Histoire socialiste/Table analytique/G
Table analytique
Gahet, curé, maire de Dommartin-les-Cuiseaux, 1, 427.
Gahet. disciple de Fourier, VIII, 320, 321 ; 446.
Gahiac (de), un des conseillers de l’expédition du Mexique. X, 134.
Gachot. Histoire de Masséna, V, 402 ;
la première Campagne d’Italie, 441, 454.
Gadet (André), secrétaire de la section du faubourg Poissonnière. IV, 1131.
Gaëte (duc de), Mémoires, VI. 22.
Gaffarel, V, 353.
Gagneur, Fouriériste, VIII. 448 : IX, 230.
Gaillac (V.), IV, 1272.
Gaillard, révolutionnaire lyonnais, ami de Chalier, IV, 1058 ; se tue, 1744.
Gaillard, rédacteur à l’Atelier, VIII, 368.
Gaillard (père), cordonnier babouviste, X, 326 ; poursuivi, 326 ; son rôle dans les réunions publiques, 328.
Gaillon. commissaire de section. II, 1278.
Galin-Paris-Chevé. La méthode de musique, IX, 230.
Galissot. membre du Directoire secret des Fédérés de 1792, II, 1264.
Galliffet (de), XI, 354 ; son rôle le 3 avril 1871, 359 ; il massacre, 363 ; 470 ; il massacre, 480 ; membre du Conseil supérieur de la guerre. XII, 239 ; ministre de la Guerre, 271 ; sa réponse violente à Pelletan, 284 : sa démission. 292.
Gallimard, XI, 443.
Gallipoli (V.), X, 79.
Gallon (père), membre du Comité de salut public de Nantes. I, 416.
Gambetta. X, 148 ; sa jeunesse : ii étudie Proudhon, 148 et sq : 225 ; le procès Baudin, 326 : 342 ; 343 ; élu à Paris en 1869. 346 ; 358 ; 374 ; il proteste contre l’envoi des troupes au Creusot, 378 ; sa politique en juin 1870. 388 ; la Révolution du 4 septembre, XI, 19 ; la délégation de Tours, 11 et sq : 15 ; son attitude en juillet 1870, 212 et sq ; pourquoi il se tait le 16 juillet 1870, 213 et sq ; son intervention le 15 juillet 1870, 231 ; comment en flattant sa fierté patriotique il tentait de ramener l’Assemblée vers la paix, 234 ; mais qu’aurait-il fait si l’avènement de la République avait eu lieu avant la guerre ? 235 ; 246 ; 248 : élu en juillet 1871, XII, 22, 23 ; sa déclaration sur la question romaine, 27 ; 41 : sa lettre au docteur Cornil en 1871, 46 ; 47 ; sa campagne de 1872 contre l’Assemblée nationale, 46 : 71 ; sa réponse au discours de Rouher, 72 ; sa campagne pour la dissolution de l’Assemblée ; comment il ménage Thiers 84 ; son discours de Saint-Julien, 86 : 89 ; 98 ; 110 ; l’interpellation du 18 mars, 74 ; il flétrit Rouher, 140 ; ses déclarations pacifistes, 146 ; 153 : 156 : 161 : son discours sur la proposition de dissolution déposée par Brisson. 166 ; son conservatisme républicain. 167 ; 168 : 169 ; 174 ; le discours de Ménilmontant. 175 ; il appelle l’alliance du prolétariat et de la bourgeoisie, 177 ; 182 ; sa campagne modérée lors des élections de 1875, 183 ; son parti dans la Chambre. 195 ; 196 ; président de la Commission du budget. 196 : ses relations avec Jules Simon, 199 ; « Le cléricalisme, voilà l’ennemi », 201 : 202 ; son interpellation du 17 mai 1876, 203 ; 209 ; 211 ; 216 : 220 ; 222 ; président de la Chambre 224 : sa dictature morale lasse tout le monde, 232 ; la lutte électorale dans le XXe arrondissement en 1881. 338 ; la réunion de la rue Saint-Blaise, 237 ; président provisoire de la Chambre 239 ; il constitue le grand ministère, 239 ; ses mesures et sa chute. 240 ; sa mort. 241.
Gambou, juge à Cosne, VIII, 551.
Gambon, IX. 123 ; 295 ; 206 : à Belle-Ile, X, 84 ; élu en 1871. XI, 265 ; élu à la Commune, 308 ; 311 : 330 ; 387 ; 430 ; au Comité de salut public, 435 ; 439 ; son rôle pendant la semaine sanglante, 462, 463 ; 466.
Gamin. Le serrurier de l’armoire de fer, IV, 868.
Gamon. Un des soixante-treize, V, 41.
Gand (V.), III, 191 : IV, 1082 : le Congrès de 1863, X, 234.
Gandon. président de la Haute Cour de Vendôme, V, 323, 331.
Gauler d’Abin, XI, 299 : 438 ; 443.
Ganilh (Ch.). Essai politique sur le revenu public, V, 428 ; 457 : 561 : VI. 60.
Ganneron, VIII. 428.
Ganteaume, conseiller d’État, VI, 49 : 119.
Ganthaume, VII, 88.
Gantiers. Leurs grèves et leurs assemblées en 1833, VIII, 235.
Gants jaunes. Nom donné par les impérialistes aux bourgeois hostiles à Bonaparte, au moment du Coup d’État, X, 14.
Garat. Son intervention sur la question du marc d’argent, I, 392 ; III, 368 ; 412 ; abandonne la politique des Girondins, 432 et sq ; ministre, IV. 976 ; 1025 ; 1138 ; 1224 ; sa politique, dissolvante de l’action de la Gironde, 1342 ; 1345 et sq ; il ne sut pas avoir une politique nette ni contre ni pour la Gironde et amena ainsi l’intervention du peuple insurgé, 1348 ; son discours livre la Gironde, i350 ; 1354 ; 1362 ; 1368 ; 1378 ; V, 522 : son rôle au 18 brumaire, 579 : nommé sénateur. VI. 51.
Garcin, IV, 1671.
Garcin. Son rôle au tribunal du Luxembourg en 1871, XI, 472.
Gard (Dép.). Vente des biens nationaux, 1, 401 : 50i ; mouvements fanatiques. 540 ; troubles ruraux, II, 1078 : IV, 1774.
Garde départementale. Le projet :
comment il sembla bientôt une manœuvre de la Gironde, III, 387 et sq.
Gardes françaises. Leur condition ; comment le peuple les travaille, I, 255 ; le peuple délivre ceux qui sont prisonniers à l’Abbaye, 256 ; leur rôle à la prise de la Bastille, 263 ; IV, 1247.
