terreur, pour éviter l’échafaud ; sa femme fut, peu après, contrainte à prendre le chemin de l’exil et à la suite de bien des difficultés, des transes et des dangers, gagna l’Espagne par les Pyrénées centrales. Leurs enfants, Adrien et Jules, Adrien, qui fut maire de Toulouse sous la Restauration, né en 1786, Jules, né deux ans plus Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/14 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/15 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/16 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/17 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/18 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/19 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/20 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/21 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/22 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/23 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/24 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/25 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/26 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/27 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/28 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/29 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/30 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/31 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/32 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/33 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/34 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/35 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/36 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/37 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/38 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/39 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/40 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/41 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/42 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/43 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/44 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/45 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/46 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/47 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/48 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/49 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/50 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/51 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/52 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/53 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/54 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/55 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/56 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/57 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/58 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/59 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/60 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/61 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/62 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/63 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/64 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/65 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/66 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/67 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/68 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/69 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/70 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/71 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/72 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/73 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/74 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/75 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/76 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/77 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/78 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/79 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/80 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/81 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/82 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/83 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/84 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/85 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/86 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/87 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/88 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/89 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/90 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/91 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/92 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/93 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/94 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/95 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/96 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/97 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/98 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/99 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/100 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/101 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/102 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/103 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/104 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/105 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/106 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/107 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/108 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/109 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/110 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/111 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/112 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/113 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/114 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/115 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/116 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/117 nous disions que rien n’est plus charmant que Mlle de…

    Un jour bientôt, grande et belle Cécile,
    Il faudra donc autrement vous nommer.
    Tâchez, du moins, de prendre un nom facile.
    Mais faudra-t-il autrement vous aimer ?

Jamais, adieu.

ÉMILE [deschamps].
Mardi 8 h. du matin.

Si vous alliez voir Soulié (118) pour quelque chose, cela pousserait, j’en suis sûr, notre article de la Quotidienne.


XLIV. — De Mlle Delphine Gay.

Un rhume nous retient ce soir au coin du feu ; si vous n’avez rien de mieux à faire, vous seriez bien aimable de venir nous donner de vos nouvelles et parler un peu des Jeux Floraux. Je voudrais bien aussi savoir où en est la Femme à la mode.

DELPHINE GAY.
Ce lundi.

XLV. — De Mme Sophie Gay (119).

Rome, décembre 1829.

D’après ce que je lis dans les journaux, il me semble que nous avons un compliment de plus à vous faire et nous vous l’adressons du fond du cœur. Sachez bien que tout ce qui vous arrive d’heureux (120) retentit jusqu’aux rives du Tibre et qu’il y a dans cette vieille Rome deux pèlerines qui ne voient rien de beau, de saint, de poétique, sans penser à leur aimable troubadour (121). Hier, en recevant des vers admirables de M. de Lamartine, nous nous sommes écriées : « Ah ! si le cher Émile et son ami étaient là, qu’ils seraient enchantés de cette confidence ! »

J’avais mandé à M. de Lamartine le désastre de Tivoli, la disparition de ces belles cascades que l’on croyait devoir durer autant que les Odes d’Horace ; cette inondation, ce jeu barbare de la nature devait inspirer le génie de sa mélancolie ; il a modulé sur ce triste sujet une espèce d’harmonie dont je voudrais pouvoir vous faire parvenir les sublimes accords, mais ce serait trahir la confiance dont nous sommes si fière ; jugez-en seulement par ces vers épars :

Ah ! faut-il s’étonner que les empires tombent,
Que de nos faibles mains les ouvrages succombent,
Quand ce que la nature avait fait éternel
S’altère par degrés, et meurt comme un mortel ;
Quand un fleuve écumant qu’ont ru couler les âges
Disparaît tout à coup, laisse à nu ses rivages ?

