Histoire socialiste/Table analytique/R
Table analytique
Rabastens (V.), IV, 1272,
Rabaud (Camille), IV, 1392.
Rabaut-St-Etienne. I, 644 ; ses articles, en aparence hardis, mais superficiels, sur les questions sociales, IV, 1006 et sq : ils témoignent, en tous cas, du travail des esprits, à l’époque où ils furent écrits, 1009 ; 1190 ; membre de la Commission des Douze, i31o ; 1342 ; 1353 ; son rôle le 31 mai, 1408 ; 1437 ; décrété d’arrestation le 2 juin 1447 ; son jugement sur Cloots, 1512 ; 1546.
Rachel, IX, 14.
Radcliffe (Mme). Traduction de ses œuvres, V, 219.
Radet. Condamné à mort, VII, 112.
Radicaux. Leurs progrès en 1875, XII, 175 ; leur campagne électorale de 1875, 183 ; leurs succès, 184 ; Gambetta et Clemenceau, dans la Chambre de 1881, 239.
Radziwill, XI, 220.
Raflet, élu commandant de la garde nationale, IV, 1606.
Raguse (duc de). Cf. Marmont.
Raimbaut, membre du Comité de Salut Public de Nantes, I, 416.
Raimond, délégué des Mulâtres à la Constituante, I, 570.
Rainot, graveur, un des Soixante, X, 225.
Rais (Jules). La Représentation des Aristocraties, VI, 364 ; 443.
Raison (Fête de la), IV, 1709.
Raison, ami de Rossignol, IV, 1683.
Raisson, secrétaire du Conseil des Départements en mai 1793, IV, 1372.
Rama, XI, 398.
Ramade, ouvrier blanquiste ; son plan de Révolution, X, 164.
Rambaud. Cf. Lavisse.
Rambert-Dumarest, graveur sur
médailles, V, 224.
Rambuteau, préfet de la Seine, VIII, 436 et sq.
Rameau, vice-président de la Chambre, XII, 187.
Ramel (De). Arrêté, XII, 275.
Ramel, député à la Convention, IV, 1668 ; Ministre des Finances, V. 232 ; 279 ; 299 ; 411 ; déporté après le 18 fructidor, 423 ; 424.
Ramel, général, assassiné à Toulouse, VII, 83.
Ramond, botaniste, V, 216.
Rampillon, gantier, un des Soixante, X, 225.
Rampont, directeur des Postes, rappelé à Versailles, XI, 345.
Ramsay (De), membre du Comité de Salut public de Nantes, I, 416.
Ranc (Arthur), républicain, conspirateur X, 99 ; 326 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 331 ; son appréciation sur la gestion financière de la Commune est venue bien tard, 382 ; sa démission, 408 ; 489 ; conseiller municipal de Paris en 1871, XII, 17 ; 23 ; 42 ; élu à Lyon en 1873, 98 ; 108 ; poursuivi comme Communard, 112, 252 ; 267 ; son intervention en 1900, dans la discussion du budget de la guerre, 284.
Randon (maréchal). X, 272.
Ranvier, signataire de l’Affiche Rouge, XI, 256 ; 265 ; 281 ; 303 ; élu à la Commune, 308 ; son rôle le 3 avril 1871, 361 ; 386 ; 430 ; Membre du Comité de Salut public à la Commune, 431 ; 434 ; son rôle au comité, 435 ; pendant la semaine sanglante, 462 ; 466.
Raoulx, sergent de la Rochelle, VII, 175.
Rapatel (Général), IX, 83.
Raphaël (Gaston), VIII, 398.
Rapinat, commissaire civil en Suisse, V, 404 ; fondateur de la République Helvétique, 404.
Rappel (Le), X. 239 ; 347 ; 385 : XI, I73 ; 408 ; 492 ; XII, 142 ; 170.
Raspail, VIII, 170 ; ses travaux, son caractère, sa défense au procès des Quinze, 171 ; 218 ; 246 ; 257 ; homme de la propagande, 258 ; 292 ; X, 4 ; 24 ; 33 ; 35 ; 49 ; 5t ; 52 ; 54 ; 126 ; i33 ; 231 ; élu à Paris en 1869. 346 ; 347 ; XI, 259 ; Président de la Chambre, XII, 186 ; 196 ; 228.
Raspail (Mme), X, 90.
Rastatt. Le Congrès, V, 399 ; 495 ; la fin des négociations de l’assassinat des plénipotentiaires français, 499 et sq ; discussions que soulève cet assassinat, 501 et sq.
Rastoul, élu à la Commune, XI, 308 ; 430 ; 431 ; .484 ; au bagne, 491 ; XII, 36.
Rateau (Étienne), commerçant du 1er Empire, VI, 281 et sq.
Rateau, IX, 130.
Ratier, IX, 139.
Ratisbonne (V ), 111, 451.
Rattazzi, ministre de Victor-Emmanuel, X, 140.
Raudot, IX, 107.
Rault. Son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 412.
Ravachol, anarchiste, 260 ; condamné à mort, 261.
Ravet, avocat des frères Foucher, VII, 84.
Ravez, VII, 138 ; 140.
Ravignan (le Père), jésuite, VIII, 339 ; 500 ; 519 ; IX, 185.
Ray (Le), membre du Comité de Salut Public de Nantes, 1, 416.
Raynal, IX, 70, 79.
Raynal, XII, 239.
Raynouard. Son œuvre littéraire, VI, 499.
Rayon (Le), société secrète, VII, 153.
Razoua, XI, 290 ; 311 ; 415.
Real. Élu représentant de la Commune de Paris, le 5 août 1789, I, 31 1 ; commissaire de section, II, 1277 ; III, 99 ; député à la Convention, III, m ; 387 ; 566 ; injurie Babeuf, V, 322 ; défenseur de Ricord à Vendôme, 329 ; conseiller d’État, VI, 49 ; proscrit en 1815, VII, 78.
Rebecqui. Emprisonné à Marseille en 1789, 1, 415 ; III, 100et sq ; 415 ; démissionne de la Convention, IV, 1279.
Rebutel, boucher de Marseille, I, 414 ;
Récamier (Mme), VII, 175.
Recensement (de la population). On songe à l’organiser à plusieurs reprises avant 1801. V, 168 ; émeute à son propos en 1841, VIII, 420.
Recès d’Empire, VI, 174.
Réclamants de Juillet. Société politique de 1830, VIII, 28.
Reclus (Élie), XI, 398 ; directeur de la Bibliothèque nationale sous la Commune, 399.
Reclus (Élisée). X, 225, 234 ; suit Bakounine au congrès de Berne, 336 ; 363.
Recrutement, Cf. Armée. En mai 1793, ce sont les sections qui doivent décider du mode à choisir, IV, 1223 ; l’idée est de faire marcher les riches, 1223.
Recurt, VIII, 259 ; 548 ; 550.
Rédacteur (le), V. 278.
Redon, patriote massacré à Lyon, V, 103.
Réforme (la). Journal démocrate fondé en 1843 ; VIII, 551 ; 566 ; 569 ; IX, 3.
Réforme électorale. Les pétitions de 1840 ; le refus de Thiers à les examiner, 384 ; Cf. Incompatibilité parlementaire ; le mouvement s’étend après ce refus, 385 ; en 1842, 428, la proposition Ganneron, 428 ; la discussion de 1847, 543 et sq ; l’agitation de 1847-48, 548 et sq.
Réforme industrielle (la), journal, suite du Phalanstère, VIII, 321.
Réforme littéraire (la), journal, X, 152 ;
Réforme sociale (la), journal d’Aubry, X, 320 ;
Réfractaires (à la conscription). Comment Napoléon les fait poursuivre, VI, 363 ; 464.
Réfractaires (prêtres). Leur propagande, I, 644 ; la Législative prend des mesures contre eux, II, 848 et sq ; la loi de police religieuse du 29 novembre 1791, 852 et sq ; mouvement de pétitions contre cette loi, 858 ; la loi du 26 août 1792, III, 218 ; dernière loi de la Convention contre eux, V, 148 ; leur double attitude, leur scission depuis la fin de la Convention, 177 et sq ; mesures de la majorité thermidorienne contre eux, 179 ; mesures du Directoire, 180 ; toutes les mesures sont rapportées, 408 et sq.