Garde nationale, II, 1 15b ; le désarmement du peuple par la Convention, V, 97 ; ses manifestations en 1827 ; sa dissolution, VII, 217 ; suppression du commandement général, VIII, 94 ; sa réorganisation par la loi du 22 mai 1831, 95 ; ses mœurs, 96 ; comment elle fut l’appui de Louis-Philippe, 97 ; son organisation en 1848, IX, 31 ; bataillons fidèles et bataillons suspects, 32 ; elle sauve l’Assemblée le 15 mai, 54 ; elle est du coup maîtresse de l’État, 55 ; on désarme les prolétaires après juin, 90 ; son organisation dans la Constitution de 1848, 119 ; dissoute après le Coup d’État, X, 34 ; la force de la garde nationale en 1870 à Paris ; ce qu’elle aurait pu faire, XI, 258 ; sa reconstitution en février 1871 ; la manifestation du 24 février, 272 ; Cf Comité central, son organisation par la Commune, 344 ; sa dissolution décrétée par l’Assemblée nationale, XII, 30.
Garde nationale mobile. Son institution en 1848, IX, 10 ; d’où venait l’idée ; la jeunesse faubourienne transformée en prétoriens de la République, 58.
Gardien, membre de la Commission des douze, IV, 1310.
Garibaldi, IX, 145 ; la conquête des Deux Siciles, X, 122 ; Mentana, 280 ; son rôle au Congrès de la paix, 315 ; XI, 42 ; élu en 1871, 265 ; outragé à Bordeaux, 266 ; 275.
Garin. un patriote, I, 592.
Garin. administrateur des subsistances, IV, 1240 et sq ; son Avis au peuple, 1243 ; 1316.
Gariot. Conspire contre Napoléon en 1808, VI. 473.
Garnerin. commissaire de section. II, 1278.
Garnier. Signe une adresse au roi contre la loi des prêtres rélractaires, II, 858 ; combat projet de suppression du budget des cultes, III, 236 ; 238.
Garnier, insurgé lyonnais, VIII, 159.
Garnier, rédacteur à l’Atelier, 368.
Garnier. ciseleur, un des soixante, X, 225.
Garnier (Joseph), IX, 238 ; 256 ; 350 ; 366.
Garnier (abbé), X, 447.
Garnier-Pagès, VIII, 259 ; 260 ; 326 ; 327 ; 378 ; 380 : il défend le suffrage universel en 1840, 385 ; 408 ; sa mort en 1841. 422 ; 424.
Garnier-Pagès le jeune, élu en 1848, 432 ; 544 ; 548 ; 563 ; son rôle en février 1848, 568 et sq ; membre du Gouvernement provisoire, IX, 2 ; 3 ; 4 ; 6 ; 29 ; 45 ; 50 ; 59 : 66 ; 150 ; 168 ; 355 ; son rôle comme ministre des finances, 367 ; timoré et peu inventif, 368 ; 369 ; 370 ; X, 88 : sa candidature contre Emile Oilivier en 57, io3 ; 148 ; sa tournée électorale en 1863. 153 ; 158 ; 210 ; sa candidature contre Tolain, 228 ; la session de 1866, 260 ; 284 ; XI, 97 ; il réclame une politique de paix avec l’Allemagne, 107 ; 251 ; XII, 60.
Garnot, rédacteur à [’Atelier, VIII, 368.
Garot (abbé). Sa lutte contre Cousin, VIII, 497.
Garran-Coulon, membre des Cinq-Cents, V, 166.
Garrau, député à la Convention, IV, IV, 1275 : 1279 ; 1294 ; membre des Cinq-Cents, V, 553.
Garreau,, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 426.
Garreau, boulanger à Versailles, IV, 1671.
Gasparin, IV, 1681.
Gasparin, préfet de Lyon, VIII, 267.
Gasparin (Comte de), VIII, 440.
Gasparin (de), son fils, VIII, 556.
Gasset, VIII, 354.
Gastineau (Benjamin), directeur de la Bibliothèque Mazarine sous la Commune, XI, 399.
Gaston, perruquier, Vendéen, IV, 1158.
Gatteaux. père, graveur sur médailles, V, 224.
Gatti de Gamond, Fouriériste, VIII, 446.
Gauche (de l’Assemblée Constituante), son esprit, I, 371 ; de l’Assemblée de 1871, XII, 195 ; les noms des différents groupes. Gauche fermée, X, 385. Gauche ouverte, X, 385.
Gaudin, ministre des finances sous le Consulat provisoire, VI, 20 ; 26 ; 49.
Gauguier, VIII, 359.
Gaule (Benjamin), curé de Saint-Vincent-du-Fort-du Lac, proteste contre le bref du pape et dénonce les sentiments cupides des réfractaires, I, 654.
Gaulois (Le), journal, XI, 291 ; 363 ; réclame du sang, 470 ; 473 ; 474 ; 481 ; 482.
Gaultier-Biauzat, juré de la Haute-Cour de Vendôme, V, 327 ; son attitude comme juré, 330 ; exclu des conseils par la loi du 22 floréal, 438.
Gaume (abbé), IX, 161 ; son livre : le Ver rongeur des sociétés modernes. 183.
Gautherot, peintre, VI, 503 ; 506.
Gauthier (de Remillv). président du Sénat, XII, 186.
Gauthier, IV, 1440.
Gauthier, ouvrier, X, 208.
Gautier (Théophile), VIII, 96.
Gaveau, juge versaillais, XI, 483 : 486 ; XII, 34 et sq.
Gavarni, VIII, 96.
Gavots (Cf. Compagnonnage).
Gay (Victor). Son interpellation sur les grèves de Saint-Etienne, XII, 282, 283.
Gay-Lussac. Ses travaux scientifiques, VI, 300 ; combat le projet de loi pour la protection des enfants, VIII, 356 ; ses découvertes, 522 ; 547.
Gaz. Le monopole parisien de 1855, X. 58.
Gazette de Cologne, XI, 179.
Gazette de France (la), VI, 20 ; 23 ; 50 ; sa critique de la mesure qui la laisse subsister, 56 ; 60 ; 468 ; VIII, 98, 99 ; 201 ; 415 ; X, 47 ; 267.
Gazette de l’Allemagne du Nord La), XI, 223.
Gazette des Tribunaux (La), XII, 50, 62.
Gedouin, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416.
Geffroy (Gustave), VIII, 15 ; 35 ; 81 ; 287 ; 208 ; 539 ; IX, 6 ; 36 ; X, 288 ; 302 ; 332 ; XII, 59.
Gendarmerie. Son organisation par le Directoire, V, 174.
Gènes (V.). Ses relations avec la France pendant les guerres révolutionnaires, V, 120 ; ses négociations avec la France en 1796 ; 350 ; 394 ; le siège de 1800, VI, 107 ; la république ligurienne à la dévotion de Bonaparte, 175 ; annexé à la France, 210 ; VIII, 225.
Genessieu, député à la Convention, III, 111.