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Italie ! Italie ! ah I pleure tes collines,

Où l’histoire du monde est écrite en ruines ;
Sur tes monts glorieux, chaque arbre qui périt.
Chaque rocher miné, chaque urne qui tarit,
Chaque fleur que le soc brise sur une tombe,
De tes sacrés débris, chaque pierre qui tombe,
Au cœur des nations retentissent longtemps.
Comme un coup plus hardi, de l’audace du temps,
Quel que soit le destin que couvre l’avenir,
Rome, enveloppe-toi de ton grand souvenir !
Que t’importe où s’en vont l’empire et la victoire ?
Il n’est point d’avenir égal à ta mémoire (122) !

Je vous connais ; je sais que vous me saurez bon gré de ces citations ; mais ce n’est pas tout ; il faut m’en récompenser en nous envoyant bien vite, bien vite, les beaux vers que Delphine a eu le bonheur d’inspirer :

    Homère en la voyant, Homère… (123).

J’ai fait la faute de vous les rendre pour en obtenir une meilleure copie, c’est ma complaisance que nous déplorons tous les jours, car on n’a jamais rien fait de plus gracieux, de plus flatteur et nous serions très fières de nous parer ici de ce poétique hommage ; si vous pouvez l’accompagner de quelque autre chant de notre charmant troubadour, nous serions trop heureuses ; en remettant tout cela à M. Lourgeat, au ministère des Affaires étrangères, il nous le ferait parvenir par M. le duc de Laval (124), qui est parfait pour nous.

Mon Dieu que nous vous regrettons dans ces ruines parlantes ! Car pour la Rome moderne, excepté les pompes sacerdotales, qui en font comme une espèce de Cour du ciel, le reste n’est qu’une suite de raoûts tels qu’on en voit partout.

Nous étions venues ici dans l’espoir de travailler, il n’y a pas moyen ; dès qu’il fait un rayon de soleil, on va se perdre dans les ruines ; le soir, ce sont des dîners, des concerts, des bals ; le lendemain, des cérémonies religieuses ; enfin, Delphine n’a trouvé que le moment de faire une trentaine de vers pour les prisonniers rendus par nous au Pape (125). Il est vrai qu’ils nous ont valu l’honneur de lui être présentées et d’entendre Sa Sainteté adresser à l’auteur de Magdeleine (126) les plus saints encouragements.

Je vous assure que c’était quelque chose d’intéressant à voir que cette jeune Muse chrétienne à demi cachée sous un long voile, prosternée devant le royal pontife et recevant sa bénédiction comme la récompense de sa pureté et comme les promesses des bontés du ciel ; tout cela dans le plus beau temple du monde. C’était un spectacle digne de vos regards poétiques.

Mais, au milieu de tant d’intérêts différents, nous sommes toujours occupées de notre chère France et des amis que nous y avons laissés. Nous espérons leur souvenir, nous en réclamons des preuves. Dites, je vous prie, à l’auteur de Cinq-Mars (127) que son ouvrage obtient ici le même succès qu’à Paris auprès du peu de lecteurs qui peuvent se le procurer, car les livres sont ici beaucoup plus rares que les diamants. On n’y vit que du passé, c’est la seule nourriture qu’on y permette à l’esprit. Notre cœur s’arrange fort bien de ce régime, mais l’imagination en maigrit visiblement.

Vous nous aimez toujours n’est-ce pas ? Vous parlez quelquefois de nous avec Émile, Alfred, les deux Alexandre (128) et cette bonne Mme Duchambge (129), dont les romances font fureur dans nos petits cercles, chez la duchesse de Saint-Leu (130). Delphine prétend qu’on croit chercher des inspirations, des comparaisons dans ces contrées si riches de souvenirs ; mais qu’on ne se sert bien de tout cela qu’auprès de vous et que le plaisir d’être écoutée, sentie, donne tout le courage de rimer ce qu’on rêve.

Cette vérité nous ramènera ce printemps, si non en France, au moins sur la frontière ; nous reviendrons nous reposer dans quelque chalet de la Suisse et là, nous vivrons encore de l’espérance de vous revoir tous.