Régence (loi de). La discussion de 1841, VIII, 432.
Régère. Élu à la commune, XI, 308 ; 31l ; 387 ; 430 ; 484 ; XII, 36.
Régicides. Bannis par la Chambre introuvable, VII, 104.
Régie directe. Pratiquée par la Convention, V, 238.
Régis (Max), XII, 276.
Registre des délibérations des Consuls, VI, 23.
Règlements d’atelier. Ils sont draconiens sous le second Empire, X, 174.
Regnaud, député à la Convention, III, 426.
Regnault (de Saint-Jean-d’Angély), VI, 232 ; VII, 63 ; proscrit en 1815, 78.
Regnault (Elias), VIII, 382 ; 411 ; 431.
Regnault (J.- B.), peintre, V, 223 ; VI, 506.
Régnier, conseiller d’État, VI, 49.
Reichardt. Note le luxe et les fêtes de la société lyonnaise en 1793, I, 132 ; 603.
Reichenbach (V.). Traité en 1813 entre l’Angleterre, la Russie et la Prusse, VI, 429.
Reille (Baron), XII, 210 ; 262.
Reims (V.), II, 1034 ; 1309 ; craintes de ses administrateurs, lorsqu’ils prêtent serment à l’égalité, III, 144 ; son député ouvrier à la Convention, V, 68 ; 199 ; VI, 516 ; ses ouvriers en 1830, VIII, 56 ; 64 ; 66 ; 67 ; 70 ; la prostitution des jeunes ouvrières, 76 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX, 328 ; le 2 décembre 1851, X, 18 ; la propagande républicaine sous l’Empire, 92 ; les élections municipales de 1900, XII, 291.
Reinach (Baron). Son suicide, XII, 263.
Reinach (Joseph). Son discours de Digne, XII, 291.
Reine Blanche (Complot de la), X, 98.
Reinhard, ministre des Affaires étrangères, VI, 20.
Reinhard. Sa correspondance avec ses camarades de Tübingen, III, 554.
Reinhard (Mme). Lettres, V, 568 et sq.
Reischoffen (V.). Bataille de 1870, XI, 3.
Relieurs (Ouvriers), X, 351.
Religion. Enseignement de la religion dans le plan d’instruction de Talleyrand, II, 1122 ; dans le plan de Condorcet, 1146 ; comment le parti de l’Ordre prétend la défendre en 1848, IX, 25.
Remplacement. Cf. Armée. En matière militaire, VI, 206 ; maintenu dans la Constitution de 1848. IX, 120.
Rémusat, commerçant du 1er empire, VI, 281 et sq.
Rémusat (Mme de). Mémoires, V, 479, 568 ; VI, 442.
Rémusat (Charles de). VIII, 6 ; 9 ; 124 ; 163 ; 383 ; 536 ; 544 ; 570 ; échoue aux élections de 1863, X, 159 ; 231 ; XII, 97.
Renaissance (Café de la). Les arrestations de 1866, X, 302.
Renan, VI, 299 ; 300 ; IX, 210 ; X, 88.
Renard, VIII, 228.
Renaud (Hippolyte), VIII, 426 ; IX, 231.
Renaud (Commandant), XI, 447.
Renault (Léon), XII, 150 ; 172.
Rennes (V.). Sa jeunesse intellectuelle contre les nobles en 1788, I, 63 ; VIII, 538.
Renomard, commissaire de section, II, 1278.
Renou. Son interpellation sur le massacre de Chalon, XII, 294 ; 296.
Renouvier. Son Manuel Républicain attaqué par Bonjean, IX, 95.
Rente. La conversion de 1852, X, 35.
Rentiers. Le grand peuple des créanciers de l’État en 1789, I, 41 ; ils tiennent l’État mais redoutent la banqueroute, 42 ; concentrés à Paris, 42 ; opposants à la royauté, ennemis de la puissance territoriale de l’Église, 43 ; V, 152 ; leur misère à la fin de 1797, 427 et sq ; leur ruine en 1798, 526.
Repos hebdomadaire. Ordonnance du 7 juin 1814, VII, 36 ; une loi demandée par les catholiques et les socialistes en 1848, IX, 193 ; la question en 1848, 296 ; circulaires ministérielles pour le repos du dimanche, 297.
Représentant du Peuple (Le), journal, IX, 96.
Républicains. Leur opposition au 1er Consul de 1800 à 1802, VI, 143 et sq ; l’agitation, 144 ; comment Bonaparte les redoute plus que les royalistes, 144 ; c’est contre eux qu’il tourne ses soupçons après l’attentat de la rue Saint-Nicaise, 152 ; ils sont proscrits, 152et sq ; leur opposition au plébiscite de l’An X, 170. Comment ils lurent joués en 1830, VIII, i et sq ; leur démarche au Palais-Royal en août 1830, 10 ; leur agitation sous le ministère Casimir-Périer, 127 et sq ; leur activité en 1832, 168 ; leur guillotinomanie, 168 ; leurs rapports avec les Saint-Simoniens, 195 ; leur puissance dans le pays avant l’insurrection d’avril, 262 ; désorganisés par la mort de Carrel, 286 ; leur attitude envers les Communistes en 1843, 458 ; leur politique extérieure. en 1848 ; les partisans de la guerre et ceux de la paix, IX, 16 ; ce sont les modérés qui, au début, tiennent la République de 1848, 30 ; leurs divisions en 1848 en face de la coalition de l’Ordre, 46 ; leur faute du 15 mai : dès alors ils sont débordés par les royalistes, 55, leur concentration après juin, 136 ; le parti démocrate-socialiste ; son programme est formulé par Ledru-Rollin, le 24 février 1849, 136 ; leur propagande, 137 ; ils demandent la mise en accusation du président à l’occasion de l’expédition de Rome, 147, frappés après le i3 juin 1849, 152 ; la loi du 27 juillet 1849, 153 ; ils se font, en 1850, un parti de paix sociale et de légalité, 197 ; leurs forces, 207 ; l’attente de 1852, 209 et sq ; ils sont alors le véritable parti de l’Ordre, 210 ; poursuites nouvelles contre leurs sociétés en 1850, 212 ; leur politique en 1851, 215 et sq.
Décimés après le 2 décembre, 224 ; leur force au moment du Coup d’État, X, 6 ; traqués de tous côtés après le Coup d’État, 26 et sq ; on veut les anéantir, 26 ; à quelle surveillance ils sont soumis tout le temps de la Dictature, 31 et sq ; leur attitude aux élections de 1852, 39 ; leur attitude dans la question d’Orient en 1854, X, 79 ; leur vie à l’étranger et en France de 1852 à 1859, 84 et sq ; l’entrée des livres contre l’Empire en France, 86 ; les comités de secours pour les proscrits, 88 ; l’opposition de salon, 88 ; professeurs et étudiants, 89 ; les ouvriers sous l’Empire autoritaire, 90 ; les diverses corporations, 91 ; les exilés, leurs idées, relations avec les hommes de l’intérieur, 96 ; attentats et conspirateurs, 98 et sq ; la question des élections de 1859, 108 ; faut-il s’abstenir ? 102 ; ceux qui veulent s’assermenter ; la campagne et les résultats, 102 et sq ; traqués de nouveau en 1858, 112 et sq ; leur attitude lors de la guerre en faveur, de l’Italie, 118 ; la rentrée des exilés ; les deux générations, 148 ; la génération de 1860. 150 ; leur opposition au Corps législatif de 1863 à 1866, 259 ; leur amendement à l’adresse de 1866, 260 ; la situation du parti en 1864, groupes et tendances, 283 et sq ; comment, sous l’Empire, ils purent plus facilement s’enthousiasmer pour l’unité italienne que pour l’unité allemande, 96 et sq ; leurs attitudes à l’égard de l’Allemagne, 98 et sq ; Cf Quinet ; leur tactique quand éclate la candidature Hohenzollern, 177 et sq ; le 9 juillet, ils accentuent leur attitude pacifique, 191 ; mais certains voient dans la paix un recul de l’Empire et par là le rendent plus difficile, 192 ; leur silence, le 16 juillet 1870, 212.