Genève (V.). Sa vie politique au XVIIIe siècle ; aristocratie et démocratie, III. 648 ; l’intervention de la France contre la démocratie, 649 et sq ; relations avec Grenoble en 1789, 650 ; pétition des habitants de la campagne en 1790, 651 ; l’aristocratie fait appel à l’Angleterre. 652 ; ses inquiétudes après le 10 août, 544 ; le passage de Montesquiou. 655 ; réuni à la France, V, 406 ; le Congrès de l’Internationale en 1866. X, 299 et sq ; le Congrès de la Paix en 1867, 313 ; son organisation, 313 ; la grève de 1868, 319.
Genevois. Membre de Comité de Salut public de Nantes, I, 416.
Genevois, député à la Convention, III, 112.
Geney, citoyen de la section des Gobelins, II, 1205.
Genlis (M"« de). Son œuvre littéraire, VI, 500.
Genoude (de), VIII, 98 ; directeur de la Gazette de France, 415 ; IX, 198.
Gensonné, procureur-syndic de Bordeaux, 1, 413 ; II, 946 ; son intervention dans la question de Saint-Domingue, 987 ; 990 ; 992 ; dénonce les ministres en juin 1792, 1218 ; donne des consultations politiques à la cour, 1246 ; 1282 ; III, 10 ; 79 ; 201 ; ses relations avec Dumouriez, IV, 926 ; 952 ; 954 : 1123 ; 1161 ; 1193 ; dénoncé par les sections de Paris, 1199 ; 1204 ; 1437 ; 1642 ; sa mort, 1682.
Gensoul, VI, 516.
Gent. 201 ; son activité républicaine en 1850, IX, 211 ; XII, 42.
Gente Pullec, III, 202.
Genton, X, 332 ; signataire de l’affiche rouge, XI, 256 ; son rôle dans l’exécution des otages, 459 ; 491.
Genuyt. Poursuivi pour coalition, puis acquitté, VIII, 19.
Geoffroy-Saint-Hilaire. Part en Égypte, V, 464 ; ses travaux scientifiques, V|, 300 ; sa polémique contre Cuvier, VIII. 90.
Georges III, roi d’Angleterre, refuse d’intervenir en France, I, 747.
Georges (Mlle), actrice, VI, 511.
Georget. vainqueur de la Bastille, I, 264.
Gérard, peintre, V, 222 ; VI, 503 ; 505.
Gérard (maréchal). Son rôle en juillet 1830. VII, 244 et sq ; son expédition en Belgique, VIII, 135 ; président du Conseil en 1834, 272.
Gérard (général), IX, 49.
Gérardin (Charles). Elu à la Commune, XI, 308 ; 430 ; membre du Comité de salut public de la Commune, 431, 432.
Gérardin (Eugène), XI, 308 ; élu à la Commune, 31i ; fait partie de la minorité de la Commune, 431 ; 439 ; 463.
Gérault-Richard. Condamné, XII, 265.
Gerbaux (Fernand), V, 255 ; 263.
Gerbet (Mgr). Son opposition en 1859, X, 122.
Gerbier, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416.
Gerdret, cordonnier, III, 299 ; 323.
Géresme. Elu à la Commune, XI, 308 ; 387 ; 430 ; 463 ; 466.
Gérigeon, X, 209.
Géricault, peintre, VI, 503 ; 504 ; ses premières œuvres : la Méduse, 505 ; VII, I37.
Gerle (dom). Propose de déclarer la religion catholique religion nationale, I, 541 ; IV, 1814.
Germain. Signe une adresse au roi contre la loi des prêtres réfractaires, II, 858.
Germain (Charles), Connaît Babeuf à Arras, V, 282 et sq ; son rôle dans la Conspiration des Egaux, 30g ; 316 : 318 ; 327 ; 329 ; 332.
Germain (Henri), XII, 56.
12 Germinal an VI (Journée du). Insurrection, V, 87 et sq.
Germiny (de), VII, 100.
Gers (Dép.. Organisation de l’enseignement primaire de 1794 à 1800, V. 190 ; organisation de l’enseignement secondaire, de 1794 a 1800, 196 ; sa culture, 267, 278 ; l’insurrection royaliste en l’an VII, 536 ; X, 19 ; la répression, 26.
Gertruydenberg (V.). Pris, IV, 1084.
Gervais (Amiral), XII, 257.
Gerville-Réache, XII, 287 ; son ordre du jour dans l’affaire de la Martinique, 288.
Geugenot (de), 1, 685.
Gex. Opposition de sa noblesse et de son Tiers État à la question des biens communaux, I, 207.
Gilibert, médecin lyonnais, IV, 1057 ; maire en février 1793, 1068.
Gill (André). XI, 399.
Gillaud, rédacteur à l’Atelier, VIII, 372.
Gilly. Elu par Marseille pour la Convention de Bourges, IV. 1634 ; renvové devant un conseil de guerre, VII, 78 ; condamné à mort, 112.
Ginguené, VI. 158 et sq : éliminé du Tribunat, 161.
Gioberti, IX, 145.
Girardet (A.), graveur du premier Empire, VI, 508.
Girardin (Stanislas de), VI, 5i ; VII, 155.
Girardin (E. de), tue Carrel, VIII, 284 ; ses origines, protégé de Martignac ; ses journaux, 284 ; la Presse, 286 ; 425 ; 428 ; invite Guizot à la réforme électorale. 537 ; 545 ; IX, 24 ; 91 ; 124 ; 128 ; developpe en 1848 un projet de Gouvernement direct qui mène droit au despotisme, 255 ; 271 ; 324 ; 375 ; son idée de la grève générale, X, 12 ; 160 ; 213.
Girardin (Mme de), IX, 126.
Girardot, II, 1042.
Giraud (Vincent), conspire avec Huber, VIII, 332.
Giraudeau, XI, 177 ; 179 ; 212.
Girerd (Cyprien), 140 ; 172 ; 211.
Girey-Dupré. Accuse Robespierre d’être d’accord avec les contre-révolutionnaires, II, 1181 ; traduit à la barre de la Commune, résiste, 111, 33 : IV, 1406.
Girod (de l’Ain), VIII, 16 ; président de la Chambre, 121 ; 402.
Girodet, peintre, V, 222 ; VI, 503.
Giromagny (V.). Son école pratique, V, 206.
Gironde (La), journal, X, 152.
Gironde (Dép.). Ses élus à la Convention, III, 111 ; Cf. Girondins.