C’est un voyage si beau (131), si prompt, si facile à faire ! Il me semble que la santé de la comtesse Jules, celle de son charmant Albert, la vôtre, doivent vous rendre cette promenade indispensable. Avec quelle joie vous seriez reçus par les deux pèlerines ! Adieu, en voilà bien assez long pour vous prouver toute notre amitié.

S. GAY.


XLVI. — D’Alexandre Soumet.

Je ne suis instruit de vos nouveaux honneurs que par la renommée, cher ami ; le premier journal que j’ai lu depuis six mois m’a offert votre nom et je suis heureux de vous savoir Maître des requêtes parce que la place exige la résidence. Je vous avais parlé, l’autre jour, de mon procès avec la Maison du Roi et je suis sûr que votre nomination n’est qu’une ruse de l’amitié qui est chargée du rapport.

J’irai vous féliciter aussitôt que Paris sera navigable.

SOUMET.
Lundi, janvier 1827.


XLVII. — De Mme Sophie Gay.

La jeune Muse (132) supplie son cher troubadour de jeter les yeux sur ces deux pièces de vers pour voir s’il les croit dignes d’obtenir quelques palmes des Jeux Floraux (133), car après avoir trouvé tant de nobles encouragements à notre Académie, elle ne voudrait pas échouer à la vôtre. Voilà le soin qu’elle remet à votre bonne amitié, c’est vous qu’elle charge de l’envoi, de la petite intrigue ; car où n’en faut-il pas ?

Vous avez été malade, je vous pardonne de n’avoir pas répondu à mon éternelle lettre ; aussi, je ne vous dis que ce mot pour ne pas vous effrayer ; mais, je prie le charmant Albert de nous y répondre pour nous rassurer sur votre santé et votre souvenir ; le nôtre est tout à notre cher troubadour.

S. G[AY].

Rome, 2 février 1825.


XLVIII. De Mme Sophie Gay.

Manquer deux fois le bonheur de vous recevoir, c’est être trop malheureuse et puis, vous savoir encore souffrant. Les médecins sont donc des imbéciles ! Et tenez, Esculape n’est pas même un bâtard d’Apollon, puisqu’ils ne peuvent rien pour le poète qui fait les plus jolis vers du monde.

Delphine, qui aime encore mieux la poésie que la gloire, regrette presque d’être l’occasion de ces vers charmants ; car elle les dirait sans cesse. Jamais la flatterie n’a employé de plus doux accents pour séduire. C’est bien l’harmonie la plus céleste et la plus dangereuse. Oh ! ce plaisir d’être ainsi chantée doit consoler de bien des peines !

Donnez-nous de vos nouvelles et venez chercher nos remerciements, sans compter des amitiés fort tendres.

SOPHIE GAY.

12 avril.


XLIX. — De Belmontet (134).

Château de Bouais par Bousquet, 9 mai 1827.

Ce n’est pas par oubli, digne chevalier des Muses, que je n’ai point été vous dire adieu ; mon cher poète, on ne vous oublie jamais, ni vous, ni vos vers charmants. Pressé d’occupations sans nombre, à peine m’est-il resté le temps de faire mes paquets. Et certes, si quelque chose me fâche, c’est de n’avoir pas fini par vous mon séjour à Paris, pour en emporter une image plus riante. Vous êtes si aimable, si bon, qu’il est impossible de n’être pas content quand on vous voit et plein de regrets, quand on vous quitte.

J’espère du moins que votre riante et gracieuse poésie viendra nous consoler de votre éloignement. Votre beau et élégant recueil nous est promis ; vous êtes sommé par nos nobles châtelaines, de tenir votre promesse au plus vite. Vous les avez si bien séduites par votre poésie enchanteresse qu’elles ne parlent que d’entendre vos vers. Elles font chorus avec tous ceux qui vous ont entendu. .le regrette de ne pas connaître le plan de votre grand poème et voudrais en demander quelques fragments à votre complaisance. C’est un sujet où vous écrirez avec votre âme inspirée, c’est là que vous achèverez d’illustrer votre beau nom. Le fonds, le merveilleux de la fatalité, la grandeur de la chute, le touchant du drame, tout est majestueux, tout vous convient parfaitement ; faites don à la France d’une noble composition qui lui reste. Vous le pouvez, vous avez un grand talent, de la poésie d’images, la chaleur du midi, l’enthousiasme du beau.