Leur situation en 1871, XII, 9 ; un réveil qui se manifeste un peu partout, 11 ; leur succès aux élections de juillet 1871, 22 et sq ; leurs succès aux Conseils généraux, en octobre, 47 ; aux élections du 7 janvier 1872, 55 ; ils comprennent toute l’importance des sentiments pacifiques de la France, 145 et sq ; résumé de leurs progrès électoraux de 1871 à 1874, 150 ; les divers groupes en 1875, 153 ; leur politique à partir de 1875, 169 et sq ; traqués par Dufaure en 1875, 174 ; Opportunistes et radicaux, 175 ; leur rôle de 1876 à 1878, 179 et sq ; leur union en face du gouvernement du 16 mai, 2o3 ; les différents groupes en 1877, 215 ; leurs divisions après 1879, 232 ; leur concentration contre Boulanger, 252.
République. L’idée est toute nouvelle en 1791, mais elle est mise en évidence par la fuite du roi, I, 719 et sq ; comment elle s’impose de 1789 à 1792, II, 1310 et sq ; sa proclamation : en quoi consiste sa nouveauté sublime, III, 176 ; comment l’idée en semblait liée à l’idée de guerre en 1800, VI, 128 et sq ; disparition de ses derniers vestiges sous le premier Empire, 202.
Pourquoi elle ne pouvait renaître en 1830 VII, 252 et sq ; conditions de sa proclamation en 1848, IX, 2 ; le gouvernement provisoire déclare qu’il la veut, 4 ; sera-t-elle démocratique et sociale ? 4 ; elle constituait, en 1848, le passage de la ploutocratie à la démocratie, 20 ; déclassement des partis, 22 ; démocrates et socialistes, 24 ; le gouvernement qui divise le moins ; quand on veut y toucher, les oppositions reparaissent : c’est l’histoire de mai 1850 à décembre 1851, 201 ; la forme subsiste, mais elle est bien morte dès le 2 décembre 1851, 227. Lutte qu’il faut engager de nouveau pour elle en 1871, XII, 6 ; comment la bourgeoisie et les paysans évoluent vers elle à partir de 1871, 18 ; le Centre gauche s’y rallie en 1872, 73 ; l’Assemblée renonce officiellement à la monarchie, 143 ; l’amendement Wallon la fonde définitivement, 162 ; fêtes du Centenaire en 1892, 262.
République (Section de la), IV, 1262 ; IV, 1387.
République française (La), journal, XII, 158.
Réquisitions, V, 172.
Réquisition (Bons de). V, 359.
Reschid-Pacha, ministre turc, X, 78 et sq.
Résistance (Sociétés de). Cf. Syndicats.
Rességuier, Saint-Simonien, VIII, 186 ; 193.
Restauration. Caractères généraux du régime, VII, 89 et sq ; jugement d’ensemble ; quels furent ses mérites, 255.
Restout, commissaire de section. II, 1277.
Rethel (V.), II, 1034 ;
Réties, XII, 254.
Rétif de la Bretonne. Son exposé de la loi agraire, II, 1906 ; ses œuvres, V, 219.
Rétiffe, femme de la Commune, XI, 484.
Retraites ouvrières. Le projet Waldeck-Rousseau en 1848, IX, 310 ; la loi de 1850 ; pourquoi on ne soutient pas l’obligation, 311.
Retouret, Saint-Simonien, VIII, 202.
Rétroactivité de la loi. Comment en matière civile la Convention la pratiqua, V, 156.
Réunion (section de la), IV, 1332 ; 1387.
Réunion (île de la), V, 174 ; VI, 329.
Réunions publiques. La réglementation du droit de-réunion après juin 1848, IX, 91 ; la loi réactionnaire de 1850, 199 ; X, 283 ; la loi de 1868, 322 ; développement des réunions publiques, leur importance au point de vue socialiste en 1808, 327 et sq ; 339 ; les communistes s’en emparent, 340.
Revanche. Comment l’idée de la revanche hypnotise la jeunesse française après 1870, XII, 194.
Réveil (le), journal de Delescluze, X, 326 ; 329 ; 347 ; XI, 192 ; 193 ; 256.
Réveillon (émeute). Comment on peut interpréter cet incident confus, 118.
Révélateur (le), journal, supprimé, V, 440.
Revendication (la), coopérative fondée par Malon, X, 338.
Revenu, peintre sur porcelaine, X, 209 ; un des Soixante, 225.
Reverson. Lyonnais, son attitude au procès d’avril, VIII, 276 ; condamné à la déportation, 278.
Revision de la Constitution. Dispositions prévues dans la Constitution de 1847, IX, 123 ; demandée par Clemenceau, XII, 252.
Révolution (la), journal de 1830, VIII, 24.
Révolution (la), société secrète, X, 96.
Révolution française. Elle a préparé indirectement l’avènement du prolétariat, I, 1 ; Son importance dans l’histoire socialiste, 1 ; comment elle fut possible économiquement, 28 ; causes de son extension : maturité intellectuelle de la nation, maturité sociale de la bourgeoisie, 30-32 ; sa marche générale pendant l’hiver de 1789-90 ; elle se développe alors en profondeur, 251 ; sa marche en 1790-91. 574 ; malaise et incertitude après Varennes ; accentuation de la tendance bourgeoise, 748 ; difficultés au milieu desquelles elle se débat à la fin de 1791, II, 815 et sq ; ces difficultés la mènent à la guerre, 816 ; il lui manque, à la fin de 1791, l’héroïsme tranquille qui lui aurait permis d’éviter la guerre, 867 ; comment il faut juger son action guerrière, 918 ; comment, entre deux périodes admirables, tout est triste et bas pendant celle où se prépare la guerre, 931 ; elle a réussi dans son double effort, brisé l’ancien régime et préparé la démocratie, 954 ; comparée à la révolution socialiste de demain, 1079 et 1082 ; situation générale après les massacres de septembre, III, 90 ; elle est prise entre l’obligation de faire appel à la force populaire et son désir de la contenir au nom de la loi, 118 ; son caractère bourgeois, mais non égoïste, humain et universel, III, 174 ; elle est par la guerre en contact avec le monde entier : que pensent les peuples ? 441 ; comment, partie pour émanciper les peuples, elle était amenée à prendre les mœurs de la conquête, 556 ; problèmes qui se posaient à elle en face des autres peuples, 561 ; la dictature révolutionnaire de la France est inévitable, mais pleine de dangers ; les Conventionnels en acceptent la responsabilité, 562 ; c’est la République démocratique universelle que proclame la Convention, 564 ; son appel à la liberté, 568 ; l’inégalité sociale y devient plus sensible au fur et à mesure que s’établit l’égalité politique, IV, 1006 ; la situation en mars 1793 : la Montagne et la Commune forment le vrai centre révolutionnaire entre les Girondins et et les Enragés, 1095 ; comment, en mai 1793, le conflit politique devient décidément conflit social, 1216 ; parallélisme du mouvement parisien et du mouvement paysan ; chaque révolution de Paris assure une conquête paysanne, i630 ; comment en 1793 elle retrouve son intégrité, 1634 ; sa situation en 1794 au moment où toutes les factions ont été frappées, 1799 ; la politique d’apaisement révolutionnaire était la seule issue, 1800.
Son bilan peut être établi après le 18 brumaire ; c’est le triomphe de la bourgeoisie, VI, 1 et sq.
Imitée par les révolutionnaires de 1848, IX, 22.
En fait, elle a abouti par l’avènement de la démocratie politique, XII, 308.
Révolution française (La), Revue, V, 79 ; 185 ; 189 ; 190 ; 237 ; 262 ; 290 ; 299 ; 404 ; 431 ; 525 ; 644 ; 572 ; VI, 43 ; 185.
Révolution française (La), Journal, VIII, 287.
Révolution de 1830. VII, 242 et sq.
