9 mai. — Dîné chez Piron, et vu le soir Nina, de M. Coppola[1]. Il est impossible d’imaginer rien de plus insipide.
— J’aime beaucoup Piron : c’est le seul ami que j’aie, comme on peut l’être à notre âge. Il me contait en revenant l’histoire de la Diligence de Lyon[2].