La veille de mon départ, mon noble ami, j’ai fait une lecture de la Fête sous Néron (135), chez Lefèvre (136). Il y avait Émile, Pichald, Victor, Alfred ; je ne sais ce qu’ils en pensent ; ils m’ont fait des observations, les unes bonnes, les autres toutes différentes, à mon avis. Mais, dans tout cela, pas de hautes raisons motivées. Quelques réflexions de goût, mais toujours des opinions systématiques, chacun selon son point de vue ; quelques plaisanteries que mes auditeurs jetaient de temps en temps, des allusions aux affaires du jour, les ont empêchés d’avoir ce calme grave qui doit bien écouter pour bien juger. Mon cinquième acte a eu l’effet tout contraire qu’il eut à ma première lecture. Que penser ? À travers ce conflit de jugements, il est bien difficile de reconnaître la vérité des émotions résultant du drame.

Vous, mon ami, qui êtes franc, loyal et vrai, ditesmoi ce qu’on en dit, sans réserve, quels sont les défauts qu’on me reproche, quels conseils dois-je suivre ? Soyez assez bon pour ne me rien cacher. Ne craignez pas de me blesser . Je crois que la bonne et saine sévérité fait toujours du bien. Au moment de remettre l’ouvrage sur le métier, éclairez-moi, je vous prie, sur les défauts réels, pour les corriger avant la lecture à la Comédie française* Soumet, Guiraud et les autres s’expliqueront mieux loin de moi, puisqu’ils n’auront pas peur de me désobliger.

Je compte sur votre affection, comme vous devez compter sur la mienne, si jamais vous en avez besoin. Je serai toujours prêt à tout faire pour l’intérêt de ce qui vous regarde.

Faites donc imprimer votre recueil et qu’il vienne me donner du plaisir pour longtemps.

Adieu, cher ami, personne ne vous aime plus que moi. Rendez-m’en un peu, s’il vous plaît ; mes respectueux hommages à Mme de Rességuier.

Tout à vous,

L. BELMONTET. Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/128 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/129 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/130 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/131 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/132 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/133 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/134 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/135 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/136 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/137 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/138 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/139 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/140 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/141 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/142 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/143 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/144 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/145 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/146 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/147 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/148 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/149 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/150 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/151 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/152 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/153 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/154 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/155 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/156 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/157 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/158 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/159 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/160 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/161 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/162 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/163 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/164 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/165 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/166 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/167 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/168 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/169 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/170 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/171 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/172 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/173 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/174 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/175 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/176 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/177 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/178 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/179

J’ai dit à ce que je croyais en bien mauvais vers, ce que j’avais éprouvé, mais je dirai comme le brave Duguesclin à la princesse de Galles : ie commence à n’avoir plus si mauvaise opinion de moi puisque les poètes me traitent bien. Merci, monsieur, du plaisir que vous m’avez fait, en devinant tout le prix que j’attachais à une marque d’approbation de votre part.

AMABLE TASTU.

Paris, lundi.


C. — De Mme Sophie Gay.

Un deuil cruel m’attendait au retour de cette journée si douce passée dans votre famille, cher Jules, plaignez-moi.

Je vous rappelle la promesse de vos jolis vers que mon imprimeur attend.

Mille tendres amitiés (201). J’oublie toujours votre nouvelle adresse.

SOPHIE [GAY].

Samedi.


CI. — De Mme Sophie Gay.

Il fallait tous mes chagrins et notre deuil, cher Jules, pour nous empêcher d’aller vous remercier de votre bon souvenir et d’offrir tous nos vœux à Mme de Rességnier pour cette année ; il y aura bien du malheur si elle ne vaut pas mieux que l’autre.