Révolution de 1848. Son importance dans l’histoire du prolétariat, I, 4 ; envisagée comme conclusion de la monarchie de Juillet, VIII, 571 et sq ; son évolution générale ; caractère de celle lutte de classe, IX, 1 et sq ; son caractère fraternel au début, l’union des classes, 12 ; les délégations des citoyens de toutes les nations et de toutes les classes, 12 ; le développement de sa politique extérieure, 142 ; une révolution-mère dont la fécondité n’est pas épuisée, 227 ; ses tendances générales : trois groupes de théoriciens, 228 et sq ; théories des trois groupes, 232 et sq ; la France de 1848 à 1851, s’est trouvée transformée, 356 ; la Révolution marque le tournant du siècle, une volte-face complète de l’évolution intellectuelle et morale ; l’idéalisme fera place au réalisme, 378 ; dans la littérature, dans la vie matérielle, dans la politique, dans le socialisme, l’évolution est sensible, 379 et sq ; ses répercussions dans toute l’Europe, 382 ; dans tous les domaines elle a laissé des traces profondes, 383 et sq ; nous vivons encore de la pensée des utopistes de 48, 384.
Révolution Socialiste. Ce qu’elle sera, par rapport à la Révolution française, II, 1079 ; 1082 ; 1098.
Révolution Municipale. Provoquée par la journée du 14 Juillet 1789, 1, 270 ; comment elle inclinera le mouvement révolutionnaire vers la démocratie, 270.
Révolutions de Paris (Les), journal de Lostalot (Voir ce nom), donne une liste de ceux qui se distinguèrent à la prise de la Bastille, I, 263 ; donne des nouvelles sur le mouvement des campagnes, lors de la peur, 275 ; 611 ; se tait sur la loi Chapelier, 612 ; Cf. Prudhomme ; article sur le ministère girondin, II, 951 ; 1036 ; III, 175, 178 ; 291 ; ses opinions sur les choses anglaises, 794 ; stupides fanfaronnades, 795 ; 878 ; IV, 960 ; 1027 ; io31 ; 1034 ; 1397 ; V, 304.
Revue démocratique (La). VIII, 408.
Revue des Deux-Mondes, VIII, 393 ; X, 54 ; 144 ; 267.
Revue encyclopédique, X, 288.
Revue historique, V, 507 ; 541.
Revue d’histoire moderne et contemporaine. Cf. Guyot, Muret.
Revue d’histoire rédigée à l’État-Major de l’armée, V, 173 ; 202 ; 338 ; 396 ; 442 ; 443 ; 472 ; 473 ; 487 ; 494 ; 495 ; 496 ; 504.
Revue indépendante (La). VIII, 486.
Revue de Paris (La), X, 48 ; 88 ; supprimée en 1858, X, 111.
Revue politique (La), X, 324 ; 326.
Revue pour tous (La), X, 151.
Revue du Progrès (La), VIII, 374 ; 411 ; 471.
Revue Rétrospective (La), IX, 36.
Revue de la Révolution (La), V, 70.
Revue du Socialisme Chrétien, IX, 231.
Rewbell. Dépose une motion en 1791 sur la situation des colonies, I, 572 ; son attitude lors de la fuite du roi, 707 ; 708 ; III, 608 ; son projet sur les assignats. V, 83 ; élu Directeur, 282 ; 295 ; 316 ; 391 ; 411 ; 522 ; 528.
Rey (Aristide). Se range du côté de Bakounine à Berne, X, 336 ; sa lettre à Albert Richard sur la tactique à suivre dans les élections de 1869, X, 344.
Rey (Joseph), républicain socialiste, VIII, 174 ; son rôle dans les journées de .février 1848, 567 et sq.
Rey Pailliade. juré à la Haute-Cour de Vendôme, V, 327 ; 329.
Reybaud (Louis), IX, 81, 100 ; son Jerôme Paturot, 134 ; 139 ; X, 175 ; 183.
Reynaud (Jean), Saint-Simonien, lutte sur les barricades, VII, 2 ; VIII, 84 ; 188 ; sa tournée dans le midi, 192 ; il se sépare d’Enfantin, 198 ; demande en 1832 une représentation des prolétaires, 227 ; IX, 167 ; 171, 230 ; 236 ; 259 ; 266 ; 271 ; X, 102.
Reynie (Sieur de la), littérateur, vainqueur de la Bastille, I, 264.
Reys, sellier, babouviste, V, 305 ; 314 ; 327.
Rezouville (V.). Bataille de 1870, X, 6.
Rhône (Dép.), VIII, 262.
Rhône-et-Loire (Dép.). Ses élus à la Convention, III, 111.
Riancey (De), IX, 177 ; 179.
Rihault de Laugardière, conspirateur, X, 99.
Ribérac (V.), IX, 87.
Ribert, IX, 88.
Ribes, Saint-Simonien, VIII, 186 ; 190.
Ribeyrolles, VIII, 458 ; IX, 225 ; dans l’exil à Jersey, X, 86.
Ribot, V, 73 ; VI, 72 ; XII, 236 ; 240 ; Ministre des Affaires Etrangères, 257 ; Président du Conseil, 263 ; 286 ; 292.
Ribot (Th.). VIII, 475.
Ricamarie (La) (V.) Le massacre ouvrier de 1869, X, 350 ; XII, 287 ;
Ricard, ministre de l’Intérieur, XII, 195 ; meurt subitement, 198 ;
Ricard, ministre de la Justice, XII, 258.
Richard, IX, 326.
Richard, maire du XIXe arrondissement de Paris, XI, 252.
Richard (Émile), délégué français à Londres, X, 208.
Richard (Albert), délégué à Bruxelles, X, 334 ; 335 ; se range du côté de Bakounine à Berne, 336 ; s’entend avec Aubry à Bruxelles, 337 ; son caractère et son passé, 337 ; 338 ; 340 ; 342 ; sa brochure sur les élections de 1869 à Lyon, 346 ; 347 ; délégué à Bâle, 353 ; 354 ; 355 ; 364 ; sa conception des rapports du mouvement économique et du mouvement politique, 367 ; 368 ; 370 ; 372 ; 383 ; 384 ; 392.
Richard-Lenoir. Ses Mémoires, V, 227, 229 ; son passé, VI, 315 ; ses relations avec l’Empereur, 316 ; comment il est sacrifié en 1810, 319.
Richard du Pin, vainqueur de la Bastille, I, 264.
Richardet, X, 27.
Richelieu (duc de), ami d’Alexandre de Russie, VII, 76 ; prend le ministère, 80 ; son œuvre extérieure, 81 ; les indemnités exigées, 81 ; son opposition à la Chambre introuvable, 102 et sq ; 127 ; son inquiétude des élections de 1818, 128 ; sa chute du pouvoir, 129 ; la question de sa pension, 130 ; il reprend le pouvoir en 1820, 145 ; il est pris entre les indépendants et les ultras, 156 ; sa tentative pour rallier les libéraux contre les ultras en 1821 ; elle était trop tardive, t63 ; sa chute, sa mort, 164.
Richer de Serizy, royaliste, V, 310.
Richery, amiral. Ses campagnes de 1795, V, 123 ; ses opérations de 1796 à 1798, 385.
Richou, député à la Convention, III, 95 ; IV, 1441.
Ricord (Alexandre), délégué à Paris par Marseille, IV, 1279 ; député à la Convention, 1530 ; V, 95 ; arrêté, 100 ; 314 ; 315 ; 318 ; 327.
Riégo, général espagnol, VII, 184 ; livré par les Français, 194.
Rieulin (de Strasbourg), membre du Directoire secret des fédérés de 1792, II. 1264.
Rigaud, Saint-Simonien, VIII, 206.
Rigault (Raoul). Son rôle dans les Réunions publiques, X, 328 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 311 ; 314 ; 377 ; son rôle à la préfecture de police, 370 ; 388 ; sa négociation pour l’échange de Blanqui, 403 ; 430 ; 457 ; sa mort, 463.
Rigny (amiral de), ministre de la Marine dans le cabinet Périer, VIII, 119.
Rigomer. Conspire contre Napoléon 1er en 1808, VI, 473.
Riobé. carbonaro, VII, 172.
Rioni (V.), V, 429.
Rionffe. Nommé tribun, VI, 51.