Girondins. Toute leur politique consiste a secouer la fatigue de la nation en recourant à l’aiguillon de la guerre, II, 824 ; ils osèrent et furent seuls à oser en 1792 ; de là leur ascendant ; 835 ; ils font de la guerre une formidable manœuvre de politique intérieure, 837 ; ménagent le roi pour cacher leur jeu et surexcitent les sentiments ouvriers, 838 ; leur politique religieuse même est dominée par leurs préoccupations extérieures, 851 ; réjouis et inquiets de la politique de Narbonne, 880 ; leur politique compliquée à l’égard de Narbonne, 882 ; début de leur haine contre la Montagne, 896 ; leur audace sournoise dans la question de la guerre, 928 ; la paix restait possible en mars 1792, mais ils cherchaient à susciter la guerre par surprise, 931 ; leur avènement au pouvoir, 941 ; leurs conceptions économiques ; ils sont plus préoccupés d’assurer l’abondance et la circulation des richesses, que de régler leur distribution, 1011 ; ils sont dès 1792 en désaccord avec le peuple ouvrier de Paris, 1012 ; leur ministère flotte de l’incapacité à l’intrigue, 1164 ; leur situation en avril 1792 ; ils demandent des poursuites contre Marat, 1167 ; ils sont incapables dès avril 92, de mener leur propre politique, 1167 ; ils eurent le mérite de poser les problèmes, 1175 ; leur tactique en proposant le camp sous Paris, 1176 ; ils sont dans le sens de l’action révolutionnaire en juin, 1181 ; leur embarras après le renvoi des ministres, 1192 ; rapprochés de Robespierre par l’intervention de La Fayette, 12o3 ; leur attitude après le 20 juin, 1211 : leurs hésitations dans la période qui précède le 10 août, 1245 et sq ; le 8 août, ils sentent la crise inévitable, 1282 ; jugement sur leur œuvre à la Législative, 1314 et sq.
Ils veulent en finir avec la Commune, fin août, III, 33 et sq ; leur discorde avec Paris semble s’effacer devant l’ennemi, 49 ; ils veulent profiter des massacres pour relever l’autorité de l’Assemblée en face de la Commune, 76 et sq ; toute leur lutte à mort contre la Montagne s’annonce dès les journées de septembre, 83 et sq ; leur propagande électorale en 1792, 99 ; leurs ambitions vaniteuses et leurs desseins contre Paris lors de la réunion de la Convention, 122 ; leur plan : faire retomber les massacres de septembre sur la Commune, 122 ; leur lutte contre Marat commence, 124 ; leur tactique avant la réunion même de la Convention, 125 et sq ; ils peuvent accuser leurs adversaires de prêcher la loi agraire, 131 ; leur situation très forte au début de la Convention, 368 ; mais ils veulent écraser leurs rivaux, 372 ; leur hallucination du poignard, 377 ; ils accusent de dictature les démocrates, 378 et sq ; étourderie de cette accusation qui ne peut que les perdre, 383 ; comment ils perdent leur crédit auprès des députés sans parti-pris, 386 ; leurs relations avec les Jacobins, 387 ; ils tournent contre eux tous les démocrates, sur la question de la garde départementale, 388 et sq ; ils font un nouvel effort pour écraser Marat et Robespierre, 410 et sq ; leur défaite : la Convention refuse d’entendre la réplique de Louvet à Robespierre, 429 ; l’isolement grandit autour d’eux, 434 et sq : ils sont perdus d’avance, au début de 1793, 440 ; sympathiques aux Allemands révolutionnaires, 554.
Ils hésitent à porter le coup décisif contre le roi ; leur état d’esprit, IV, 863 ; ils multiplient les manœuvres d’ajournement, 864 et sq ; leur manœuvre pour atteindre Danton, Robespierre, Marat comme royalistes, 867 : pourquoi malgré leur souci du régime représentatif, ils demandèrent l’appel au peuple, 892 et sq : fausseté de leur argument de péril extérieur, 894 ; leurs désaccords entre eux sur la portée et le caractère de cet appel, 900 ; ils sont moins préoccupés au fond de la sentence finale que des moyens par lesquels elle sera obtenue, afin d’accabler les Montagnards, 906 ; pourquoi ils inclinent à la pitié envers le roi, 956 ; ils tentent de profiter du mouvement contre la propriété en février I793, 1073 ; ils perdent pied en mars, lors des premiers revers de Belgique, 1090 ; ils laissent échapper l’occasion de rentrer dans la Révolution, 1134 ; leur attitude dans la question du tribunal révolutionnaire, 1135 ; leur calcul en faisant envoyer des commissaires Montagnards, 1137 ; peu ardents contre les Vendéens, 1161 ; leur idée de la triple conspiration et qu’il faut se tourner d’abord contre les « anarchistes », 1163 et sq ; mouvement contre eux après la trahison de Dumouriez, 1171 : ils essaient de marquer leur puissance à la Convention par les présidents, 1193 ; ils tentent de porter la guerre dans les sections mêmes, 1206 ; ils font appel aux classes moyennes, à la bourgeoisie, 1207 ; déclamateurs mais courageux en face du danger croissant, 1267 ; leur confiance agressive au milieu de mai, 1269 ; leur plan contre les Montagnards, 1298 : ils déchaînent contre eux les colères à la Convention, le 25 mai, iÎ37 et sq ; incertains et divisés, 1344 ; ils font, les premiers, appel à la force armée, 1346 ; voient le péril prendre corps, 1392 et sq ; leur réunion du 1er juin chez Meillac, 1439 : Cf. journée du 8 juin ; pourquoi ils furent vaincus et éliminés, 1447 et sq ; leur lutte contre les Montagnards fut une lutte de parti et non une lutte de classes, 1458 ; c’est dans l’ambition et l’orgueil de la Gironde qu’il faut chercher les raisons de sa perte, 1459 ; rapport de Saint-Just sur ceux d’entre eux qui ont été arrêtés, 1626 et sq ; impuissance des fugitifs dans les départements, 1630 et sq ; ils sont tués par Charlotte Corday, 1633 ; les soixante-treize sauvés par Robespierre, 1696 ; les soixant-treize réintégrés à la Convention, V, 40 et sq ; comment ils amplifient le mouvement de réaction, 42.
Gisors. architecte, V, 224.
Gisquet, commis de la banque Périer dans les affaires louches, préfet de po- lice, VIII, 118 ; accusé de concussion, 399.
Givet (V.), 1, 709.
Glais-Rizoin, IX, 266 : élu en 1863, X. 159 ; 286 ; 324 : 362.
Gladstone. Sa réponse au Gouvernement de Thiers après la Commune, XI, 487.
Glanage (Droit de). Conflit à son sujet entre les paysans et les bourgeois propriétaires, et même entre les paysans, I, 186 et sq.
Glaneuse (la), journal républicain lyonnais, VIII, 263.
Globe (Le), VIII, 10 ; i3 ; 18 ; 19 : 36 ; 49 ; sa fiction d’un discours du trône saint-Simonien, 122 ; 166 ; 178 ; devient saint-Simonien, 191 ; 195 ; 201 ; 202 ; 206.
Gnocchi-Viani, XII, 208.
Gobel, évèque de Lydda, prête serment, I, 639 ; évèque de Paris, ses instructions sur l’état-civil, 111, 228 ; il vient abjurer ses fonctions à la Convention, IV, 1709 ; sa mort, 1799.