Si vous n’avez rien à faire ce soir, venez entendre une nouvelle que M. de Balzac (202) doit nous lire au coin du feu.

Mille et mille tendresses.

SOPHIE [GAY].

Mercredi, 5 janvier [1831].


CII. — De Mme Sophie Gay.

Puisque vous ne venez pas recevoir nos remerciements, nos admirations, il faut bien vous les écrire ; mais non, cela prendrait trop de temps et nous aimons mieux le passer à vous relire. Si le succès pouvait consoler des chagrins du cœur (203), je ne vous plaindrais pas, mais vous souffrez pour vos amis et nous vous connaissons assez bête pour ne trouver aucune ressource dans votre esprit contre le malheur.

Venez nous en parler, à nous qui vivons tristement aussi et qui vous aimons beaucoup.

SOPHIE [GAY].

12 janvier [1831].


CIII. — D’Alphonse de Lamartine

C’est en vers qu’il faut répondre à de pareils Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/182 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/183 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/184 le poêle le plus pur et le plus mobile en même temps. Les cordes de votre lyre sont élastiques et ne se brisent pas plus qu’elles ne se faussent.

À quand la lecture de vos cinq actes (208), à quand votre santé complète ? Un mot de tout cela et plaignez-nous d’être auprès de notre feu, aussi loin du vôtre. J’ai la tète, la poitrine et la gorge en feu, sans compter le reste, et Aglaé souffre beaucoup plus que moi.

Adieu, cher ami, adieu, faites-moi donc taire.

ÉMILE DESCHAMPS.

P. S. — Je vous donnerai le deuxième volume dès que vous m’aurez rendu le premier, afin que je le fasse courir encore.


CV. — De Mme Sophie Gay.

Il y aura demain un an que, par cette même pluie, la personne la plus aimable est venue me compléter par sa présence le bonheur de jeunes mariés (209) qui ont la bonhomie de s’aimer aujourd’hui comme ce jour-là.

Ne viendra-t-elle pas aussi leur dire qu’il est ridicule de dépasser ainsi les mois de miel ? Ce serait une grande joie pour la famille de prendre le thé, demain soir de bonne heure, avec cette charmante fée qui porte tant de bonheur à ceux qu’elle affectionne. Et puis, nous voudrions Paul et Albert, et aussi Charles, car Amelata lui ferait les honneurs du baba. Quant à l’ingrat Jules, à qui je gardais deux gros volumes, je lui promets de ne pas l’en assommer s’il nous garde quelques moments.

Ma triste convalescence a été chercher dernièrement toute cette aimable famille et pourtant, je vais bientôt partir pour mes champs et je n’aurai plus que son souvenir et des regrets, car nous l’aimons tendrement.

SOPHIE [GAY].

Jeudi, 31 mai [1832].


CVI. — D’Émile Deschamps.

Paris, 6 septembre 1832.

Eh bien ! mon cher Jules, vous avez couru les montagnes, pour la santé de tous les autres ; car pour vous, ce sont, je l’espère, les eaux de la Seine qu’il vous faut. Comment se trouvent votre belle-sœur, votre frère, leurs enfants et Nina ? Les Monts d’Or ont-ils continué cette année leur miracle de l’année dernière ? Et vos trois fils ? Voyez que de choses et combien nous avons à penser ; en revanche, nous n’avons plus rien à faire ; que faire sans vous ? Sinon, vous désirer, vous demander, vous Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/187 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/188 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/189 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/190 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/191 Vous avez été mis en prison ! Cela manquait à votre vie de poète. Je vous en félicite et je m’en réjouis ; nous aurons sur votre captivité une ravissante composition poétique.

Mettez-moi aux pieds de Mme de Rességuier.


CIX. — De Mme Delphine Gay de Girardin.

Emile devait aller chez vous, ce matin, chercher votre ravissant article pour la Mode (218) ; mais il lui a été impossible de sortir. Avez-vous été assez bon pour penser à ce mot pour la Quotidienne ? Je suis bien ennuyeuse, n’est-ce pas, mais vos flatteries sont si douces qu’il est permis de les demander. L’importunité cette fois est pardonnable.