Ripert, chapelier, X, 209 ; un des Soixante, 225 ;
Rist. Sa résistance à Issy, XI, 434.
Rittinghausen, IX, 252 ; 254 ; au Congrès de Bâle, X, 353.
Rivarol, II, 947 ; 111, 167.
Rive gauche (La), journal ; sa protestation contre la guerre, X, 265 et sq ; 270 ; 286 ; 287 ; 289 ; 292.
Rive-de-Giers (V.). X, 192 ; 363.
Rivet. Sa proposition de. loi sur le pouvoir exécutif, XII, 41.
Rivière. Jugé avec Moreau, VI, 194.
Rivière, juré à la Haute-Cour de Vendôme, V, 327 ; 332.
Rivoli (V.). Bataille, V, 351.
Robelin, administrateur de la ville de Louhans, I, 429.
Roberjot, plénipotentiaire français à Rastatt, V, 500.
Robert, I, 726.
Robert, colon de Saint-Domingue, II, 962.
Robert, député à la Convention, IV, 1177.
Robert (Louis-Armand), révolutionnaire, IV, 1295.
Robert (Hubert), peintre, V, 223, VI. 506.
Robespierre. Repousse à la fois le veto et le recours au peuple, I, 327 ; s’élève contre la réponse du roi à la Déclaration des droits, 343 ; son portrait : monarchiste et nullement communiste en 1789, 374 ; mais théoricien inflexible de la souveraineté nationale et de la démocratie. 375 ; il n’intervient pas d’abord, 384 ; puis proteste par un discours froid et abstrait contre la distinction des citoyens passifs et actifs, 386 ; il fait maintenir les élections des évêques par le peuple, 532 ; son attitude constitutionnelle en 1790-91, 557 ; sans l’opposition du roi, il n’aurait été qu’un doctrinaire de la démocratie, 557 ; son attitude dans les incidents militaires de Nancy, 559 ; il soutient le droit électoral des mulâtres, mais ne s’oppose pas en fait à l’esclavage, 572 ; il vote la loi Chapelier et cependant il est démocrate comme le prouvent ses interventions pour faire admettre dans la garde nationale tous les citoyens, 608-610 ; et pour le droit de pétition, 610, 626, il propose la non rééligibilité des Constituants, 698 ; vague de sa pensée après la fuite du roi à Varennes, 716 ; il hésite et louvoie en 1791, en face des Cordeliers républicains, 726 ; son silence le 18 juillet 1791, 734 ; il doit se cacher, 735 ; à la fin de 1791, il raffermit les Jacobins ; il accuse la Constituante de reviser la Constitution pour plaire à la cour, 740-752.
Il commence à s’inquiéter de la politique des Girondins, II, 845 ; à son retour d’Arras, il ruse et équivoque avec l’entrainement belliqueux, 871 ; ses discours aux Jacobins contre la guerre les 2 et 11 janvier 1792, 887 ; ce que vaut sa thèse : il exagère le rôle de la cour, 889 et sq ; il manquait, en cela, de confiance en la Révolution, 891 ; son action contre la guerre, quoique noble et grande, fut inefficace, 892 ; il annonce la résistance des peuples, 893 ; il n’a pas su faire naître un parti de l’action qui n’aurait pas été celui de la guerre, 895 ; son jeu contre les Girondins, 895 ; sa réponse à Dumouriez aux Jacobins, 959, 1083 ; son intervention lors des affaires d’Étampes, 1101 ; sa conception sociale en 1792, 1102 et sq ; un mélange trouble de démocratie et de christianisme restrictif, 1104 ; ses attaques contre la loi agraire, 1106 ; quel était son but en les faisant, 1108 ; sa polémique avec Guadet sur la Providence, 1164 ; ses reproches aux Girondins, 1166 ; il cherche à les atteindre en les solidarisant avec Lafayette, 1166 ; il attaque le projet de camp sous Paris, en 1792, 1179 ; et il a la désagréable surprise d’être d’accord avec les Fayettistes, 1180, son attitude lors du renvoi des ministres girondins, 1189 ; il triomphe contre la Gironde de l’incident Dumouriez, 1195 ; sa politique est défiante et conservatrice à ce moment-là, 1196 ; démocrate et conservateur comme Mirabeau, 1196 ; il attaque l’intervention de La Fayette, 1202. et désarme à demi contre les Girondins, 1203 ; son jugement sur le 20 juin 1792, 1210 ; il suit encore une politique d’attente et de prudence vingt jours avant le 10 avril, 1245 ; il demande une Convention nationale en juillet 1792, 1254 ; son plan politique à cette époque, 1258 ; comment il veut écarter la question de la déchéance, 1260 ; son attitude pendant le mouvement du 10 avril 1792, 1279.
Il reconnaît le pouvoir de la Commune, III, 1 ; délégué à son Conseil général, 2 ; délégué par la Commune à la Législative pour protester contre l’élection d’un nouveau Directoire, 7 ; 16 ; son état d’esprit après le 10 août, 17 ; 18 ; il lutte contre Brissot sur la question du tribunal révolutionnaire, 22 et sq ; il refuse de présider le tribunal criminel, 27 ; sa responsabilité dans les massacres de septembre, 28 ; 31 ; 39 ; il conseille à la Commune de se dissoudre, 40 ; encore son attitude pendant les massacres de septembre ; ses calomnies contre les Girondins, 58 et sq ; il veut rester, par cette politique, en accord étroit avec la Commune, 67 et sq ; élu à la Convention, 98 ; inquiet de la campagne anti-chrétienne, 222 ; il combat le projet de suppression du budget des cultes, 242 ; comment il veut fondre le christianisme dans la religion naturelle, 242 et sq ; examen de sa conception ; ce qu’il y a en lui du prêtre et du sectaire, 247 et sq ; il demeure dans le vague sur la question des subsistances à la fin de 1792, 358 ; il SÎ défend de l’accusation de dictature, 38o ; son habileté au moment où les Girondins poussent leur attaque, 391 ; ceux-ci tentent de l’accabler par une inepte fiche de police ; sa défense, 411 et sq ; 425 et sq ; pourquoi il n’intervient pas à la fin de 1792, pour une politique pacifique, 806.