Gobelins (Manufacture des). Salaires en 1792, III, 283 : sa situation en 1806, VI, 296 ; 509.
Gobelins (Section des), II, 997, pétitionne à la Législative sur l’affaire du sucre, 997 et sq ; son rôle au 20 juin 1792, 1207 et sq ; 1268.
Gobert, commissaire de section, II, 1277.
Goblet, XII, 236 ; 242 ; président du Conseil, 249 ; chute de son ministère, 249.
Godin, disciple de Fourier, VIII, 320,
321 ; IX, 230.
Godoy, ministre espagnol, IV, 964 ; V, 124 ; 376 ; 379 ; son impopularité, son caractère, son rôle, VI, 345 et sq.
Godwin, III, 773 ; points de contact de son œuvre et du mouvement révolutionnaire, 814 ; valeur de son œuvre, 815 ; elle a son origine dans le matérialisme français du XVIIIe siècle, 816 : la Révolution française lui apprend la vertu de la démocratie, 816 ; et la notion du devoir social, 818 ; sa confiance dans l’éducation, 819, dans la croissance parallèle de la science, de la politique et des progrès sociaux, 822 ; son horreur du gouvernement, 824 ; des associations politiques, 824 ; la démocratie est le gouvernement le plus scientifique, mais il faut qu’elle cherche à réaliser l’égalité sociale, 825 ; critique de l’iniquité sociale, 828 et sq ; droit de tous les hommes aux jouissances de la vie, 830 ; examen de la propriété. 831 et sq : il semble parfois condamner le luxe comme les moralistes, 833 ; mais cela provient de son expérience de la dure vie anglaise, 834 ; surtout il veut réaliser la justice, 835 ; il se borne cependant à demander la suppression des privilèges qui aggravent le privilège de la propriété, 837 ; la modicité de ses conclusions révèle son réalisme, 839 ; comment il se rattache aux revendications actuelles, 840, et marque ce qui le sépare des auteurs antérieurs, 841. comment il conçoit l’égalité future, 844 ; la guerre et l’inégalité, 846 ; le problème de la population, Godwin et Malthus, 846 ; sa conception du développement de l’humanité, 849 et sq ; sa conception de la production, 851 ; ce communisme de liberté a sa source dans la Révolution, 854.
Goethe. Son mot sur Valmy, III, 169 ; 445 ; son appréciation sur l’œuvre de Frédéric II, 475 ; 498 ; le Faust ne se ressent en rien de l’émotion révolutionnaire, 532 ; présenté à Napoléon, VI, 327 ; 494 ; VIII, 91.
Goff (Thomas), III, 202.
Goguelat (Baron de). II, 956 ; V, 105.
Gohier, député à la Législative, II, 787 ; ministre de la Justice, s’applique à compromettre les Douze, IV, 1342 ; ministre de la Justice, V, 20 ; ses Mémoires V, 243 ; exclu des Conseils par la loi du 22 floréal, 438 ; membre du Directoire, 536 ; 564 et sq ; son rôle au 18 brumaire, 569 et sq ; sa nullité, 578.
Golbéry, VIII, 329 ; 384.
Goltz. (de), ambassadeur prussien. X, 272.
Gomaire, membre de la Commission des Douze, IV, I31O.
Gomard, négociant à Paris. II. 1014.
Gomez. ami d’Orsini, X, 110.
Goncourt (frères de), I. 599 ; 600 ; V, 169 ; 218 ; 227.
Gonneville (V.). Sa filature de coton, V, 246.
Gony d’Arcy. Son témoignage sur les représailles après le 14 juillet, I, 266.
Gorani, III, 854.
Gorce (de la), X, 50 et sq ; XI. 201.
Goret, commissaire de section, II, 1278.
Gorguereau, député à la Législative, formule la doctrine du salut public, II, 842.
Gorsas, élu à la Convention, III, 98 ; IV, 1131 ; dénoncé par les sections de Paris, 1199 ; 1437 ; décret d’arrestation contre lui le 2 juin, 1447, 1448.
Gortschakoff, X, 143.
Gouhen, historien anglais, VI, 303.
Gossec, musicien, V, 204 ; 225.
Gossez, VIII, 72.
Gossuin, IV, 1084 ; 1087.
Gottschall, poète allemand de 1840, VIII, 398.
Gouhin, sergen de la Rochelle, VII, 175.
Gouchon. orateur du peuple, le 20 juin 1792, II, 1208.
Goudchaux, IX, 64 ; 73, 74, 75 ; 90 ; 97 ; 276 ; 312 ; 346 ; 361 : ministre des finances, sa politique et sa timidité, 366 ; son incapacité et sa démission, 367 ; 374 et sq ; son comité de secours pour les proscrits, X, 87 ; élu en 1857, 104 ; refuse le serment, 104.
Gougeard, XI, 14.
Gouhenant. Emmène l’avant-garde icariennne, VIII, 563.
Gouin, VIII, 356.
Goujon, député à la Convention, V, 75 ; son rôle au premier prairial, V, 94 ; 96 ; 435.
Goulard (de), XII, 88 ; 96 : 97 ; 99 ; 100.
Goulart, V, 327.
Gounouilhou, X, 152.
Goupil, élu à la Commune, XI, 308 ; sa démission, 408.
Goupilleau. député à la Législative, 111. 91 ; IV, 988 ; 1296 ; 1683.
Goupillon. Trahit le complot de la Rochelle, VII, 176.
Gourau, Carbonaro, VII, 175.
Gourd. Son interpellation contre Millerand, XII, 283.
Gourgaud (baron), ministre, V, 466 ; 472 ; VII, 64.
Gournay (V.), manifestation de 1830. VIII, 35.
Goutte, sous-diacre, signe protestation de civisme, I, 636.
Gouvernement bourgeois. Le mot apparait dans la Révolution à propos de Lyon IV, 1070.
Gouvernement provisoire. Sa constitution en février 1848, IX, 2 ; entraîné vers le socialisme, 7 et sq ; le droit au travail, 8 ; il ne sait résoudre dans un sens ou dans l’autre la question extérieure, 18 ; les intrigues dans son sein en mars, 35 ; il organise la manifestation du 20 avril, 39 ; sa disparition devant l’Assemblée élue, jugement sur son œuvre ; en voulant éviter la guerre civile il avait tout fait pour la rendre inévitable, 50 ; sa politique de division ouvrière par les ateliers nationaux, 62.
Gouvernement révolutionnaire (Cf. Comité de salut public, etc.) Sa réforme après le 9 thermidor, V, 24, 26 : 223.
Gouvier, major-général, fait évacuer l’Hôtel de Ville, le 5 octobre 1789, 1, 340.
Gouvion-Saint-Cyr, III, 190 ; maréchal, IV, 983 ; ses Mémoires, V, 402 ; 403 ; 487 ; ministre, VII, 75, 131 et sq ; comment il défend sa loi militaire, 123 ; ministre de la guerre en 1818, 129 ; sa démission, 138.