À bientôt et à jeudi ; je vous prie de me rappeler au souvenir de M"* de Rességuier et de dire pour moi mille tendresses au petit poète en herbes qui confond déjà ses rêves avec la vie.

D. G. DE G[IRARDIN].


CX. — De Mme Sophie Gay.

Cher troubadour,

Faites-nous donner de vos nouvelles et venez nous en donner vous-même ce soir, si le froid ne vous fait pas peur. Vous nous trouverez seules, au coin du feu, cherchant à nous rappeler vos vers d’autrefois et brûlant de vous entendre nous les redire.

Mille sincères tendresses.

G. G [ay].


CXI. — De Mme Pauline Duchambge.

Voulez-vous me prouver que vous m’aimez encore ? Delphine me dit que vous avez fait des paroles ravissantes susceptibles d’être mises en musique. Elle ajoute même qu’elle vous a dit : « donnez lui. » Si vous m’aimez, envoyez-les-moi. Je vous jure de vous les renvoyer à l’instant, si je ne puis les mettre sous mes chants.

Je vais voir si je suis encore dans le souvenir de votre cœur. PAULINE [duchambge].


CXI. — De la comtesse d’Agoult (219).

Croissy (220) par Lagny, lundi.

J’envoie chercher chez vous, monsieur, un album (221) qui j’espère, après une aussi longue absence, aura beaucoup vu et surtout beaucoup retenu ; je serais bien heureuse que vous ou monsieur votre fils, vous ayez la bonne idée de me le rapporter à Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/194 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/195 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/196 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/197 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/198 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/199 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/200 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/201 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/202 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/203 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/204 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/205 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/206 Page:Lafond - L Aube romantique.djvu/207 tirer une balle sur des brigands si bons poètes ; à la place de Fernand, je les aurais respectés et j’aurais voulu faire partie de cette société de gens de lettres que vous voulez bien nommer bande de voleurs.

Mille remerciements, cher troubadour, ne venez-vous donc jamais à Paris qu’on ne vous voit pas ?

DELPHINE G. DE G[IRARDIN].


Le 26 août [1835].

CXXXI. — De Mme Sophie Gay.

Voici bien du temps passé sans avoir de vos nouvelles, mon cher Jules ; si je n’étais dans les ennuis d’une nouvelle publication, j’irais en chercher moi-même et vous remercier encore de vos jolis vers. Vous en aurez incessamment l’épreuve ; ils sont pour le prochain n° qui paraîtra trois jours après le premier, à cause des débauches du carnaval ; les ouvriers imprimeurs en sont encore ivres.

Comment va toute cette charmante et si chère famille ?

Moi, j’ai toujours l’âme et la tête bien malades.