Pourquoi il veut que le roi soit exécuté sans procès. IV, 858 ; en décembre 1792, cette procédure était trop tardive, 859 ; 876 ; son discours du 28 décembre 1792 contre l’appel au peuple, 911 et sq ; pressentiment de défaite et de mort, 914 ; 935 ; sa critique du décret du 15 décembre 1792 sur la guerre universelle, 966 ; mais il ne va pas jusqu’au bout de sa politique de prudence, 968 ; il dénonce un complot dans le mouvement du 25 février 1793, 1039 ; il glisse insensiblement à l’idée du maximum, 1055 ; il eût voulu seulement noyer la Gironde dans un discrédit infini, 1076 ; 1090 ; sa politique en mars 1793, 1095 et sq ; 1118 ; 1120 ; son intervention pour là création du Comité du Salut public, 1128 et sq ; 1138 ; il veut, après la trahison de Dumouriez, en finir avec la Gironde, mais par les moyens légaux, 1171 ; c’est encore sa politique du 10 août, 1172 ; son attitude envers Danton, 1175 ; débordé par les Jacobins, 1200 ; 1204 ; sa prudence quand il sent que la Révolution devient un conflit social, 1216 ; il excite les sans-culottes, mais il ne veut qu’ils s’attaquent à la bourgeoisie et à la propriété, 1217 ; il propose l’organisation solide des prolétaires, 1230 ; il inaugure sa politique définitive, 1230 ; 1264 ; débordé par les révolutionnaires qui veulent la lutte immédiate contre la Gironde, 12gg ; il conseille une insurrection contre les Girondins, mais une insurrection quasi-légale, 1339 et sq ; 1345 ; il renonce définitivement le 29 mai à la méthode légale, 1362 ; 1370 ; son rôle le 31 mai 1793, 1415 et sq ; sa vie chez les Duplay, 1448 ; son opposition au plan d’éducation de Condorcet, 1466 ; comment il adopte le plan de Michel-Lepelletier, 1490 ; sa formule du droit de propriété, son discours du 24 avril 1793, r 563 et sq ; examen de sa thèse, 1566 ; sa déclaration des droits, 1568 ; son dessein politique en l’écrivant, 1569 ; son attitude sur la question de la guerre et de la propagande armée en avril 1793 ; il est tout proche de Cloots, 1570 ; la proscription de la richesse attriste sa pensée sociale, 1571 ; 1586 ; pourquoi il se rallia à la Constitution de 93 sans essayer de faire triompher ses formules d’avril, sa politique après la journée du 2 juin, 1591 et sq ; son rôle, admirable de conscience, à partir de ce moment, 1594 ; son opposition à fond à Jacques Roux qui lui semble devoir en juin diviser les révolutionnaires, 1604 ; Il semble vouloir pratiquer la tactique de Babeuf, 1606 ; I6I3 ; il surveille Hébert, 1614 ; il prend parti contre lui : et nous, sommes-nous avec lui ou avec Hébert ? 1618 et sq ; il ne veut pas plus du fédéralisme parisien que du fédéralisme départemental, 1620 ; seul il était capable de mener la lutte contre l’hébertisme, 1624 et sq ; il met son autorité intacte à défendre contre lui la Convention et le Comité du Salut public, 1625 et sq ; I632 ; son rôle le 4 septembre 1793, 1673 ; son entrée au Comité du Salut public, 1681 ; son idée de concentration des forces révolutionnaires et son programme de gouvernement, 1668 ; lutte qu’il entreprend de septembre 1793 à mai 1794 contre la démagogie, 1690 et sq ; son activité au Comité de Salut public, 1691 ; il s’élève contre la politique anticléricale de la Commune, 1712 et sq ; sa politique extérieure à la fin de 1793 ; son désir intime de la paix, 1723 ; il combat les hébertistes par des lois organiques, 1724 ; il défend contre eux Danton, 1724 ; il combat partout les sauvageries inutiles, 1726 ; il veut épurer la Révolution sans l’affaiblir, 1727 ; il défend le Comité du Salut public contre les dantonistes en septembre 1793 ; c’était lui et non Desmoulins, qui travaillait à humaniser la Révolution, 1733 ; il demande l’épuration des Jacobins, 1734 ; meurtri par l’intrigue dantoniste, 1737 ; sa situation aux Jacobins dans les luttes avec Hébert et Danton, 1738 ; 1740 ; sa situation en janvier aux Jacobins, 1744 ; il se décide au double combat contre les hébertistes et les dantonistes, 1745 ; obligé cependant de s’arrêter, du 9 février au 13 mars 1794, 1745 ; sa participation au rapport de Saint-Just, 1747 ; accusé par Hebert de complicité avec les dantonistes, 1756 ; résista-t-il à l’exécution de Danton ? 1767 ; 1798 ; il a maintenant la place nette ; l’épreuve décisive, 1799 et sq ; ses adversaires disparus, il ne sait pas indiquer la voie nette ; funestes temporisations, 1804 ; il ne sait pas inspirer la confiance, 1804 ; la reconnaissance de l’Être suprême, faute politique décisive, 1807 ; il ranimait ainsi l’espérance contre-révolutionnaire, 1808 ; son impuissance l’oblige à tuer encore, 1810 ; la loi de prairial, 1810 ; elle est le signal de sa perte, 1812 ; il ne paraît plus au Comité du Salut public, 1S15 ; il s’appuie sur les Jacobins et sur la Commune ; ses rêveries à Ermenonville ; le retour ; le 8 thermidor, 1816 ; la fin, 1816 et sq ; jugement sur son œuvre, 1820 ; sa responsabilité dans l’extension du système de terreur, V, 4 ; réflexions sur la chute, 22 et sq ; regretté par les ouvriers de Paris au début de 1796, 293 ; IX, 254 ; 374 ; XII, 309.
Robespierre (le jeune), député de Paris à la Convention, III, 105 ; IV, 1O23 ; 1190 ; envoyé en mission dans les Bouches-du Rhône, 1726 ; arrêté le 9 thermidor, 1819 ; ses relations avec Bonaparte, V, 142.
Robillard (colonel), XII, 59.
Robinet. Fausseté de ses critiques contre la Constituante, I, 533 et sq ; 656 ; 735 ; III, 219 ; 239 ; 242 ; 251.
Robinet. Élu à la Commune, XI, 308 ; il démissionne, 328.
Rochambeau (maréchal de). Parait à la Législative en janvier 1792, 11, 913 ; 1166.
Rochard, élu à la Commune, XI, 308.
Rochat, démissionnaire de la Commune, XI, 328.
Roche (Jules). Sa politique financière, XII, 244 ; ministre du Commerce, 257 ; 286.
Rochebouët (général de), président du Conseil après de Broglie, XII, 210 ; renversé par la Chambre, 210 ; 214 ; 220.
Rochecervière (V.), IV, 1151.
Rochefort (Henri). La publication de la Lanterne, X, 326 ; 343 ; 347 ; 362 ; il fonde la Marseillaise, 571 ; les funérailles de Victor Noir, 375 ; il est poursuivi, 376 ; au bagne, 492 ; XII, 38 ; boulangiste, sa fuite en Belgique lorsque Constans menace, 254 ; condamné par la Haute-Cour, 254 ; nationaliste, 290.
Rochefort (colonel de). Se charge du 3 décembre 1851, X, 11.
Rochegude. député à la Convention, III, 111.
Rocquain, V, 163, 171, 183, 266, 456, 502, 524, 535 ; VI, 71.
Rodde. VIII, 248.
Rodez (V.) Le Tiers-État demande le partage des communaux, I, 210.
Rodrigues (Eugène), VIII, 160.
Rodrigues (Olinde), Saint-Simonien, VII, 260 ; VIII, 199 ; chef du culte Saint-Simonien, 200 ; son départ, 200 ; son attitude dans le procès, 206 et sq ; sa condamnation, 207 ; IX, 230 ; 271.
Rœek, négociant de Hambourg, III, 284 et sq.
Rœdederer, I, 601 ; son opinion sur le discrédit des assignats, 604, 710 ; II, 1292 ; IV, 1009 ; V, 418, 583 ; VI, 31 ; 32 ; 41 ; conseiller d’État, VI, 49559 ; 166 ; 169.
Roer (rivière), bataille en 1794, V, 47.
Roër (dep. de la). Sa situation industrielle en 1811, VI, 524.
Rogeard, X, 152.
Roger. Conspire pour Napoléon III, VII, 174 ; son sort, 175.
Roger (du Nord). Arrêté le 2 décembre 1851, X, 2.
Roget, ouvrier imprimeur, poursuivi pour coalition, puis acquitté, VIII, 19.
Roget (général), XII, 268.
Roguet, général. Son rôle à Lyon en 1831, VIII, 15a et sq.
Rohan (cardinal de) Accusé d’avoir trouvé profit dans l’expropriation de l’enclos des Quinze-vingts, I, 126.
Rohrbacher, ami de Lamennais en 1830, VIII, 87.
Roi de Rome. Les frais de sa maison en 1812, VI, 462 ; sa naissance, 464.
Roland de la Platrière. Ses mémoires scientifiques, I, 37 ; ses articles dans l’Encyclopédie Panckouke, 66 ; ses conceptions sur l’industrie, 74, 77 ; il constate la condition malheureuse des vignerons, 220 ; 420 ; membre de la municipalité de Lyon, 423 ; son parti triomphe en 1791 à Lyon, 427 ; inquiet de l’agitation agraire contre les droits féodaux, II, 784 ; ministre de l’Intérieur 943 ; 1042 ; son caractère, 1163 ; sa lettre au roi pour le sommer d’accepter les décrets, 1181 ; esprit étroit dans lequel elle est conçue, 1184 ; il est renvoyé du ministère, 1184 ; nommé ministre le 10 août 1792, 1298 ; III, 34 ; son discours à l’Assemblée le 3 septembre 1792, 77 ; son affiche contre Marat, 124, 152 ; ses plans chimériques de défense nationale en Vendée et en Corse, 153 et sq ; son rapport à la Convention en janvier 1793, 259, 270 ; il note les difficultés de rentrée des billets de confiance, 276 ; son rapport du 2 janvier 1793, 278 ; 280 ; 294 ; 296 ; 30t ; 304 ; 305 ; son rôle néfaste dans les querelles avec les démocrates, 374 ; mesquineries et rancunes, 376 ; il fait voter une enquête sur l’état de Paris, 378 ; son mémoire contre Paris le 2y octobre 1792, 410 ; attaqué par Hébert, 435 ; 438 ; 548 ; sa maladresse dans le procès du roi, IV, 868 ; sa lettre sénile du 16 janvier 1793, 940 ; sa démission 976 ; accusé par Danton, 1182 ; ses papiers sont mis sous scellés, 1185 ; 1432 ; 1449.