Gouy de la Myre, dénonce Babeuf, V, 14.
Gouzy. III, 111.
Graliau, dit Quatretrillons, brigand catholique de Nîmes, VIII, 36.
Gragnon, préfet de police, XII, 248 ; ministre de l’Instruction publique, 247.
Grammont, acteur et révolutionnaire, IV, 1295 ; hébertiste, 1745.
Grammont, commerçant du premier Empire, VI, 281 et sq.
Grammont (de), député libéral sous la Restauration, VII, 121.
Grammont (Général de), IX, 320.
Gramont (Duc de), X, 128 ; 143 ; ministre en 1870, 388 ; comment M. E. Ollivier a-t-il pu subir cette nomination, XI, 168 ; son altitude maladroite en face de la candidature Hohenzollern, 176 ; sa déclaration du 6 juillet au Corps législatif, 176 ; il envoie Benedetti à Ems, 180 et sq ; sa formidable responsabilité en celle affaire, 184 ; il cherche à compromettre à fond le roi de Prusse dans l’affaire, 194 ; son discours, le 11 juillet, au Corps législatif, sa dépêche du 11 au soir à Benedetti, 199 ; comment il accueille la communication espagnole du 12, 201 ; par quelle ineptie infatuée il essaie d’obtenir de quasi-excuses du roi de Prusse, 202 ; 205 ; l’idée d’un congrès, 224 ; comment il égare la Chambre, 227 et sq.
Grandier, au bagne, XI, 492.
Grandin, IX, 64 ; 70 ; 246.
Grandménil, chevalier de la liberté, VII, 176 ; 177 ; 178 : condamné à mort, 178.
Grandménil, fondateur de la Réforme, VIII, 458.
Grandperret, X, 388.
Grandpierre, X, 209.
Granet. Emprisonné à Marseille en 1789. I, 415 ; 11, 1282 ; IV, 1287.
Grange-Batelière ( De la), III, 10.
Grangeneuve, 11, 1282 ; III, 35 ; dénoncé par les sections de Paris, 11. 1199 ; député à la Convention, 1204 ; 1437 ; 1447.
Granger, X, 332 ; ami de Blanqui, XI, 246 ; sa réplique aux délégués de la Corderie, le 4 septembre 1870.
Granger (Simon), socialiste de 1848, IX, 231.
Granier, révolutionnaire lyonnais, IV, 1058.
Granilh, VI, 157.
Granjon, membre de la deuxième commission de l’Internationale, X, 319.
Granville (Lord), XII, 10.
Gras, républicain, XII, 226.
Grassot, acteur, 49.
Gratry (le Père), IX, 190 ; X, 51.
Grave (De), ministre de la guerre, II, 943.
Gravelotte (V.), la bataille, XI, 7.
Gravier de Vergennes, élu représentant de la Commune de Paris, le 1er août 1789, I, 310.
Gravilliers (section des), l’émeute du sucre, II, 1000 ; 1269 ; 1278 ; le 10 août 1792, 1290 ; III, 391 ; IV, 1027 et sq ; elle est formée surtout de petits artisans, 1036 ; 1092 ; 1247 et sq ; 1258, 1259 ; 1323 ; 1331 ; I352 ; 1371 ; 1387 ; 1596 ; 1601 ; comment elle défend Roux, 1697 et sq.
Gray (V.). Son Tiers-État demande le rétablissement des communaux, 1, 203.
Gréa, disciple de Fourier, VIII, 320 ; 321.
Grèce. Ses relations avec Bonaparte, V, 394 ; la lutte de l’indépendance, VII, 219.
Grégoire (Abbé). Son intervention le 5 octobre 1789, 1, 343 ; proteste contre la distinction des citoyens passifs et actifs, 384 ; 542 ; tente de dissiper les préventions contre la Constitution civile, 634 ; netteté de son langage après Varennes, mais il n’envisage pas la République possible, 716, 11, 962, 967 ; III, 175 ; 207 ; ses déclamations imprudentes de propagandiste révolutionnaire, 210 ; 211 ; V, 184 ; 187 ; 209 ; 236 ; nommé au Corps législatif du Consulat, VI, 51 ; son œuvre comme évëque constitutionnel, 71 ; son concile national en 1801, 81 ; sa nomination comme sénateur irrite Bonaparte, 160 ; 364 ; il demande la déchéance de Napoléon en 1814, VII. 18 ; son élection en 1819, 137 ; son exclusion, 138 ; VIII, 10 ; ses obsèques à l’Abbaye-au-Bois, 124.
Grégoire XVI, pape, ses négociations touchant les Jésuites, VIII, 519 ; X, 75.
Greive, citoyen de la section de Marseille, IV, 1632.
Grenard, administrateur des départements à Paris, III, 435.
Grenelle (Affaire de), V, 324.
Grenelle, quartier. La poudrière saute, V, 28. Grenelle (section de), II, 1269.
Grenier, membre du club de l’Evêché, IV, 1257 ; 1258.
Grenier (Général). Son rôle le 3 avril 1871, XI, 359.
Grenoble (V.), IV, 1272 ; le passage de Napoléon en 1815, VII, 44 ; 108 ; l’affaire du 35e de ligne en 1832. VIII, 175 ; 262 ; 263 ; 271 ; sa coopérative survit à la répression de 1851, IX, 334.
Grenouillère (Quai de la). IV, 1604 ; 1610 ; V, 308.
Grenville (Lord), III, 792 ; 890 ; VI, 99 et sq.
Greppo, IX, 98 ; 123 ; 220 ; 289 ; 306 ; arrêté le 2 décembre 1851, X, 2 ; banni en 1851, 27 ; XI, 290 ; XII, 41.
Gresley (Général), ministre de la guerre, XII, 222.
Grétry, musicien, V, 204 ; 225.
Grenlich. Sa discussion sur les Syndidats avec Tolain, X, 354.
Greuze, V, 222.
Grève générale. Sa formule donnée par Mirabeau dans son discours aux États de Provence, I, 59 ; X, V ; idée d’Emile de Girardin au moment du Coup d’État, 12 ; l’idée de Bastelica en 1869, 358 ; au Congrès de Bordeaux en 1888, XIII, 256 ; au Congrès de Nantes, 265.