S. G[AY].


Samedi matin. 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TABLE


jules de rességuier. — L’Homme 
 7
jules de rességuier. — L’Œuvre 
 29


LETTRES
d’alexandre soumet 
 51
de Mme de rémusat 
 52
de Mme de rémusat 
 52
d’alexandre soumet 
 54
d’alexandre soumet 
 55
de victor hugo 
 57
de victor hugo 
 60
d’alexandre soumet 
 54
d’alexandre soumet 
 63
10 
d’alexandre soumet 
 66
11 
d’alexandre soumet 
 68
12 
d’alexandre soumet à Mme de rességuier 
 69
13 
d’alexandre soumet à Mme de rességuier  
 71
14 
d’alexandre soumet 
 73
15 
de victor hugo 
 74
16 
de victor hugo 
 77
17 
de victor hugo 
 80
18 
de victor hugo 
 81
19 
de victor hugo 
 83
20 
de victor hugo 
 84
21 
d’alexandre soumet 
 86
22 
d’alexandre soumet 
 87
23 
de n. a. de salvandy 
 89
24 
de l. vatout 
 90
25 
d’alexandre soumet 
 90
26 
de victor hugo 
 91
27 
d’alexandre soumet 
 91
28 
d’alphonse de lamartine à ch. gosselin 
 92
29 
d’aldred de vigny 
 93
30 
d’aldred de vigny 
 96
31 
d’émile deschamps 
 99
32 
d’émile deschamps 
 100
33 
d’alexandre soumet 
 102
34 
d’alexandre soumet 
 105
35 
d’alexandre soumet 
 106
36 
de l. vatout 
 106
37 
de l. vatout 
 107
38 
d’émile deschamps 
 108
39 
de victor hugo 
 108
40 
de victor hugo 
 109
41 
d’émile deschamps 
 110
42 
d’émile deschamps 
 111
43 
d’émile deschamps 
 113
44 
de Mlle delphine gay 
 114
45 
de Mme sophie gay 
 114
46 
d’alexandre soumet 
 119
47 
de Mme sophie gay 
 119
48 
de Mme sophie gay 
 120
49 
de belmontet 
 121
50 
d’émile deschamps 
 124
51 
d’alexandre soumet 
 124
52 
d’aldred de vigny 
 125
53 
de ch. brifaut 
 125
54 
de de sainte-beuve 
 127
55 
d’h. t. de latouche 
 128
56 
de Mme a. tastu 
 129
57 
de chateaubriand 
 130
58 
d’aldred de vigny 
 131
59 
d’aldred de vigny 
 132
60 
d’a de saint-valry 
 135
61 
de la princesse de chimay 
 135
62 
de fr. roger 
 135
63 
d’andrieux 
 137
64 
d’h. t. de latouche 
 137
65 
d’h. t. de latouche 
 139
66 
de mme fodor-mainvielle 
 140
67 
d’h. t. de latouche 
 141
68 
d’h. t. de latouche 
 142
69 
d’h. t. de latouche 
 143
70 
d’h. t. de latouche 
 144
71 
d’h. t. de latouche 
 145
72 
de mlle george 
 146
73 
de v. j. e. de jouy 
 146
74 
de charles nodier 
 147
75 
d’eugène sue 
 147
76 
d’émile deschamps 
 148
77 
d’émile deschamps 
 149
78 
de victor hugo 
 151
79 
d’alexandre soumet 
 152
80 
d’alexandre soumet 
 152
81 
d’alexandre soumet 
 153
82 
d’abel villemain 
 154
83 
d’abel villemain 
 154
84 
de mme ancelot 
 155
85 
de mlle elisa mercoeur 
 156
86 
de n. a. de salvandy 
 157
87 
d’h. t. de latouche 
 158
88 
d’aldred de vigny 
 158
89 
d’émile deschamps 
 159
90 
d’aldred de vigny 
 160
91 
d’émile deschamps 
 160
92 
d’émile deschamps 
 162
93 
d’émile deschamps 
 164
94 
d’alexandre soumet 
 167
95 
d’émile deschamps 
 168

96 D’ALEXANDRE SOUMET 170
97 D’ÉMILE DESCHAMPS 171
98 D’ALEXANDRE SOUMET 174
99 DE Mme A. TASTU 175
100 DE Mme SOPHIE GAY 176
101 DE Mme SOPHIE GAY 176
102 DE Mme SOPHIE GAY 177
103 D’ALPHONSE DE LAMARTINE 177
104 D’ÉMILE DESCHAMPS 179
105 DE Mme SOPHIE GAY 181
106 D’ÉMILE DESCHAMPS 182
107 DE JULES DE SAINT-FELIX 185
108 DE JULES DE SAINT-FELIX 187
109 DE Mme DELPHINE GAY DE GIRARDIN 188
110 DE Mme SOPHIE GAY 188
111 DE Mme PAULINE DUCHAMBGE 189
112 DE LA COMTESSE d’AGOULT 189
113 D’ÉMILE DESCHAMPS 190
114 D’ÉMILE DESCHAMPS 191
115 DE Mme DELPHINE GAY DE GIRARDIN 192
116 DE Mille DELPHINE GAY DE GIRARDIN 192
117 DE CH. DE SAINT-VALRY 198
118 DE A. DE CUSTINE 194
119 DE A. DE CUSTINE 195
120 D’ÉMILE DESCHAMPS 196
121 D’EUGÈNE SUE 196
122 DE A. DE BEAUCHESNE 197
123 DE Mlle GABRIELLE SOUMET 197
124 D’ALEXANDRE SOUMET 198
125 D’EUGÈNE DE PRADEL 199
126 D’EUGÈNE DE PRADEL 200
127 DE Mme GABRIELLE SOUMET-DALTENHEIM 201
128 D’ALFRED NETTEMENT 202
129 D’ALFRED NETTEMENT 203
130 DE Mme DELPHINE GAY DE GIRARDIN 203
131 DE Mme SOPHIE GAY 204
132 DE Mme DELPHINE GAY DE GIRARDIN 205

