Journal (Eugène Delacroix)/12 juillet 1856

Texte établi par Paul Flat, René Piot, Plon, 1893 (tome 3, p. 164).

bookJournalEugène DelacroixPlon1893ParisCtome 312 juillet 1856Delacroix - Journal, t. 3, éd. Flat et Piot, 3e éd.djvuDelacroix - Journal, t. 3, éd. Flat et Piot, 3e éd.djvu/13164

12 juillet. — Où est la petite vue sur toile peinte à l’huile d’après nature ?… Je crois que je l’ai donnée à rentoiler.

Nous allons voir les Femmes savantes et Amphitryon, le cousin et moi^[1].

↑ Eugène Delacroix, qui avait depuis longtemps ses entrées à la Comédie-Française, put applaudir ce soir-là MM. Provost, Geffroy, Régnier, Got, Mmes Nathalie, Bonval et Thénard dans la première pièce, où Mlle Édile Riquer continuait ses débuts par le rôle d’Henriette, et MM. Samson, Régnier, Beauvallel, Geffroy et Mlle Judith dans Amphitryon. L’administrateur général était alors M. Empis.

[1] Eugène Delacroix, qui avait depuis longtemps ses entrées à la Comédie-Française, put applaudir ce soir-là MM. Provost, Geffroy, Régnier, Got, Mmes Nathalie, Bonval et Thénard dans la première pièce, où Mlle Édile Riquer continuait ses débuts par le rôle d’Henriette, et MM. Samson, Régnier, Beauvallel, Geffroy et Mlle Judith dans Amphitryon. L’administrateur général était alors M. Empis.

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