Grèves. Grèves à Lyon au XVIe siècle, I, 84 ; dans la région lyonnaise au XVIIIe siècle, 88 et sq ; le droit de grève est refusé par la loi Le Chapelier, 605 et sq ; médiocre importance attachée au droit de grève pendant la Révolution française, 629 ; comment il était pratiqué en Angleterre au XVIIIe siècle, 695 et sq ; les grèves de mars 1796 à mai 1797, V, 303 ; 422 ; elles sont interdites par le Bureau de Paris sous le Directoire, 430 ; en 1798, 526 ; articles les concernant dans la loi du 22 Germinal an XI, VI, 233 ; pénalités établies sous le premier Empire, 547 et sq ; sous la Restauration, VII, 94 ; de 1830 à 1834, VIII, 226 et sq ; principales grèves à cette époque, 233 ; en 1833, signe de prospérité industrielle, 239 ; les grèves de 1840, 362 et sq ; leur répression, 367 ; discussion sur le droit de grève en 1848, IX, 287 et sq ; la Constituante ajourne la question, 288 ; la Législative maintient la prohibition, 288 ; la statistique des poursuites.de 1853 à 1863, X, 192 ; les interventions des autorités, leur prudence, 193 ; la grâce impériale de 1862 ébranle la défense de coalition, 202 ; la revendication ouvrière dans les rapports de l’exposition de Londres ; discussion et promulgation de la loi de 1864, 234 et sq ; les grèves sont condamnées par le Mémoire des Internationaux Parisiens à Genève, 298 ; la discussion du Congrès de Genève en 1866, 300 ; condamnations en 1865, 67, 307 : la poussée de grèves de 1869, 348 et sq ; les derniers mois de 1869, 363 et sq ; la solidarité ouvrière à l’œuvre, 364 ; leur développement sous le ministère Millerand, XII, 304.
Gréville, XII, 407.
Grévy (Jules). Propose qu’il n’y ait point de Président de la République, IX, 111 ; son discours sur les pouvoirs du président, 113 ; 119 ; 130 ; 197 ; son élection comme député, 1868, X, 326 ; XI, 298 ; 302 ; XII, 57 ; 89 ; démissionne comme président de l’Assemblée, 96, 97 : 115 ; son discours sur le septennat, n5 ; 168 ; 169 ; président de la Chambre, 187 ; 195 ; 220 ; président de la République, 222 ; retour sur son passé, son caractère, 223 ; parfait représentant de la bourgeoisie républicaine, 224 ; son rôle politique, quoique président, 240 ; réélu président de la République, 247 ; sa démission. 251.
Grey, III, 792 ; 811.
Grimanelli, X, 153.
Grisel (Georges). Son rôle dans la Conspiration des Egaux, V, 309 ; sa trahison, 310, 318 ; 335.
Grisier, VIII, 551.
Gros, peintre, V, 222 ; VI, 503 : 505.
Gros (Baron), X, I31.
Gros-Caillou (Quartier du), I, 731.
Grosjean (G.), — V, 400.
Grots de Luzenne, IV, 1370.
Grouchy, VII, 47 ; son rôle dans la campagne de 1815, 54 et sq ; sur sa responsabilité à Waterloo, 56 et sq ; après Waterloo, 70 ; renvoyé devant un Conseil de guerre, 78 ; 86 ; condamné par contumace, 112.
Grousset (Paschal-), X, 374 ; XI, 311, 330 ; 331 ; 388 ; son œuvre à la délégation des relations extérieures sous la Commune, 396 et sq ; 406 ; 430 ; 484 ; au bagne, 491 ; XII, 36.
Groussier. Interpellation sur les droits
de Paris, XII, 304.
Grouvelle (Laure). Conspire avec Huber, VIII, 332 ; condamnée, devient folle, 332.
Grün (Karl). Ses relations avec Proudhon, VIII, 470 ; 553 : 555 ; IX, 248.
Grury (V.). Comment son cahier distingue les diverses classes de paysans, I, 224.
Guadeloupe (île), I, 560 ; V, 56 ; 174 ; VI, 329.
Guadet. Son intervention dans la question de Saint-Domingue ; il admet l’envoi des troupes, mais préconise des accords, 11, 976 ; 979 ; 987 ; 993 ; propose de modifier le décret de la Constituante sur Saint-Domingue, 987 ; discute les idées de Barnave, 988 ; 995 ; ses reproches à Robespierre sur la Providence, 1165 ; son intervention contre La Fayette, 1200 ; son rôle le 20 juin, 1207 et sq ; 1217 ; il donne des consultations politiques à la cour, 1246 ; 1252 ; le 10 août 1792. 1295 ; 111, 35 ; 124 ; 414 ; IV, 867 ; 934 ; dénoncé par les sections de Paris, 1197 ; 1290 ; il demande que les autorités de Paris soient cassées, 1308 ; 1408 ; 1437 ; décret d’arrestation contre lui, le 2 juin, 1447 ; 1456.
Gubitz, VIII, 399.
Guénot. lithographe ; un des Soixante, X, 225.
Guépin (Docteur), 1. 416 et sq : IV, 1150 ; VIII, 72 ; sa propagande en 1848, IX, 139 ; 210 ; arrêté, X, 99 ; 152.
Guerrazzi, révolutionnaire italien, IX, 145 ; 158.
Guerches (Marquis de). Célèbre la culture aidée de l’industrie, I, 182.
Guéret (V.). Son Tiers-État demande le partage des biens communaux, I, 208.
Guérigny (V.), IV, 1703.
Guérin, député à la Convention, V, 101.
Guérin. Son livre contre les Jésuites, VIII, 516.
Guérin (Lieutenant-colonel), député, XII, 299.
Guérin (Jules). Le fort Chabrol, XII, 275.
Guérin (Jean), miniaturiste, V, 223.
Guérin (Pierre), peintre, V, 223 ; VI, 503 ; 505.
Guernon-Hauville (De), ministre avec Polignac ; jugé avec lui, VIII, 33.
Guéronnière (De la), X, 2.5 ; député en 1852. 40 ; 47 ; signe la brochure ; l’Empereur et l’Italie, en 1859, 116 ; la brochure ; le Pape et le Congrès, 112 ; 139.
Guéroult, saint-Simonien, VIII, 186 ; se retire avec Bazard, 200 ; son rôle sous le second Empire, X, 55 ; 157 ; élu en 1863, 158 ; il fonde l’Opinion nationale, X, 195 ; 226 ; comment il évince la candidature de Tolain, 228 et sq ; la session de 1866, 260 ; 343.
Guerre. La question de la guerre dans la Révolution, son importance capitale ; importance générale du problème, II, 795 et sq ; elle n’était pas inévitable, 796 ; mais elle apparaît comme un moyen de trancher les questions que directement la Révolution ne peut résoudre, 815 ; elle sort non d’une exaltation mais d’une défaillance de la Révolution, 816 ; 824 ; comment le mouvement belliqueux grandit à la fin de 1791, 860 et sq ; 873 ; jeu que jouent les différents partis à son occasion, 880 ; les guerres de la Révolution pèsent encore sur les relations des peuples, 893 ; le monde entier est encore lié par le pacte entre la Révolution et la guerre, 909 ; ce pacte est à l’origine des alliances ultérieures entre bonapartistes et républicains, 911 ; le danger qu’elle présente pour la Révolution se manifeste dès 1794, 1801.