133 DE Mme DELPHINE GAY DE GIRADIN 205
134 Mme DELPHINE GAY DE GIRADIN 205
135 DE Mme SOPHIE GAY 206
136 DE Mme DELPHINE GAY DE GIRADIN 206
137 Mme DELPHINE GAY DE GIRADIN 207
138 DE N. A. DE SALVANDY 207
139 DE N. A. DE SALVANDY 207
140 DE Mme MARIE NODIER-MENNESSIER 208
141 DE Mme MARIE NODIER-MENNESSIER 210
142 DE Mme SOPHIE GAY 210
143 DE A. DE BEAUCHESNE 211
144 DE CHATEAUBRIAND 212
145 DE ROGER DE BEAUVOIR 212
146 D’H. T. DE LATOUCHE 213
147 DE A. DE BEAUCHESNE 215
148 DE Mme MARIE NODIER-MENNESSIER 216
119 DE Mme A. TASTU 217
150 DE MGR OLIVIER 218
151 D’ALEXANDRE SOUMET 219
152 D’ÉMILE DESCHAMPS 221
153 D’ÉMILE DESCHAMPS 222
154 D’ÉMILE DESCHAMPS 223
155 D’ÉMILE DESCHAMPS 224
156 D’ÉMILE DESCHAMPS 226
157 DE J. A. WALSH 226
158 DE J. A. WALSH 227
159 DE MGR DUPANLOUP 228
160 DE A. DE BEAUCHESNE 229
161 DE MME DESBORDES-VALMORE 230
162 D’ALEXANDRE SOUMET À Mme DE RESSÉGUIÉR. 231
163 D’ALEXANDRE SOUMET 234
164 D’ÉMILE DESCHAMPS 234
165 D’ALFRED DE MUSSET 235
166 D’ÉMILE DESCHAMPS 235
167 D’ÉMILE DESCHAMPS 236
168 d’ALPHONSE DE LAMARTINE 237
169 DE Mme MARIE NODIER-MENNESSIER 238

1 70 dk montalembert 238
171 de m°^® gabrihlle soumkt-daltenheim. 24o
172 d’alexandre soumet. . . . , 240
173 d’aLPHONSE du LAMARTINE 2^1
174 DE J ; REBOUL 242
175 DE M^^^ GABRIELLE SOUMET-DALTENHEIM 243
176 DE M’^* DELPHINE GAY DE GIRARDIN , 243
177 DE Miîie GABRIELLE SOUMET-DALTENHEIM 244
I 78 DE M™ô SOPHIE GAY . 24O
179 d’alexandre SOUMET 247
180 d’alexandre soumet 249
181 d’alexandre soumet , . , 25o
182 d’aLFRED de VIGNY 25 I
183 d’aLFRED de VIGNY 252
184 du r. père lacordaire 253
1 85 d’emile desghamps 254
186 DE lamothe-langon 256
1 87 DE lamothe-langon 262
1 88 DE ii.^^ PAULINE DUCHAMBGE 267
189 DE LAMOTHE-LANGON 269
190 d’emile DESCHAMPS 276
191 DE BERRYER 277
192 d’emile DESGHAMPS 278
NOTES 281

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