Roland (Mme), II, 946 ; son caractère, 116 ; sa petite haine contre Danton, 130 ; 155 ; 396 ; 417 ; 431 ; le mal qu’elle a fait à la Révolution, 436 ; arrêtée, IV, 1432 ; son influence sur la Gironde, 1459 ; attaquée par Hébert, 1617 ; sa mort, 1681 ; 1682.
Rolland (Pauline), VIII, 486 ; IX, 225 ; 231 ; X, 84.
Romantisme. Il a son principe, son origine profonde dans la Révolution, II, 1131 ; c’est le libéralisme en littérature, VIII, 80 ; les libéraux ne le comprennent pas, 80 ; causes de ce malentendu, 81.
Rome (V.). Établissement de la République en 1799, V, 401 ; les affaires de Rome en 1798-1799, 487 ; occupée par les Français en 1808, VI, 217 ; 322 ; l’expédition de Rome, ses origines, IX, 143 et sq ; le débat à la Constituante, 146, 147 ; la prise de la ville par les Français, 154 ; la république romaine abattue, 154 ; le président veut rester libéral, 155 ; la question romaine de 1860 à 1863, X, 137 et sq ; la question romaine fait échouer la triple alliance franco-italo-autrichienne en 1869-70, XI, 169 et sq ; la question romaine en 1871, XII, 25 ; les pétitions cléricales, 26 ; les discours à l’Assemblée nationale, 27.
Romieu. Sa brochure ; Le Spectre rouge, IX, 206.
Romilly (V.), VIII, 377 ; la propagande républicaine sous l’Empire, IX, 92.
Romme. Plan qu’il trace aux artistes, III. 214 ; IV, 1686 ; 1688 ; son rôle au 1er prairial, V, 96 ; 186.
Ronsio, dramaturge, adjoint à la guerre à Bouchotte, IV, 1294 ; 1692 ; 1719 ; arrêté, 1743 ; relâché ; 1745 ; 1734 ; il a seul une idée nette en mars 1794 ; septembriser les contre-révolutionnaires, 1760 ; son plan d’utilisation de l’armée révolutionnaire, 1760 ; le 18 brumaire démagogique qu’il prépare, 1762 ; arrêté le 13 mars 1794. 1764.
Ronsin, amiral. Son rôle à Constantine en 1833, VIII, 223 et sq.
Ronsin (Père), Jésuite, VII, 167.
Roon, XI, 223.
Roques de Filhol. Au bagne, XI, 471.
Roquevain (V.), IV, 1285.
Roseberry (lord), VI, 14.
Roselli-Mollet, IX, 289.
Rosier (J.). Son appel aux ouvriers en 1831, VIII, 124.
Rosnay, inventeur, V, 257.
Rossée (de), libéral de Colmar en 1847,
VIII, 551.
Rossel, XI, 384 ; remplace Cluseret à la guerre, 431 ; son caractère, 432 ; il voulait faire de la garde nationale une armée de tous points semblable à celle de Versailles, 443 ; c’était aller contre l’esprit même des fédérés, 433 ; ses démêlés avec le Comité central, 434 ; eut-il une idée de dictature ? 434 ; sa démission, 435 ; son arrestation, 435 ; 436 ; 490 ; XII, 38 ; mouvement des républicains en sa faveur ; il fut inutile, 48.
Rousset, républicain lyonnais, VIII, 159.
Rossi (comte), VIII, 325 ; 425 ; sa défense du droit de l’État en matière d’enseignement, 504 ; chargé de négocier la soumission des Jésuites, 519 ; IX, 144 ; 145.
Rossignol (Élie). Histoire de l’arrondissement de Gaillac, I, tv, IV ; 1271.
Rossignol, ouvrier orfèvre ; son rôle au 20 juin, 1792 ; II, 1204 ; lieutenant-colonel en Vendée, IV, 1294 ; 1683 ; 1692 ; V, 294 ; babouviste, §09 ; 315 ; 317 ; proscrit en 1800, VI, 154.
Rostolan (général), X, 20.
Rostopchine, VI, 122.
Rothan, X, 278.
Rothschild (les), VIII, 314 ; 439 ; 496 ; IX, 11, 158, 367 ; X, 302.
Rouanet, XII, 296.
Roubaix (V.), III, 187 ; VIII, 76 ; X, 170 ; 295 ; le mouvement luddiste de 1867, 305 ; XII, 301.
Rouen (aîné), avocat, VII, 172 ; VIII, 3.
Rouen, gérant du National, 272.
Rouen (V.). Les élections à la Convention, 111, 92 ; souffre d’une disette en 1792, 265 ; comment on y remédie, 265 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 526 ; en 1813, 530 ; manifestations de 1830, VIII, 35 ; 66 ; 73 ; 262 ; la République de 1848, IX, 15 ; émeute aux élections de 1848, 49 ; sa situation industrielle sous la deuxième République, 328 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 95 ; 295 ; le développement de l’Internationale de 1868 à 1870 : Cf. Aubry.
Rouerie (Tuffin de la). Trompe son besoin d’activité en partant pour l’Amérique, I, 178 ; sa conspiration en Bretagne, III, 216 et sq.
Rouget (Pierre), administrateur du dis- trict de Louhans, I, 429.
Rouget de l’Isle, II, 1263 ; V, 112.
Rouher, ministre de Louis-Napoléon en 1849. IX, 158 ; 288 ; 289 ; 353 ; sa démission de janvier, 52, X. 34 ; 39 ; 62 ; 64 ; 252 ; sa défense de l’expédition mexicaine, 2 : 4 ; 2.17 ; 262 ; le discours sur l’Italie et Rome : « jamais », 280 ; sa lutte avec Émile Ollivier, 282 et sq ; sa victoire en juillet 1867, 283 ; 356 ; il mène le Sénat contre Ollivier, 384 ; XI, 35 ; sa défense misérable de la politique impériale contre les attaques de Thiers, 63 et sq ; 92 ; XII, 23 ; 58 ; son discours contre Gambetta, 71 ; 138 ; 140 ; 176 ; 177 ; invalidé, 196.
Rouilhac, XI, 491.
Rouillé (V.), II, 1300.
Rouiller, XI, 307.
Rouland, XI, 290.
Roumanie. L’intervention de Napoléon III, X, 1856-58, X, 106 et sq ; l’Empereur suit son effort en 1860, 132.
Rousseau (J.-J.). Son influence sur les Constituants, I, 231 ; inspirateur de la gauche de la Constituante, 371 ; ambiguïté de sa religion civile, 538 ; sa conception du christianisme, III, 247 et sq ; son influence sur l’Allemagne, 443 ; 499 ; IV, 1268 ; son équivoque sur l’État de Nature est dissipée, 1496 ; 1532 ; inspirateur de Babeuf, V, 22 ; transporté au Panthéon, 2g ; IX, 27 ; 233 ; 242 ; 249 ; 251 ; 252 ; 257.
Rousselin, orateur des sections, IV, 1198 ; ami de Danton, 1201.
Rousselin. Vie de Hoche, V, 120 ; 143 ; 384 ; 414 ; 415.
Routes. Leur développement à la fin du XVIIIe siècle, 1, 43 ; sous la République de 1848, VIII, 354.
Rouveure, IX, 308.
Rouvier, XII, 41 ; 54 ; 98 ; 216 ; 239 ; il constitue le cabinet après la chute de Goblet, 250 ; sa chute, 251 ; ministre des finances, 257.
