Journal (Eugène Delacroix)/12 mai 1847
12 mai. — Vu M. Boileux[1], de Blois. Est venu me demander avec empressement mes Juifs du Salon pour un amateur de son pays ; c’est un peu tard.
J’avais mille choses à faire avant mon départ pour Champrosay : le mauvais temps, la paresse me font remettre.
Vers trois heures, je réponds à Mme Sand, hélas !
Lu les Mousquetaires jusqu’à cette heure-là ; fort amusé.
M. L. Ménard[2] : l’avertir de la terminaison des peintures à la Chambre des députés.