Ce que coûtèrent en hommes les guerres napoléoniennes, VI, 363
La politique socialiste à l’égard de la guerre, la grève des peuples contre la guerre sous le second Empire, X, viii ; le mouvement pacifiste et socialiste de 1866 contre la guerre ; la protestation des socialistes contre la guerre de 1870, 391.
GUERRE (Administration de la). Ministère spécial au premier Empire, VI, 201.
GUERRE DE 1870. Récit sommaire, XI, 1 et sq ; sur qui pèse la responsabilité, 15 et sq.
Guerre des Communeux (La), XI, 362 ; 425.
Guerret (Pierce-Marguerite), administrateur du district de Louhans, I, 429.
Guerry, Vendéen, IV, 1158.
Guerry, VIII, 78.
Guesde (Jules), XII, 185 ; fonde l’Égalité, 208 ; ses articles, 208 ; sa défense au procès de 1878, 219 ; 264 ; 287 ; 306.
Guffroy, député à la Convention, imprimeur de Robespierre, V, 32.
Guibert (De), III. 190 ; son Essai général sur la tactique, IV, 982.
Guibert. Son opposition à l’Empire, X, 52.
Guiche (Comte de). Commande un détachement de gardes du corps, le 5 octobre 1789, 1, 347.
Guichet, jésuite, sa Lanterne magique sert contre la Révolution, I, 655.
Guidal, complice de Malet, VI, 400.
Guignot, insurgé du 12 mai, VIII, 346 ; 347.
Guignes, IX, 313.
Guilhard. Son rôle à Marseille en 1871, XI, 372.
Guilhem, babouviste, V, 305 ; 327.
Guillaume, administrateur de la Caisse des secours, II, 1040.
Guillaume, député de la Constituante, I, 739.
Guillaume. Livre la première conspiration de Malet, VI, 474.
Guillaume, membre du Directoire secret des fédérés de 1792, II, 1264.
Guillaume (James), V, 187 ; 200 ; 209 ; 219 ; X, 290 ; 291 ; 312 ; 313 ; délégué de l’Internationale au Congrès de la Paix, 314 ; 334 ; 336 ; 339 ; 340 ; 347 ; 355 ; 362 ; 372 ; 383.
Guillaume Ier, roi de Prusse, X, 249 (Cf. Prusse) ; son voyage à Paris en 1867, 275 ; son rôle dans la candidature Hohenzollern, XI, 180 et sq ; les négociations d’Ems, 187 et sq ; comment il manœuvre pour que la candidature Hohenzollern ne semble pas retirée par son ordre, 207 : il ne voulut pas d’une humiliation, le 13 juillet, 209.
Guillaume V, stathouder. Ne résiste pas à Pichegru, V, 49.
Guillaumot, directeur des Gobelins, VI, 296.
Guillemaut. Ses ouvrages sur Louhans, I, 427 ; 490 ; 492 ; 500 ; 643 ; IV, 1628. Guiliemin (Sébastien), administrateur de la ville de Louhans, I, 429.
Guilleminot (Général), ambassadeur français en Turquie, VIII, 139.
Guillet, membre du Comité de Salut public de Nantes, I, 416.
Guillon, IV, 1057, io58, 1060 ; Les complots militaires, VI, 163.
Guillon de Montléon (Abbé Aimé), V, 98.
Guillot de Folleville, évéque d’Agra, évèque vendéen, IV, 1156.
Guillotière (La), quartier de Lyon. Les ouvriers y prennent parti pour les paysans insurgés, I, 275 ; 419 ; VIII, 144 et sq ; 270 et sq.
Guillotin. Demande une représentation du commerce, I, 44 ; propose à l’Assemblée d’approuver la formation d’une garde bourgeoise de Paris, 261.
Guinard, républicain de 1830, VIII, 34 ; 120 ; 278 ; condamné à la déportation, 288 ; IX, 32 ; 83.
Guinaut. Vainqueur de la Bastille, I, 264.
Guinguené. Nommé tribun, VI, 51.
Guirot, révolutionnaire parisien, IV, 1224 ; président de la section du Contrat social, 1261.
Guizot, chassé de sa chaire sous le ministère Villèle, VII, 196 ; 232 ; son rôle en juillet 1830, 251 ; VIII, 6 ; 16 ; ministre en 1830, 22 ; 23 ; il se retire du ministère, 32 ; 45 ; 92 ; 124 ; 129 ; ministre de l’instruction publique, 217 ; 222 ; son optimisme en 1833, 239 ; la loi de 1833, 242 et sq ; il fait appel à l’Église, 243 ; soumet l’instituteur au curé. 243 ; il fait appeler Mortier à la présidence du Conseil, 273 ; ministre de l’instruction publique dans le cabinet Molé, 291 ; il se retire du ministère, et devient chef du centre droit, 297 ; 340 ; berné par les puissances en 1840, 323 ; 390 ; ministre des affaires étrangères dans le cabinet Soult, 401 ; il est le véritable ministère de 1840, 403 ; , sa situation en prenant le ministère, sa politique extérieure, 404 ; le discours du trône, 406 ; flétri par La Rochejacquelein comme émigré, 494 ; son embarras dans la question de l’enseignement, 50o ; la maladie de Villemain le tire de l’embarras où le mettait le projet de loi, 507 ; l’indemnité Pritchard, 511 ; 514 ; il l’emporte, 514 ; attaqué pour son inertie en face des événements de Cracovie, 532 ; ses relations avec Metternich, leur accord conservateur, 534 ; son opposition à la réforme électorale à la fin de 1846, 537 ; il remanie son ministère, 542 ; sa situation en 1847, 543 ; « Il n’y a pas de jour pour le suffrage universel », 544 ; ses avances aux catholiques avant sa chute, 556 ; la session de 1848, 563 et sq ; sa chute, 568 et sq ; IX, 11 ; 36 ; 128 ; 144 ; 167 ; 199 ; X, 52 ; son jugement sur l’opinion publique sous le second Empire, 73.
Gustave III, roi de Suède, I, 661 et sq ; son plan insensé de contre-révolution, 692 ; 747 ; parle haut mais agit peu pour les affaires de France en 1791, II, 807 ; meurt en I792, V, 127.
Guyane, V, 174.
Guyon (Léon), IX, 139 ; 224 et sq.
Guyomarais (De la), 111, 218.
Guyot (Raymond), V, 377 ; 380 : 382 ; 392 ; 489 ; 497.
Guyot, ancien député à la Convention, conspire contre Napoléon en 1808, VI, 473.
Guyot (Yves). Son rôle dans la tentative de conciliation en 1871, XI, 411 ; les articles du vieux petit employé, XIII, 224 ; ministre des travaux publics, 257.
Guyton de Morveau, VII, 7 ; 212 ; IV, 1122 ; 1123 ; V, 163 ; 200.
Gymnase de bienfaisance. Agence d’affaires sous le Directoire, V, 454.