Rouvière (François). L’aliénation des biens nationaux dans le Gard, I, 486 ; 491 ; 501 ; IV, 1774 ; V, 190.
Roux (Jacques), abbé ; son passé, son rôle en février 1793, IV, 1027 et sq ; son jeu avec Marat, io33 ; ce qu’il y a de neuf dans son effort, 1038 ; hostilité de tous les partis contre lui, 1039 ; il est rejeté de la Commune par la majorité des sections, 1044 ; son effort pour garder un point d’appui, 1046 ; 1070 ; il n’oublie pas la revendication de la misère, même dans la crise politique de mars, 1092 ; 1140 ; sa réapparition à la Commune, le 19 avril, 1247 ; 1258 ; 1259 ; sa réapparition, le 1er juin 1793, à la Commune, 1424 ; ses critiques et son manifeste sur la Constitution de 1793, insuffisante au point de vue social, 1596 ; quelle fut sa faute, 1601 ; chassé de la Convention, i6o3 ; son discours aux Cordeliers, i603 ; chassé des Cordeliers, sa protestation, 1607 ; son caractère, 1608 et sq ; incriminé à la Commune, 1610 ; 1622 ; sa conduite après la mort de Marat, 1632 ; ses efforts audacieux pour s’emparer de sa popularité, 1632 ; sa lutte contre les hébertistes, 1696 ; il se tue, 1699 ; la fin d’une âme noble et tourmentée, 1699.
Roux, juge de paix, IV, 1308.
Roux, député à la Convention, V, 75.
Roux-Lavergne, IX, 177.
Rouxel, tailleur, un des Soixante, X, 225.
Rouyan (P.), organisateur des missions sous la Restauration, VII, 135.
Rouyer, député à la Législative, accuse Delessart, II, 932 ; député à la Convention, V, 42 ; se rallie à la Constitution de l’An VIII, VI, 46.
Rovaray (de), avocat genevois, III, 649 ; exilé, 650 ; il se rallie à l’aristocratie, 654.
Rovère. Envoyé à Lyon par la Convention, IV, 1068.
Roy, ministre en 1819, VII, 138 ; combat le projet Villèle sur le milliard, 200 ; 231.
Roy (François), notable de Louhans, I, 427.
Royalistes. Leur réapparition dans l’action révolutionnaire en mai 1793, IV, 1226 ; leur action pour utiliser à leur profit la misère du peuple, V, 90 ; leur action de janvier à avril 1795, 98 ; leur programme en 1795, 135 ; leur opposition à la Constitution, 135 ; leur position par rapport aux Thermidoriens, 136 ; ils mettent une sourdine après Quiberon, 136 : leur furie contre les décrets du deux-tiers, 137 ; leur action à Paris, 138 ; le 13 vendémiaire, 140 et sq ; leur situation au début du Directoire, 295 ; leurs clubs, leur rôle dans les Conseils, 296 ; leur rôle d’avril 1796 à juin 1797 ; les élections de mars-avril 1797, 354 et sq ; leurs menées après juin 1797, 408 et sq ; leurs menées et leurs brigandages en 1799, 535 et sq ; leurs insurrections, 536 et sq ; leur action au lendemain du 18 brumaire, VI, 19 ; l’attentat de la rue Saint-Nicaise est leur œuvre, 151 et sq.
Leurs menées en 1814, 584 ; leur conduite à Paris, VII, 7.
Leur tactique de calomnies en 1848, IX, 35 ; légitimistes et orléanistes en 1850, 201 et sq ; les négociations inutiles, le désarroi au camp des fusionnistes, 203.
XII, 71 ; la conspiration de 1873, 115.
Royanez., mégissier, X, 209 ; un des Soixante, 225.
Royauté française. Comment elle n’a pas su se transformer en monarchie moderne et éviter la Révolution, I, 20 ; son alliance avec la noblesse et l’Église, I, 20 ; droits que lui a donnés la Constituante, 376 ; son abolition, 176 et sq.
Roye (V.), V, 10 ; 12 ; 13 ; 15.
Royer, jacobin, IV, 1673.
Royer. Ses discours anti-républicains, VI, 19.
Royer-Collard, secrétaire du Conseil général de la Commune en 1792, II, 1205 ; IV, 1312 ; 1314 ; V, 180 ; 537 ; VII, 38 ; 95 ; 97 ; sa lutte pour la liberté individuelle, 99 ; son opposition à la confiscation des biens des exilés, 103 ; ses interventions pour la loi électorale, 118 ; 124 ; 147 ; 151 ; il défend l’enseignement mutuel, 169 ; son discours de 1822 sur liberté de la presse, 182 ; son intervention pour l’Instruction publique, 183 ; 188 ; son appui à Manuel, 190, chassé de sa chaire sous le ministère Villèle, 196 ; réélu en 1823, 198 ; 199 ; son intervention dans la discussion sur le sacrilège, 208 ; son discours sur la loi de justice et d’amour, 216, 218 ; 224 ; 228 ; 232, 234 ; VIII, 92 ; son attitude de désabusé en 1831, 102 ; 116 ; 129 ; 262 ; 279 ; 339.
Royer-Deloche, député suppléant à la Convention, IV, 1272.
Royou, journaliste royaliste poursuivi par Marat, II, 1167.
Royrand, IV, 1147.
Rozaven (le Père), jésuite, VIII, 519.
Rozier. Nouveau cours complet d’agriculture, V, 267 ; 269 ; 274.
Rozoy (Du). Arrêté en août 1792, III, 11.
Ruau, XII, 268.
Ruault, député à la Convention, III, 111.
Ruault, gouverneur de Lille, III, 187.
Ruault, conspirateur, X, 99.
Ruhat, disciple de Fourier, VIII, 320.
Ruche populaire (La), journal ouvrier, VIII, 373 ; X, 186.
Rückert, poète. Son œuvre en 1813, VI, 430.
Rude, sculpteur, VI, 508 ; VIII, 521.
Rudlo, ami d’Orsini, X, 110.
Ruelle, député à la Convention, son action en Vendée, V, 60 et sq.
Ruffin, diplomate français à Constantinople, V, 374 ; 481.
Ruge (Arnold), X, 96.
Rügen (Île de), VI, 322.
Rühl. Pousse à la guerre par son discours du 27 novembre 1791, II, 862 et sq ; 1218 ; III, 200 ; son rôle au 1er prairial, V, 96.
Rulhière. Arrêté en août 1792, III, 10.
Russel (lord), X, 137.
Russie. Cf. Catherine II, Paul 1er Alexandre 1er, etc. Ses dispositions après Campo-Formio, V, 399 et sq ; hostilité croissante contre la France, 401 ; ses intentions diplomatiques à la fin de 1798, 496 ; les troupes russes en Autriche ; la deuxième coalition contre la France, 498 ; la campagne de 1799-1800, 503 et sq ; se retire de la coalition en 1799, VI, 100 ; alliance de Bonaparte et de Paul 1er, 120 ; la quatrième coalition, la campagne de 1807, 223 ; les relations avec la France après 1807 ; l’entrevue d’Erfurth, 327 ; la question du blocus, 328 ; les relations avec la France de 1807 à 1812. 383 et sq ; les questions litigieuses, Oldenburg, Pologne, etc., 385 ; l’alliance avec la Prusse, 422 ; la campagne d’Allemagne, 425 et sq ; le projet de mariage de Napoléon 1er avec une princesse russe, 459 et sq ; son rôle au congrès de Vienne, VII, 41 ; 187 ; son intervention pour la Grèce, 220 ; sa situation en 1830, VIII, 111 ; son rôle en 1840, 392 ; sa politique extérieure en 1844, 5u ; son intervention dans la question des Lieux Saints, X, 77 et sq ; la guerre de Crimée, 77 et sq ; 115 ; 247 ; tentative de rapprochement en 1867 ; elle échoue, 278 ; sa situation en 1873, XII, 122 ; l’idée de l’alliance franco-russe apparaît, 227 ; la question d’Orient en 1878, 230 ; le rapprochement avec la France en 1891, 257 ; polémiques, 257.
Ryard, révolutionnaire lyonnais, IV, 1508.